[Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
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- ReildarRecrue Dynamique
[Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Lun 16 Aoû 2010, 13:09
J'ai commençé à écrire cette fic' sur B.L. donc les chapitres déjà écrits arriveront vite. Le rhytme ralentira ensuite.
Sans attedre, voici ldes deux premiers chapitres:
Chapitre 1
Dans les montagnes de Nera-nui, un ko-matoran se déplaçait difficilement
à cause de la tempête de neige. Il portait un gros paquetage. Il mettait
environ une minute pour faire cinq mètres. Il savait qu'une grotte n'était
pas loin et qu'il pourrait bientôt être à l'abri du froid. Ce n'était pas la
première fois qu'il venait ici. il conaissait cette région comme sa poche.
Touts les mois, il venait ici, moins d'une semaine, pour regarder toutes
l'île. C'était l'un des plus grands sommet de Nera-nui. Il entendit un bruit
derrière lui.
Ce doit être un rahi.
Il continua sa route mais le bruit devenait de plus en plus fort. Il se rendit
compte que ce n'était pas le bruit que ferait un rahi. On aurait dit le bruit
d'une roue. Il posa son énorme sac et en sortit deux ski. Il les mit à ses
pieds et mit son sac sur ses épaules. Il porta son regard là où venait
l'étrange bruit. A cause la tempête, il ne voyait pas plus qu'à dix mètres.
Soudain, un bohrok entra dans son champ de vision, suivit par deux
autres. Le ko-matoran ne réfléchit pas. Il inclina ses ski pour qu'il puisse
partir en vitesse. Les bohroks l'avait repéré et le poursuivirent. Il avait
peur. Il regardait sans cesse en arrière pour voir si ses assaillants le
poursuivait toujours.
Que font des bohroks ici?
Il prit une bosse, s'éleva à plus de deux mètres de hauteur, changea de
chemin. Il filait à toute allure. Il regarda derrière lui. Il ne les voyait plus.
Il avait prit trop de vitesse et ne parvenait plus à s'arrêter. Il savait qu'à
une centaine de mètres, se trouvait du vide. Il se rapprochait du vide de
plus en plus vite. Il se laissa tomber. Ses ski se déttachèrent, il perdit son
énorme sac. il continuait de glisser.
Sa y est, je vais mourrir!
Il avait mal. Il commença à ralentir pour finir par s'arrèter à à peine
quelques centimètres du vide. Il se releva. Un de ses bras ne répondait
plus. Juste au moment ou il pensa qu'il était sorti d'affaire, un bohrok
sortit de sous ses pieds. Il fut projeté dans le vide. Il se sentit tomber.
J'ai fait mon temps.
Un être entièrement couvert d'une cape noire, en lambaux, muni d'une
capuche qui cachait son visage apparut et l'empoigna tout en lui disant:
-Tu ne dois pas mourrir ici, tu as encore beaucoup de chose à faire.
Le matoran vit qu'il y avait encore une hauteur énorme entre lui et le sol.
Prit d'un vertige, il s'évanouit.
Il ouvrit les yeux. Il reconnut le visage de son meilleur ami, un ta-matoran.
-Ernax. Où suis-je? demanda le ko-matoran.
-Tu es chez moi Ral. Qu'à tu fais pour te retrouver dans un tel état? Des
habitans de ton village ton retrouver presque mort.
-Je ne sais pas Ernax. Je ne sais plus. Je... je...
-Ecoute, je sais que tu as de la chance mais tu as survécu à une chute
d'une hauteur de je ne sais combien de bio. Ce n'est plus de la chance.
C'est de l'immortalité. Tu dois au moins avoir quelques souvenirs? Non?
-Je me souviens des bohroks, dit Ral, et d'un être encapuchoné. Je... je
crois qu'il m'a dit quelque chose pendant que je tombais. Après, tout est
noir.
-Des bohroks?
Ral essaya de se mettre assis mais il n'y arriva pas. Son camarade lui dit:
-Ce n'est pas la peine d'essayer, tu as un bras cassé et l'autre fracturé.
-Il y avait effectivement des Bohroks, trois je crois.
-Tu es sur?
-Oui, je me souviens d'eux, je me rappelle de chaques détails. Je pourrais
peut-être les redessiner. Je les vois encore, devant moi. Je... je...je suis...
je suis fa...
Il bailla fortement.
-J'ai compris, je vais te laisser dormir.
Chapitre 2
Cela faisait plus d'un mois que Ral n'avait posé un pied à terre. Ernax était
parti travailler. Il emprunta un sac et des vivres. Il se dirigea vers ko-
nera. Traverser ta-nera fut difficile. mais une fois la ville franchie, son
corps se réhabitua à marcher. Le voyage lui prit plusieurs jours et quand il
arriva à ko-nera, il fut désagréablement surpris. Son village était en ruine,
il y avait des ko-matorans morts. Il se dirigea vers sa maison. Elle était
intacte. Il ouvrit la porte. l'interieur était dévasté. il remarqua quand
même une pierre bleue luminescente posé sur un parchemin. Il la
ramassa.
-Une...une pierre toa, balbutia t-il, ce n'est pas possible, il n'y a pas eu de
toa sur nera-nui depuis des milliards d'années.
Il regarda le parchemin. C'était un plan. cette carte indiquait qu'il devait
se rendre dans la grotte dans laquelle il aurait du être la fois dernière. il
chercha sa lance et des raquettes. Il s'en équipa et se mit en route. Le
chemin fut moins difficiles que les fois dernières car il n'avait pas son
énorme sac. Soudain, il entendit le bruit des bohroks. Il fut prit de
panique. Eral n'avait aucune chance de gagner ne serait-ce que contre un
seul et unique bohrok. Il avait juste prit sa lance car sa présence le
rassurait. Il courrut aussi vite qu'il le put. Il savait qu'ils se rapprochaient
de plus en plus de lui. Ils étaient à moins de dix mètres de lui. Ils le
répèrerait dans quelques secondes. Il vit l'entrée de la grotte. Il se jeta
dedans. Les bohroks passèrent à côté de lui sans le voir. Il abandonna ses
raquettes et se dirigea au plus profond de la grotte, suivant le plan à la
lettre. Il arriva dans une vaste salle. Il y avait deux statues. Chaque
statue représentait un toa avec un creux au niveau du torse. Ral regarda
sa pierre toa et il la mit dans le creux du torse du toa de gauche. Elle
rentrait pile dedans. La satue s'illumina, Un rayon frappa le ko-matoran.
Celui-ci fut projeté contre un mur et s'évanouit.
Sans attedre, voici ldes deux premiers chapitres:
Chapitre 1
Dans les montagnes de Nera-nui, un ko-matoran se déplaçait difficilement
à cause de la tempête de neige. Il portait un gros paquetage. Il mettait
environ une minute pour faire cinq mètres. Il savait qu'une grotte n'était
pas loin et qu'il pourrait bientôt être à l'abri du froid. Ce n'était pas la
première fois qu'il venait ici. il conaissait cette région comme sa poche.
Touts les mois, il venait ici, moins d'une semaine, pour regarder toutes
l'île. C'était l'un des plus grands sommet de Nera-nui. Il entendit un bruit
derrière lui.
Ce doit être un rahi.
Il continua sa route mais le bruit devenait de plus en plus fort. Il se rendit
compte que ce n'était pas le bruit que ferait un rahi. On aurait dit le bruit
d'une roue. Il posa son énorme sac et en sortit deux ski. Il les mit à ses
pieds et mit son sac sur ses épaules. Il porta son regard là où venait
l'étrange bruit. A cause la tempête, il ne voyait pas plus qu'à dix mètres.
Soudain, un bohrok entra dans son champ de vision, suivit par deux
autres. Le ko-matoran ne réfléchit pas. Il inclina ses ski pour qu'il puisse
partir en vitesse. Les bohroks l'avait repéré et le poursuivirent. Il avait
peur. Il regardait sans cesse en arrière pour voir si ses assaillants le
poursuivait toujours.
Que font des bohroks ici?
Il prit une bosse, s'éleva à plus de deux mètres de hauteur, changea de
chemin. Il filait à toute allure. Il regarda derrière lui. Il ne les voyait plus.
Il avait prit trop de vitesse et ne parvenait plus à s'arrêter. Il savait qu'à
une centaine de mètres, se trouvait du vide. Il se rapprochait du vide de
plus en plus vite. Il se laissa tomber. Ses ski se déttachèrent, il perdit son
énorme sac. il continuait de glisser.
Sa y est, je vais mourrir!
Il avait mal. Il commença à ralentir pour finir par s'arrèter à à peine
quelques centimètres du vide. Il se releva. Un de ses bras ne répondait
plus. Juste au moment ou il pensa qu'il était sorti d'affaire, un bohrok
sortit de sous ses pieds. Il fut projeté dans le vide. Il se sentit tomber.
J'ai fait mon temps.
Un être entièrement couvert d'une cape noire, en lambaux, muni d'une
capuche qui cachait son visage apparut et l'empoigna tout en lui disant:
-Tu ne dois pas mourrir ici, tu as encore beaucoup de chose à faire.
Le matoran vit qu'il y avait encore une hauteur énorme entre lui et le sol.
Prit d'un vertige, il s'évanouit.
Il ouvrit les yeux. Il reconnut le visage de son meilleur ami, un ta-matoran.
-Ernax. Où suis-je? demanda le ko-matoran.
-Tu es chez moi Ral. Qu'à tu fais pour te retrouver dans un tel état? Des
habitans de ton village ton retrouver presque mort.
-Je ne sais pas Ernax. Je ne sais plus. Je... je...
-Ecoute, je sais que tu as de la chance mais tu as survécu à une chute
d'une hauteur de je ne sais combien de bio. Ce n'est plus de la chance.
C'est de l'immortalité. Tu dois au moins avoir quelques souvenirs? Non?
-Je me souviens des bohroks, dit Ral, et d'un être encapuchoné. Je... je
crois qu'il m'a dit quelque chose pendant que je tombais. Après, tout est
noir.
-Des bohroks?
Ral essaya de se mettre assis mais il n'y arriva pas. Son camarade lui dit:
-Ce n'est pas la peine d'essayer, tu as un bras cassé et l'autre fracturé.
-Il y avait effectivement des Bohroks, trois je crois.
-Tu es sur?
-Oui, je me souviens d'eux, je me rappelle de chaques détails. Je pourrais
peut-être les redessiner. Je les vois encore, devant moi. Je... je...je suis...
je suis fa...
Il bailla fortement.
-J'ai compris, je vais te laisser dormir.
Chapitre 2
Cela faisait plus d'un mois que Ral n'avait posé un pied à terre. Ernax était
parti travailler. Il emprunta un sac et des vivres. Il se dirigea vers ko-
nera. Traverser ta-nera fut difficile. mais une fois la ville franchie, son
corps se réhabitua à marcher. Le voyage lui prit plusieurs jours et quand il
arriva à ko-nera, il fut désagréablement surpris. Son village était en ruine,
il y avait des ko-matorans morts. Il se dirigea vers sa maison. Elle était
intacte. Il ouvrit la porte. l'interieur était dévasté. il remarqua quand
même une pierre bleue luminescente posé sur un parchemin. Il la
ramassa.
-Une...une pierre toa, balbutia t-il, ce n'est pas possible, il n'y a pas eu de
toa sur nera-nui depuis des milliards d'années.
Il regarda le parchemin. C'était un plan. cette carte indiquait qu'il devait
se rendre dans la grotte dans laquelle il aurait du être la fois dernière. il
chercha sa lance et des raquettes. Il s'en équipa et se mit en route. Le
chemin fut moins difficiles que les fois dernières car il n'avait pas son
énorme sac. Soudain, il entendit le bruit des bohroks. Il fut prit de
panique. Eral n'avait aucune chance de gagner ne serait-ce que contre un
seul et unique bohrok. Il avait juste prit sa lance car sa présence le
rassurait. Il courrut aussi vite qu'il le put. Il savait qu'ils se rapprochaient
de plus en plus de lui. Ils étaient à moins de dix mètres de lui. Ils le
répèrerait dans quelques secondes. Il vit l'entrée de la grotte. Il se jeta
dedans. Les bohroks passèrent à côté de lui sans le voir. Il abandonna ses
raquettes et se dirigea au plus profond de la grotte, suivant le plan à la
lettre. Il arriva dans une vaste salle. Il y avait deux statues. Chaque
statue représentait un toa avec un creux au niveau du torse. Ral regarda
sa pierre toa et il la mit dans le creux du torse du toa de gauche. Elle
rentrait pile dedans. La satue s'illumina, Un rayon frappa le ko-matoran.
Celui-ci fut projeté contre un mur et s'évanouit.
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Lun 16 Aoû 2010, 13:12
Mon cher Reildar, il te faut rajoutez une balise devant le nom de ta fanfic.
Un bon début de fic! j'aime bien ..
> Tu l'a tapé sur word !!! ça se voit aux espace entre les lignes.. cela signifi que tu apporte de l'importance à ta fic et que tu y travaille. Congratulations !
Next Chapter ! Please !
Un bon début de fic! j'aime bien ..
> Tu l'a tapé sur word !!! ça se voit aux espace entre les lignes.. cela signifi que tu apporte de l'importance à ta fic et que tu y travaille. Congratulations !
Next Chapter ! Please !
- ReildarRecrue Dynamique
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Lun 16 Aoû 2010, 13:48
Voici les chapitres 3 et 4, bonne lecture.
Chapitre 3
Lorsqu'il se réveilla, il avait un grand mal de tête. Tout tourbillonait autour
de lui. Il se releva à grande peine. Il avait l'impression d'être plus grand.
Il regarda sa lance. Elle avait changé de forme. Elle était plus grande et
ressemblait plus à une hallebarde. Elle était d'un blanc neige. Il se pencha
pour la ramasser et ce fut à se moment qu'il vit que sur le dos de sa main,
il y avait trois griffes. Elle étaient grandes et effilées.
Par Mata-Nui, combien ai-je changé?
Il se dirigea vers la sortie an courant. Il se rendit compte qu'il bougeait
plus vite et qu'il avait plus d'endurance. Il sortit de la grotte. la tempête
faisait toujours rage. Il arriva tout de même à distinguer une silouhette un
peu plus grande que lui. Cette personne venait dans sa direction. Il
reconnut le toa qui l'avait sauvé.
Alors, je ne l'ai pas révé. Il était bien réel.
Le toa se mit à parler:
-C'est moi qui t'ai fait venir ici. Tu dois te demander pourquoi. Et bien,
cette île est la prison d'un grand mal qui pourrait tout engloutir. Pour
l'enfermer, toute mon équipe a sacrifié sa vie. Et moi, je suis rester pour
apprendre à la prochaine génération, qu'il y a ce mal. Le problème est
qu'il n'y a jamais eu d'autres générations de toas. Mais, j'ai eu une vision
qui m'a été offerte par Mata-Nui. Je t'ai vu toi et un autre combattant ce
mal. Tu avais cette forme. Mata-Nui m'a aussi transmis le savoir qu'il
fallait pour construire ces statues. Même si tu es encore jeune, je vais te
léguer une mission. Détruis ce mal et protège les habitant de cette île. Je
sais que tu es encore jeune et que ce travail est grand. Mais tu dois le
faire. Seul toi peut le faire.
Ral déglutit.
-Je veux aider mon île, je le veux vraiment mais ai-je les ressources
nécessaires pour accomplir cette tâche. j'ai toujours été un couard. Je n'ai
jamais combattu une seule fois. Comment puis-je accomplir ma mission.
Je ne sais même pas ce que je dois abattre.
-Je le sais, mais tu ne sera pas seul.
-Et vous, qu'allez vous faire, demanda l'ex ko-matoran.
-Je vais me sacrifié pour sceller ce mal assez longtemps pour que vous
puissiez être prêt.
Sur ces mots, il disparut. Ral entendit juste un murmure porté par le vent.
Protège celui qui est en route, il ne doit pas mourrir maintenant sinon
tout sera perdu.
Ral se mit en marche. il ne ressentait plus le froid et avançait beaucoup
plus vite qu'avant. Il entendit le bruit caractéristique des bohroks. Il avait
peur mais rien ne l'empêcherait d'accomplir son devoir. Trois bohroks
apparurent devant lui. Sa main se serra sur sa hallebarde. Ils n'eurent pas l
e temps de se déplier que celui du milieu fut transpercer pas la pseudo-
lance de Ral. ils ne perdirent pas de temps pour attaquer. Qautres
boomerang de glace filèrent vers lui. Il les esquiva tous sauf un qui lui fit
un entaille à l'épaule droite. Le deuxième fut coupé en deux. ral avait
l'impression de couper du beurre. le dernier attaqua, lançant toujours des
boomerangs de glace. Ral les esquiva, sauta sur la maléfique créature et
transperça le kraana de ses griffes. Il se remit en route. Il ne devait pas
faillir.
Chapitre 4
Cela faisait plus d'une heure qu'il courait. Si il était encore un
matoran, il n'aurait jamais pu le faire. Il devait à tout pris trouver
le deuxième matoran et l'amener sain et sauf aux statues. Il ne
ressantait pas la fatigue.
Alors, c'est à peu près ça d'être un toa. Avoir un grand pouvoir
mais un devoir aussi grand que ce pouvoir.
La tempête de neige s'arrêta soudainement. Ils pouvait entendre
des bruits de pas.
Ce doit être lui, les pieds ne s'enfonçent pas très profondément
dans la neige.
Ce bruit était à une grande distance. Il fut surpris de constater
qu'il avait une telle ouïe. Il entendit aussi le bruit des bohroks.
Il doit êre seul.
Il s'accroupit dans la neige et posa sa main gauche dans la neige.
Une nouvelle sensation l'envahit. Il avait de plus en plus mal à la
tête. Il lâcha sa lance pour se tenir la tête. Il ferma les yeux et le
douleur s'arrêta instantanement. Il "voyait" le matoran et le
bohrok. C'était comme s'il y avait une carte dans sa tête avec le
déplacement des personnes autours de lui. Il pouvait voir dans un
rayon de 500 mètres. Le matoran était exactement à 267 mètres
et le bohrok se rapporchait de lui à grande vitesse. Ral ouvrit les
yeux et se leva. Il se dirigea aussi vite qu'il le put ves le point
d'impact entre le matoran et l'immonde créature. Il commençait à
être fatigué. Il vit le matoran effrayé et le bohrok, prêt à tirer ses
lames de glaces. Ral ne réflichit pas. Il sauta sur le bohrok. Le ta-
matoran, ne vit qu'un être blanc se jeter sur le bohrok. Ils firent
un rouler-(mot censuré). La lance de Ral ne servait à rien à une si courte
distance. Il utilisa donc ses griffe pour dépecer la carapace du
bohrok. Il broya ensuite le krana. Il se releva et vit le matoran
qui était toujours effrayé, si ce n'était plus.
-C'est moi Ral, dit-il.
-Ral, est-ce vraiment toi?
-Oui Ernax, cest bien moi.
-Que t'est-il arrivé?
-Trop long à expliquer maintenant. Allons dans un endroit sûr.
Ernax hocha la tête.
Le voyage jusqu'à la grotte se fit sans encombre. Lorsqu'il
arrivèrent, Ral demanda:
-Comment suis-je maintenant?
-Que veux-tu dire? répondit son meilleur ami.
-A quoi est-ce que je ressemble? Je ne me suis encore jamais vu
comme cela.
-Tu resemble à un toa mais en plus petit.
Tu ne porte pas de masque. Ta
tête n'est pas celle d'un toa sans masque, je ne saurais
t'expliquer.
Ral lui expliqua sa rencontre avec le toa et tout ce qu'il avait dit. Ernax
parti dans la salle aux statues tandis que Ral resta là. Le ta-
matoran sortit une pierre rouge luminescente et la mit dans le
torse de la seule statue qui restait. La satue s'illumina de la
couleur de la pierre toa et un éclair rouge le frappa. Il cria de
douleur.
Chapitre 3
Lorsqu'il se réveilla, il avait un grand mal de tête. Tout tourbillonait autour
de lui. Il se releva à grande peine. Il avait l'impression d'être plus grand.
Il regarda sa lance. Elle avait changé de forme. Elle était plus grande et
ressemblait plus à une hallebarde. Elle était d'un blanc neige. Il se pencha
pour la ramasser et ce fut à se moment qu'il vit que sur le dos de sa main,
il y avait trois griffes. Elle étaient grandes et effilées.
Par Mata-Nui, combien ai-je changé?
Il se dirigea vers la sortie an courant. Il se rendit compte qu'il bougeait
plus vite et qu'il avait plus d'endurance. Il sortit de la grotte. la tempête
faisait toujours rage. Il arriva tout de même à distinguer une silouhette un
peu plus grande que lui. Cette personne venait dans sa direction. Il
reconnut le toa qui l'avait sauvé.
Alors, je ne l'ai pas révé. Il était bien réel.
Le toa se mit à parler:
-C'est moi qui t'ai fait venir ici. Tu dois te demander pourquoi. Et bien,
cette île est la prison d'un grand mal qui pourrait tout engloutir. Pour
l'enfermer, toute mon équipe a sacrifié sa vie. Et moi, je suis rester pour
apprendre à la prochaine génération, qu'il y a ce mal. Le problème est
qu'il n'y a jamais eu d'autres générations de toas. Mais, j'ai eu une vision
qui m'a été offerte par Mata-Nui. Je t'ai vu toi et un autre combattant ce
mal. Tu avais cette forme. Mata-Nui m'a aussi transmis le savoir qu'il
fallait pour construire ces statues. Même si tu es encore jeune, je vais te
léguer une mission. Détruis ce mal et protège les habitant de cette île. Je
sais que tu es encore jeune et que ce travail est grand. Mais tu dois le
faire. Seul toi peut le faire.
Ral déglutit.
-Je veux aider mon île, je le veux vraiment mais ai-je les ressources
nécessaires pour accomplir cette tâche. j'ai toujours été un couard. Je n'ai
jamais combattu une seule fois. Comment puis-je accomplir ma mission.
Je ne sais même pas ce que je dois abattre.
-Je le sais, mais tu ne sera pas seul.
-Et vous, qu'allez vous faire, demanda l'ex ko-matoran.
-Je vais me sacrifié pour sceller ce mal assez longtemps pour que vous
puissiez être prêt.
Sur ces mots, il disparut. Ral entendit juste un murmure porté par le vent.
Protège celui qui est en route, il ne doit pas mourrir maintenant sinon
tout sera perdu.
Ral se mit en marche. il ne ressentait plus le froid et avançait beaucoup
plus vite qu'avant. Il entendit le bruit caractéristique des bohroks. Il avait
peur mais rien ne l'empêcherait d'accomplir son devoir. Trois bohroks
apparurent devant lui. Sa main se serra sur sa hallebarde. Ils n'eurent pas l
e temps de se déplier que celui du milieu fut transpercer pas la pseudo-
lance de Ral. ils ne perdirent pas de temps pour attaquer. Qautres
boomerang de glace filèrent vers lui. Il les esquiva tous sauf un qui lui fit
un entaille à l'épaule droite. Le deuxième fut coupé en deux. ral avait
l'impression de couper du beurre. le dernier attaqua, lançant toujours des
boomerangs de glace. Ral les esquiva, sauta sur la maléfique créature et
transperça le kraana de ses griffes. Il se remit en route. Il ne devait pas
faillir.
Chapitre 4
Cela faisait plus d'une heure qu'il courait. Si il était encore un
matoran, il n'aurait jamais pu le faire. Il devait à tout pris trouver
le deuxième matoran et l'amener sain et sauf aux statues. Il ne
ressantait pas la fatigue.
Alors, c'est à peu près ça d'être un toa. Avoir un grand pouvoir
mais un devoir aussi grand que ce pouvoir.
La tempête de neige s'arrêta soudainement. Ils pouvait entendre
des bruits de pas.
Ce doit être lui, les pieds ne s'enfonçent pas très profondément
dans la neige.
Ce bruit était à une grande distance. Il fut surpris de constater
qu'il avait une telle ouïe. Il entendit aussi le bruit des bohroks.
Il doit êre seul.
Il s'accroupit dans la neige et posa sa main gauche dans la neige.
Une nouvelle sensation l'envahit. Il avait de plus en plus mal à la
tête. Il lâcha sa lance pour se tenir la tête. Il ferma les yeux et le
douleur s'arrêta instantanement. Il "voyait" le matoran et le
bohrok. C'était comme s'il y avait une carte dans sa tête avec le
déplacement des personnes autours de lui. Il pouvait voir dans un
rayon de 500 mètres. Le matoran était exactement à 267 mètres
et le bohrok se rapporchait de lui à grande vitesse. Ral ouvrit les
yeux et se leva. Il se dirigea aussi vite qu'il le put ves le point
d'impact entre le matoran et l'immonde créature. Il commençait à
être fatigué. Il vit le matoran effrayé et le bohrok, prêt à tirer ses
lames de glaces. Ral ne réflichit pas. Il sauta sur le bohrok. Le ta-
matoran, ne vit qu'un être blanc se jeter sur le bohrok. Ils firent
un rouler-(mot censuré). La lance de Ral ne servait à rien à une si courte
distance. Il utilisa donc ses griffe pour dépecer la carapace du
bohrok. Il broya ensuite le krana. Il se releva et vit le matoran
qui était toujours effrayé, si ce n'était plus.
-C'est moi Ral, dit-il.
-Ral, est-ce vraiment toi?
-Oui Ernax, cest bien moi.
-Que t'est-il arrivé?
-Trop long à expliquer maintenant. Allons dans un endroit sûr.
Ernax hocha la tête.
Le voyage jusqu'à la grotte se fit sans encombre. Lorsqu'il
arrivèrent, Ral demanda:
-Comment suis-je maintenant?
-Que veux-tu dire? répondit son meilleur ami.
-A quoi est-ce que je ressemble? Je ne me suis encore jamais vu
comme cela.
-Tu resemble à un toa mais en plus petit.
Tu ne porte pas de masque. Ta
tête n'est pas celle d'un toa sans masque, je ne saurais
t'expliquer.
Ral lui expliqua sa rencontre avec le toa et tout ce qu'il avait dit. Ernax
parti dans la salle aux statues tandis que Ral resta là. Le ta-
matoran sortit une pierre rouge luminescente et la mit dans le
torse de la seule statue qui restait. La satue s'illumina de la
couleur de la pierre toa et un éclair rouge le frappa. Il cria de
douleur.
- IraxAmbianceur Confirmé
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Lun 16 Aoû 2010, 15:12
Je viens de lire cette fic, c'est très prometteur, cependant, je pense que tu devrais veiller a ralentir le rythme du récit, a et a faire des chapitres un peu plus longs. Et pour le formatage, fait un copier-coller de ton texte depuis word, dans le bloc note, enregistre dans un fichier a coté de ton chapitre, ensuite ferme le bloc-note, rouvre le, et fit copier-coller dans ton topic, c'est comme ça que je fais. Ensuite tu n'auras plus qu'a faire la mise en pages "italiques, gras, etc...). Et tu peut réutiliser le même fichier pour toutes tes fics.
En gros, persévère, entraine-toi... Et poste la suite!
En gros, persévère, entraine-toi... Et poste la suite!
- ReildarRecrue Dynamique
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Lun 16 Aoû 2010, 15:22
Voici les chapitres 5 et 6:
Chapitre 5
Ral entendait crier son compagnon, mais il ne pouvait rien faire.
Il se demandait à quoi ressemblerait Ernax. Soudain, il ne
l'entendit plus crier mais il entendait un rugissement, comme celui
d'une bête sauvage. Il se précipita dans la salle et vit, à la place
d'Ernax, une énorme créature, qui se tenait à quatre pattes. Elle
avait des poils rouges, argentés et noirs ainsi qu'une longue queue se
terminant par une lame. Ses griffes étaient aussi grande que des
dagues et surement aussi effilées que des lames de rasoir. Aussi
fut-il surpris que la créature n'ait pas d'yeux.
-Ernax, c'est toi? demanda t-il.
La créature lui répondit par un grognement.
-Ernax? Si c'est toi, répond moi.
La créature se mit à rugir. Un long rugissement. Ral était là, ne
bougeant plus. Cela faisait plusieur minute que la créature
rugissait. Soudain, elle se mit à cracher du sang. Elle toussait. Ral
s'approcha du monstre et celui-ic releva la tête et dit.
-Ral...j-je...me...sens...étrange.
Il avait du mal à parler.
-Cette...position est...inconfortable.
C'était évidant, selon les articulation, il devait se ternir debout. Il
suivit Ral qui se dirigea vers la sortie. Une fois dehors, Ernax se
mit debout. Il devait bien mesurer deux mètre cinquante.
-Tu n'as pas d'yeux, comment fais-tu pour voir? lui demanda
l'être à l'armure blanche.
-Je vois...tout autour de...moi. Je ne peux pas...fermer les
yeux...c'est désagréable. J'ai du mal à parler car...j'ai du
changer...mes cordes vocales et...c'est très douloureux.
-Bien, je vois. Nous devrions y aller.
-Allez où?
-Là où on aura besoin de nous. Ca ne te dérange pas si nous
faisons un petit détour par ko-nera.
-Tu sais...très bien qu'elle...a été détruite.
-Je le sais mais je dois y aller pour retrouver quelquechose.
-Allons...y.
Ils se mirent en route. La marche ne fut pas très longue. Le
village était totalement en ruine et désert. Les ko-matorans était
venus chercher leur affaires. Ral trouva un chapeau blanc plat à
l'arge bord*. Il le mit sur sa tête. il rentra chez lui. Il devait
absolument le retrouver. Cela faisait plus de dix minutes lorsque
son pied buta sur quelque chose. Il l'avait retrouver. Il prit le petit
cylindre argenté, le mit dans un sac avec d'autres affaires comme
des vivres ainsi qu'une carte et sortit de la maison.
-C'est bon Ernax on peut y aller.
Celui-ci arriva à grands pas.
-Et où... allons-nous?
-A ta-nera, c'est le village le plus proche, répondit Ernax.
Le voyage fut un peu plus long mais se fit sans encombres.
Lorsqu'il arrivèrent devant les rempart de ta-nera, un matoran
qui montait la garde dit:
-Ils sont de retour, préparez les armes, ils ne pénétreront pas à
l'intérieur.
Ral réagit plus vite que l'éclair quand il vit les portes se refermer.
-Ernax, on y va, cours aussi vite que tule peux.
La créature rouge le dépassa aisément et passa la porte avant
même qu'elle ne soit à la moitié de son chemin. Ral voyait la
porte se refermer. Il savait qu'il n'y arriverait pas. Soudain, il eut
une idée. Il gela le sol à ses pieds jusqu'à la porte. avec la
vitesse, il put glisser jusqu'à la porte. Il sauta passa par le petit
espace qui restait. Il entendit la porte se refermer alors qu'il
venait juste de tomber au sol. Il se releva et il fut pris de stupeur.
*comme un bouclier de kopaka mit sur une tête de glatorian.
Chapitre 6
Pour lui, les matorans étaient censés être pacifiques mais il
n'avait jamais vu autant d'armes au même endroit. Il voulu se
relever mais la pointe d'une lance sur se gorde l'en dissuada. Il
se risqua quand même à jetter un oeil à Ernax. Celui-ci était
tranquilement allongé par terre. Ral tentendit des bruit de pas et
releva la tête. Il vit turaga Karava qui avançait lentement vers
lui, son celèbre sceptre de feu à la main.
-Nous avons capturés deux de ces engeances de l'ombres. Il
essayaient de renter dans la cité, dit le matoran qui pointait sa
lance sur Ral.
Avant que le turaga ne puisse répondre, Ral prit la parole:
-Si je peux me permettre? demanda t-il.
-Tais toi ! cria le matoran qui enfonça un peu plus sa lance sur le
gorge de Ral.
-Laisse le parler Udir, dit calmement turaga Karava. Tous ceyx
que nous avons capturés ne parlait pas le même dialecte que
nous? Ils sont peut être des messagés.
Ral déglutit et dit:
-Je suis Ral, un habitants de ko-nera...
Il fut interromput par Udir.
-Mensonge, il n'y pas eu d'autres habitants que des matorans et
des turagas sur cette île depuis des millénaires.
-Calme toi et laisse le finir, lui demanda le turaga.
Ral raconta qui était son compagnon, sa rencontre avec le toa, ko-
nera dévastée ainsi que leur transformation. A la fin du récit,
turaga Karava se grattait le menton. Tandis qu'Udir s'emporta.
-Tout ceci n'est qu'un tissu de mensonge. Vous voulez tous nous
tuer. J'ai déjà vu trop de mes camarades tombés pour défen dre
la cité. Je ne peux croire cette histoire démente.
Alors qu'il allait planter sa lance dans la gorge de Ral, Ernax leva
brusquement la tête et dit:
-Ils arrivent, Ils sont nombreux.
-Combien ? demanda Ral.
-Une trentaine de bohroks, une dizaine de créature à quattres
bras ainsi que deux ou rois créatures vraiment à part.
Udir se lamenta:
-Jamais nous ne pourront les arrêtes, il sont une quarantaine.
-J'ai une proposition à vous faire turaga Karava, dit Ernax.
Il fut surpris qu'une bête rouge sache son nom mais il répondit
d'une voix calme:
-Faites la donc.
-Laissez nous sortir. Nous les tuerons et si vous avez des doutes,
nous seront juste deux ennemis de plus. Vous n'avez rien à
perdre, vous n'arriverez pas à les stopper.
Le turaga réfléchit longuement avant de répondre:
-C'est d'accord.
Udir fut sidérer. La porte s'ouvrit et ils sortirent tous les deux. les
matorans furent impressioner par la taille d'Ernax. Ce qui était
normal, même un toa paraîtrait petit par rapport à cette masse
de muscle.
Chapitre 5
Ral entendait crier son compagnon, mais il ne pouvait rien faire.
Il se demandait à quoi ressemblerait Ernax. Soudain, il ne
l'entendit plus crier mais il entendait un rugissement, comme celui
d'une bête sauvage. Il se précipita dans la salle et vit, à la place
d'Ernax, une énorme créature, qui se tenait à quatre pattes. Elle
avait des poils rouges, argentés et noirs ainsi qu'une longue queue se
terminant par une lame. Ses griffes étaient aussi grande que des
dagues et surement aussi effilées que des lames de rasoir. Aussi
fut-il surpris que la créature n'ait pas d'yeux.
-Ernax, c'est toi? demanda t-il.
La créature lui répondit par un grognement.
-Ernax? Si c'est toi, répond moi.
La créature se mit à rugir. Un long rugissement. Ral était là, ne
bougeant plus. Cela faisait plusieur minute que la créature
rugissait. Soudain, elle se mit à cracher du sang. Elle toussait. Ral
s'approcha du monstre et celui-ic releva la tête et dit.
-Ral...j-je...me...sens...étrange.
Il avait du mal à parler.
-Cette...position est...inconfortable.
C'était évidant, selon les articulation, il devait se ternir debout. Il
suivit Ral qui se dirigea vers la sortie. Une fois dehors, Ernax se
mit debout. Il devait bien mesurer deux mètre cinquante.
-Tu n'as pas d'yeux, comment fais-tu pour voir? lui demanda
l'être à l'armure blanche.
-Je vois...tout autour de...moi. Je ne peux pas...fermer les
yeux...c'est désagréable. J'ai du mal à parler car...j'ai du
changer...mes cordes vocales et...c'est très douloureux.
-Bien, je vois. Nous devrions y aller.
-Allez où?
-Là où on aura besoin de nous. Ca ne te dérange pas si nous
faisons un petit détour par ko-nera.
-Tu sais...très bien qu'elle...a été détruite.
-Je le sais mais je dois y aller pour retrouver quelquechose.
-Allons...y.
Ils se mirent en route. La marche ne fut pas très longue. Le
village était totalement en ruine et désert. Les ko-matorans était
venus chercher leur affaires. Ral trouva un chapeau blanc plat à
l'arge bord*. Il le mit sur sa tête. il rentra chez lui. Il devait
absolument le retrouver. Cela faisait plus de dix minutes lorsque
son pied buta sur quelque chose. Il l'avait retrouver. Il prit le petit
cylindre argenté, le mit dans un sac avec d'autres affaires comme
des vivres ainsi qu'une carte et sortit de la maison.
-C'est bon Ernax on peut y aller.
Celui-ci arriva à grands pas.
-Et où... allons-nous?
-A ta-nera, c'est le village le plus proche, répondit Ernax.
Le voyage fut un peu plus long mais se fit sans encombres.
Lorsqu'il arrivèrent devant les rempart de ta-nera, un matoran
qui montait la garde dit:
-Ils sont de retour, préparez les armes, ils ne pénétreront pas à
l'intérieur.
Ral réagit plus vite que l'éclair quand il vit les portes se refermer.
-Ernax, on y va, cours aussi vite que tule peux.
La créature rouge le dépassa aisément et passa la porte avant
même qu'elle ne soit à la moitié de son chemin. Ral voyait la
porte se refermer. Il savait qu'il n'y arriverait pas. Soudain, il eut
une idée. Il gela le sol à ses pieds jusqu'à la porte. avec la
vitesse, il put glisser jusqu'à la porte. Il sauta passa par le petit
espace qui restait. Il entendit la porte se refermer alors qu'il
venait juste de tomber au sol. Il se releva et il fut pris de stupeur.
*comme un bouclier de kopaka mit sur une tête de glatorian.
Chapitre 6
Pour lui, les matorans étaient censés être pacifiques mais il
n'avait jamais vu autant d'armes au même endroit. Il voulu se
relever mais la pointe d'une lance sur se gorde l'en dissuada. Il
se risqua quand même à jetter un oeil à Ernax. Celui-ci était
tranquilement allongé par terre. Ral tentendit des bruit de pas et
releva la tête. Il vit turaga Karava qui avançait lentement vers
lui, son celèbre sceptre de feu à la main.
-Nous avons capturés deux de ces engeances de l'ombres. Il
essayaient de renter dans la cité, dit le matoran qui pointait sa
lance sur Ral.
Avant que le turaga ne puisse répondre, Ral prit la parole:
-Si je peux me permettre? demanda t-il.
-Tais toi ! cria le matoran qui enfonça un peu plus sa lance sur le
gorge de Ral.
-Laisse le parler Udir, dit calmement turaga Karava. Tous ceyx
que nous avons capturés ne parlait pas le même dialecte que
nous? Ils sont peut être des messagés.
Ral déglutit et dit:
-Je suis Ral, un habitants de ko-nera...
Il fut interromput par Udir.
-Mensonge, il n'y pas eu d'autres habitants que des matorans et
des turagas sur cette île depuis des millénaires.
-Calme toi et laisse le finir, lui demanda le turaga.
Ral raconta qui était son compagnon, sa rencontre avec le toa, ko-
nera dévastée ainsi que leur transformation. A la fin du récit,
turaga Karava se grattait le menton. Tandis qu'Udir s'emporta.
-Tout ceci n'est qu'un tissu de mensonge. Vous voulez tous nous
tuer. J'ai déjà vu trop de mes camarades tombés pour défen dre
la cité. Je ne peux croire cette histoire démente.
Alors qu'il allait planter sa lance dans la gorge de Ral, Ernax leva
brusquement la tête et dit:
-Ils arrivent, Ils sont nombreux.
-Combien ? demanda Ral.
-Une trentaine de bohroks, une dizaine de créature à quattres
bras ainsi que deux ou rois créatures vraiment à part.
Udir se lamenta:
-Jamais nous ne pourront les arrêtes, il sont une quarantaine.
-J'ai une proposition à vous faire turaga Karava, dit Ernax.
Il fut surpris qu'une bête rouge sache son nom mais il répondit
d'une voix calme:
-Faites la donc.
-Laissez nous sortir. Nous les tuerons et si vous avez des doutes,
nous seront juste deux ennemis de plus. Vous n'avez rien à
perdre, vous n'arriverez pas à les stopper.
Le turaga réfléchit longuement avant de répondre:
-C'est d'accord.
Udir fut sidérer. La porte s'ouvrit et ils sortirent tous les deux. les
matorans furent impressioner par la taille d'Ernax. Ce qui était
normal, même un toa paraîtrait petit par rapport à cette masse
de muscle.
- ReildarRecrue Dynamique
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Lun 16 Aoû 2010, 16:44
Chaputre 7 et 8:
Enjoy !
Chapitre 7
Ils virent tout deux une énorme vague d'assaillants. deux ou trois
canons furent placès sur les remparts des la cité tandis que la
porte se refermait dferrière eux. Quand ils les virent, les bohroks
commencèrent à se déplier. Ral concentra ses pouvoir et tira une
gigantesque lame de glace. Une dizaine de bohroks furent coupés
en deux. Ernax ne conaissait pas ses pouvoir mais il laissa son
instinct faire. Il s'approcha de ses assaillants et quand ils ne
furent plus qu'à cinq mètres de lui, il changea ses cordes vocales
et un son grave en sortit, sous forme d'onde de choc. Une autre
dizaine de bohroks fut démembrès. Ils contrattaquèrent. des tirs
d'énergies fusèrent vers eux. Ral s'était rapprocher d'Ernax et il
envelloppa son camarade, ainsi que lui même dans une guangue
de glace. Les créatures à quatres bras ressemblaient à des
reptiles noirs dont les yeux seraient entièrement rouge. Ils se
rapprochaient pendant que les bohroks tiraient. L'être blanc fit
exploser son bouclier de glace et projeta les morceaux sur ses
ennemis. Cela ne les tua pas mais les ralentit. Les canon tirèrent
mais ils ne touchèrent pas tous leur cible. Un tir de bohrok fit
exploser un canon et des matoran moururent. Ernax sauta sur
ses assaillants, déchirants leur armure à laide de ses griffes et de
ses puissants bras. Les créatures reptiliennes tenaients des
armes différentes dans chaque mains. Elles avaient des haches,
des épées, des lances et plein d'autres armes. Ernax arracha un
bras à un reptile noir et broya la coque d'un bohrok noir avec sa
machoire. Ral glea un des ses assaillants, les canon tonnèrent, il
y eu de la fummée et il en profita pour attaquer dans l'ombres, il
décapita deux créatures bipèdes, en trasperça un bohrok de ses
griffes. Il fut blesser au bras gauche, mais ce n'était pas si grave
puisqu'il maniait son arme de la main droite. Il s'abaissa pour
éviter la hache qui aurait du le décapiter. Il ne restait plus
beaucoup d'ennemis. Ernax fit son onde de choque, écrasa un
ennemi de ses deux points. Ral fit un nova de glace et tout fut
terminer. ILs avaient un énorme pouvoir. Ils avaient fait. Même des toa
n'auraient put le faire. Tout était terminer. Enfin c'était
ce qu'ils pensaient.
Chapitre 8
Une ombre surgit au dessus d'eux. Il piqua vers eux et atterit
entre eux. Cette créature était noire, orange et gris métalisé. Sa
main droite était munie de griffes oranges tandis que l'autre était
normale. Sur son avant bras gauche, il y avait une mitrailleuse
amovible. Elle possédait deux ailes qui se terminaient par une
tentacule orangée. Il avait une énorme griffe sur le torse qui
complétait son armure. Mais ce qui choqua Ral et Ernax fut le fait
qu'il possédait un kanohi. Cet être était un toa ou non? Ils ne le
savaient pas. Ils avait été surpris une seconde et cela avait suffit
pour que l'inconnu ouvre le feu sur Ral et éjecte Ernax grâce à un
éclair noir sortant de sa main droite. Ral avait vite réagit et avait
sauté sur le côté mais Ernax n'aut pas autant de chance. Il gisait
par terre et gémissait. Tous ces muscles lui faisaient mal. Il se
releva à grand peine.
-Je vois qu'il y a quand même de la résistance ici. J'aurais penssé
qu'il y aurait des toas, annonça l'inconnu.
-Comme tu le vois, il n'y a aucun toa, commença Ral, mais toi,
qui es tu.
-Je suis Medghath, toa du...excusez moi, je suis un ex-toa du son.
Je sers le grand seigneur. Dans nos rang, je suis un des six rois
du mal. Vous devrez tous nous tuez si vous voulez affrontez le
grand seigneur.
Ernax grogna. Tandis que Ral réfléchissait.
Ce n'est pas normal, il nous dit ce que nous devons faire.
Puis comme s'il avait pu lire les pensée de Ral, Medgath reprit:
-Tss, je vous donne des informations que vous n'auriez pas du
connaître. Mon côté toa ressort encore. Mais se n'est pas grâve,
puisque je vais vous tuez maintenant.
Ernax fit son rugissement pendant que Ral chargeait son pouvoir.
Leur ennemis se mit à rire. Juste avant que 'londe de son ne le
touche, un bouclier noir de forma autour de lui. Ral tira un rayon
de glace de l'autre côté. Le bouclier se forma.
-Au fait, se bouclier est un enchantement, je ne le contrôle pas.
Ral sentait qu'il pouvait faire plier le bouclier. Mais Medghath se
tourna vers lui et lui envoya une décharge d'ombre. Quand la
salve le toucha, Ral fut éjecté et son armure déchirée. Il ne
pouvait plus combattre. L'ex-toa s'approcha de lui. Ernax abattit
ses deux poings sur sonb dos mais le bouclier arrêta le coup. Il
chargea plusieur boules d'ommbre dans sa main droite et mit un
revers à Ernax qui malgrès son poids, décolla du sol pour atterir
quelques mètres plus loins. Il avait perdu conaissance. Medghath
s'approcha de Ral et pointa son arme vers la tête de l'être en
armure blanche. Ral vit un flash de lumière.
Enjoy !
Chapitre 7
Ils virent tout deux une énorme vague d'assaillants. deux ou trois
canons furent placès sur les remparts des la cité tandis que la
porte se refermait dferrière eux. Quand ils les virent, les bohroks
commencèrent à se déplier. Ral concentra ses pouvoir et tira une
gigantesque lame de glace. Une dizaine de bohroks furent coupés
en deux. Ernax ne conaissait pas ses pouvoir mais il laissa son
instinct faire. Il s'approcha de ses assaillants et quand ils ne
furent plus qu'à cinq mètres de lui, il changea ses cordes vocales
et un son grave en sortit, sous forme d'onde de choc. Une autre
dizaine de bohroks fut démembrès. Ils contrattaquèrent. des tirs
d'énergies fusèrent vers eux. Ral s'était rapprocher d'Ernax et il
envelloppa son camarade, ainsi que lui même dans une guangue
de glace. Les créatures à quatres bras ressemblaient à des
reptiles noirs dont les yeux seraient entièrement rouge. Ils se
rapprochaient pendant que les bohroks tiraient. L'être blanc fit
exploser son bouclier de glace et projeta les morceaux sur ses
ennemis. Cela ne les tua pas mais les ralentit. Les canon tirèrent
mais ils ne touchèrent pas tous leur cible. Un tir de bohrok fit
exploser un canon et des matoran moururent. Ernax sauta sur
ses assaillants, déchirants leur armure à laide de ses griffes et de
ses puissants bras. Les créatures reptiliennes tenaients des
armes différentes dans chaque mains. Elles avaient des haches,
des épées, des lances et plein d'autres armes. Ernax arracha un
bras à un reptile noir et broya la coque d'un bohrok noir avec sa
machoire. Ral glea un des ses assaillants, les canon tonnèrent, il
y eu de la fummée et il en profita pour attaquer dans l'ombres, il
décapita deux créatures bipèdes, en trasperça un bohrok de ses
griffes. Il fut blesser au bras gauche, mais ce n'était pas si grave
puisqu'il maniait son arme de la main droite. Il s'abaissa pour
éviter la hache qui aurait du le décapiter. Il ne restait plus
beaucoup d'ennemis. Ernax fit son onde de choque, écrasa un
ennemi de ses deux points. Ral fit un nova de glace et tout fut
terminer. ILs avaient un énorme pouvoir. Ils avaient fait. Même des toa
n'auraient put le faire. Tout était terminer. Enfin c'était
ce qu'ils pensaient.
Chapitre 8
Une ombre surgit au dessus d'eux. Il piqua vers eux et atterit
entre eux. Cette créature était noire, orange et gris métalisé. Sa
main droite était munie de griffes oranges tandis que l'autre était
normale. Sur son avant bras gauche, il y avait une mitrailleuse
amovible. Elle possédait deux ailes qui se terminaient par une
tentacule orangée. Il avait une énorme griffe sur le torse qui
complétait son armure. Mais ce qui choqua Ral et Ernax fut le fait
qu'il possédait un kanohi. Cet être était un toa ou non? Ils ne le
savaient pas. Ils avait été surpris une seconde et cela avait suffit
pour que l'inconnu ouvre le feu sur Ral et éjecte Ernax grâce à un
éclair noir sortant de sa main droite. Ral avait vite réagit et avait
sauté sur le côté mais Ernax n'aut pas autant de chance. Il gisait
par terre et gémissait. Tous ces muscles lui faisaient mal. Il se
releva à grand peine.
-Je vois qu'il y a quand même de la résistance ici. J'aurais penssé
qu'il y aurait des toas, annonça l'inconnu.
-Comme tu le vois, il n'y a aucun toa, commença Ral, mais toi,
qui es tu.
-Je suis Medghath, toa du...excusez moi, je suis un ex-toa du son.
Je sers le grand seigneur. Dans nos rang, je suis un des six rois
du mal. Vous devrez tous nous tuez si vous voulez affrontez le
grand seigneur.
Ernax grogna. Tandis que Ral réfléchissait.
Ce n'est pas normal, il nous dit ce que nous devons faire.
Puis comme s'il avait pu lire les pensée de Ral, Medgath reprit:
-Tss, je vous donne des informations que vous n'auriez pas du
connaître. Mon côté toa ressort encore. Mais se n'est pas grâve,
puisque je vais vous tuez maintenant.
Ernax fit son rugissement pendant que Ral chargeait son pouvoir.
Leur ennemis se mit à rire. Juste avant que 'londe de son ne le
touche, un bouclier noir de forma autour de lui. Ral tira un rayon
de glace de l'autre côté. Le bouclier se forma.
-Au fait, se bouclier est un enchantement, je ne le contrôle pas.
Ral sentait qu'il pouvait faire plier le bouclier. Mais Medghath se
tourna vers lui et lui envoya une décharge d'ombre. Quand la
salve le toucha, Ral fut éjecté et son armure déchirée. Il ne
pouvait plus combattre. L'ex-toa s'approcha de lui. Ernax abattit
ses deux poings sur sonb dos mais le bouclier arrêta le coup. Il
chargea plusieur boules d'ommbre dans sa main droite et mit un
revers à Ernax qui malgrès son poids, décolla du sol pour atterir
quelques mètres plus loins. Il avait perdu conaissance. Medghath
s'approcha de Ral et pointa son arme vers la tête de l'être en
armure blanche. Ral vit un flash de lumière.
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Lun 16 Aoû 2010, 17:12
^^" , j'aime bien ta fic , mais à mon avis laisse le temps à toust le modne de la lire .. c'est beaucoup 7 chapitre .. ralentit un peu..
- ReildarRecrue Dynamique
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Lun 16 Aoû 2010, 17:23
Si tu le dis. Pour l'instant j'en ai écrit neuf ou peut être dix. Enfin je ne sais
plus. J'avais dit que le rythme serait rapide puis ralentirait. Mais tu n'as pas
tort, je verrai quand je posterais les prochains.
plus. J'avais dit que le rythme serait rapide puis ralentirait. Mais tu n'as pas
tort, je verrai quand je posterais les prochains.
- AntoinenuvaMembre du Panthéon
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Lun 16 Aoû 2010, 17:26
Et surtout, évite les double posts, même pour les fics
- ReildarRecrue Dynamique
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Lun 16 Aoû 2010, 18:01
Ah, désolé, je n'avais pas remarqué.
Chapitre 9
Ral se tordait de douleur. Il ne savait pas ce qui c'était passé
mais cette lumière aveuglante l'avait sauvé. Il n'avait jamais
autant souffert. Il avait eu de la chance. La balle de Medghath lui
avait crevé un oeil mais c'était tout. Il avait, dans la précipitation,
créé une fine couche de glace derrière son oeil qui avait arrêté la
balle. Du sang coulait le long de son visage. Medghath ruminait.
Qui avait bien l'interrompre en plein travail ? Il se retourna et se
retrouva face à une charmante toa de foudre. Elle lui saisit les
poignet et elle les l'électrocuta ainsi qu'elle même. Faisant cela,
elle avait affaiblit son ennemi et augmenter sa force ainsi que sa
vitesse en envoyant une décharge à ses muscles. La toa balança
le serviteur des ténèbres par dessus son épaule. Celui-ci fit une
récupération aérienne et utilisa le pouvoir des ténèbres pour
attaquer. Des rayon noir jaillirent de sa main pour frapper la toa
qui décrocha des armes de ses épaule et para l'attaque. C'était
deux grandes griffes à trois lames. Ernax s'était relever. Il bondit
dans les air et arriva à hauteur de l'être malfaisant. Il brandit son
poing et l'abattit sur sa cible qui disparut d'un coup dans un
tourbillon noir.
-Prend ton amis et emmène-le à l'intérieur de la cité! Vite!
Ernax s'éxécuta et se dirigea à grand pas vers ta-nera. La toa
devait courrir pour suivre son allure. Ils arrivèrent vite devant les
portes qui étaient déjà ouverts. Ils ne s'arrétèrent pas. Ernax
savait que turaga Karava avait des notions en médecine. Il le
trouva parmi la foule et déposa Ral à ses pieds.
-Je vous en pri dites moi que vous pouvez le sauver.
Le turaga examina le corps longuement et répondit:
-Je pense que oui. Udir, va chercher Ilnar, Rexia et Tarkan !
Le matoran s'éxécuta. Ernax était à genoux devant son ami qui
avait perdu conaissance. La main rassurante de la toa de foudre
se posa sur son épaule. Elle dit d'une voix douce:
-Cela ne sert à rien de rester près de lui pour le moment, tu ne
peux rien faire. J'ai à te parler, suis moi.
Ernax fit ce qu'elle avait dit. Ils s'arrêtèrent assez loin pour que
les matorans ne puissent rien entendre.
-Mon nom est Shaza. Je suis une toa de foudre.
-Je me nomme Ernax, je ne suis rien qui existe avant moi.
-S'il te palît, raconte moi tout ce qui c'est passé depuis le début.
Ernax lui raconta tout.
-Et...que faites-vous ici ? demanda t-il.
-Tu peux me tutoyer. Je fais partit de l'ordre de mata-nui et j'ai
été envoyée ici car cette île a été rédécpuverte il y a peu. Nous
voulions nous assurer quil n'y ai rien d'anormal.
ernax était pensif. Il pouvait sentir à son odeur qu'elle était triste
et qu'elle était en colère contre elle. Rien ne se voyait sur son
visage mais il pouvait le sentir à l'odeur. Il apprendrait à la
connaître. Un allié de plus ne peux pas faire de mal. il espérait
seulement qu'elle soit vraiment un allié et que tout ceci ne fasse
pas partit d'un subterfuge.
Cela faisait plus d'une semaine que Ral était dans son lit. Il était réveiller
depuis quelques heures. Il avait été surpris de s'apercevoir que son oeil
avait été crévé. Il ne pouvait plus combattre avec un seul oeil. Il regarda
autour de lui. Il était dans la maison d'Ernax. Il se redressa et vit son sac
au pied du lit. IL se leva, vida son sac et sortit l'objet qu'il avait été
récupérer. Il commença à se mettre à casser certaines de ses affaires
pour récupérer des compasant. Il en souda entre eux. Il travaillait à vive
allure. Au bout de deux heures, Ernax rentra chez lui et rouva Ral en train
de travailler.
-Mais que fait tu? demanda Ernax. Tu devrais être en train de te reposer.
Tu as été gravement blesser.
-C'est pour continuer mon devoir. Avec un oeil, je ne peux combattre.
Nous devons continuer. Nous ne pouvons nous arrêter maintenant.
-Ral, c'est pour ton bien, tu devrais te reposer...
-Non!!! Il doit y avoir des matorans en train de mourrir en ce moment, je
ne peux avoir de repos.
-Bien, mais a tu assez de temps pour que je te présente quelqu'un?
-Oui, j'ai quelques minute.
Ernax ouvrit la porte et murmura quelque chose. Shaza entra.
-Je vous salue, noble toa, dit Ral.
Il avait toujours été fasciné par les toas.
-Appelle moi Shaza, lui répondit elle.
-Bien, je suis Ral. Mais j'ai une question à vous poser. Que faites vous ici?
Elle lui répondit la même chose qu'à Ernax.
-Bien, je suis content d'avoit un nouvel allié.
-Moi de même mais tu devrais te reposer.
-Non! Je n'en ai pas la temps.
-Si tu ne te repose pas, les matorans de verrons que leur sauveur se faire
massacrer pas leurs ennemis.
-J'ai dit que...
Elle lui envoya un léger choc électirque. Il était tellement fatigué qu'il
s'évanouit. Ernax reposa son amis sur le lit. Ral ne se réveilla que deux
jours après. Il se remit à travailler et créa un oeil mécanique. Il l'installa.
Il voyait parfaitement avec. Dès qu'il fermait son oeil organique, il pouvait
utiliser une vue télescopique avec son oeil mécanique. Il n'en voulait à
Shaza. Elle était une toa et sa déscision devait être juste. Un messager de
le-nera arriva et demanda des renforts. Shaza et Ral furent envoyés
prendant qu'Ernax protégerait la cité.
Chapitre 9
Ral se tordait de douleur. Il ne savait pas ce qui c'était passé
mais cette lumière aveuglante l'avait sauvé. Il n'avait jamais
autant souffert. Il avait eu de la chance. La balle de Medghath lui
avait crevé un oeil mais c'était tout. Il avait, dans la précipitation,
créé une fine couche de glace derrière son oeil qui avait arrêté la
balle. Du sang coulait le long de son visage. Medghath ruminait.
Qui avait bien l'interrompre en plein travail ? Il se retourna et se
retrouva face à une charmante toa de foudre. Elle lui saisit les
poignet et elle les l'électrocuta ainsi qu'elle même. Faisant cela,
elle avait affaiblit son ennemi et augmenter sa force ainsi que sa
vitesse en envoyant une décharge à ses muscles. La toa balança
le serviteur des ténèbres par dessus son épaule. Celui-ci fit une
récupération aérienne et utilisa le pouvoir des ténèbres pour
attaquer. Des rayon noir jaillirent de sa main pour frapper la toa
qui décrocha des armes de ses épaule et para l'attaque. C'était
deux grandes griffes à trois lames. Ernax s'était relever. Il bondit
dans les air et arriva à hauteur de l'être malfaisant. Il brandit son
poing et l'abattit sur sa cible qui disparut d'un coup dans un
tourbillon noir.
-Prend ton amis et emmène-le à l'intérieur de la cité! Vite!
Ernax s'éxécuta et se dirigea à grand pas vers ta-nera. La toa
devait courrir pour suivre son allure. Ils arrivèrent vite devant les
portes qui étaient déjà ouverts. Ils ne s'arrétèrent pas. Ernax
savait que turaga Karava avait des notions en médecine. Il le
trouva parmi la foule et déposa Ral à ses pieds.
-Je vous en pri dites moi que vous pouvez le sauver.
Le turaga examina le corps longuement et répondit:
-Je pense que oui. Udir, va chercher Ilnar, Rexia et Tarkan !
Le matoran s'éxécuta. Ernax était à genoux devant son ami qui
avait perdu conaissance. La main rassurante de la toa de foudre
se posa sur son épaule. Elle dit d'une voix douce:
-Cela ne sert à rien de rester près de lui pour le moment, tu ne
peux rien faire. J'ai à te parler, suis moi.
Ernax fit ce qu'elle avait dit. Ils s'arrêtèrent assez loin pour que
les matorans ne puissent rien entendre.
-Mon nom est Shaza. Je suis une toa de foudre.
-Je me nomme Ernax, je ne suis rien qui existe avant moi.
-S'il te palît, raconte moi tout ce qui c'est passé depuis le début.
Ernax lui raconta tout.
-Et...que faites-vous ici ? demanda t-il.
-Tu peux me tutoyer. Je fais partit de l'ordre de mata-nui et j'ai
été envoyée ici car cette île a été rédécpuverte il y a peu. Nous
voulions nous assurer quil n'y ai rien d'anormal.
ernax était pensif. Il pouvait sentir à son odeur qu'elle était triste
et qu'elle était en colère contre elle. Rien ne se voyait sur son
visage mais il pouvait le sentir à l'odeur. Il apprendrait à la
connaître. Un allié de plus ne peux pas faire de mal. il espérait
seulement qu'elle soit vraiment un allié et que tout ceci ne fasse
pas partit d'un subterfuge.
Cela faisait plus d'une semaine que Ral était dans son lit. Il était réveiller
depuis quelques heures. Il avait été surpris de s'apercevoir que son oeil
avait été crévé. Il ne pouvait plus combattre avec un seul oeil. Il regarda
autour de lui. Il était dans la maison d'Ernax. Il se redressa et vit son sac
au pied du lit. IL se leva, vida son sac et sortit l'objet qu'il avait été
récupérer. Il commença à se mettre à casser certaines de ses affaires
pour récupérer des compasant. Il en souda entre eux. Il travaillait à vive
allure. Au bout de deux heures, Ernax rentra chez lui et rouva Ral en train
de travailler.
-Mais que fait tu? demanda Ernax. Tu devrais être en train de te reposer.
Tu as été gravement blesser.
-C'est pour continuer mon devoir. Avec un oeil, je ne peux combattre.
Nous devons continuer. Nous ne pouvons nous arrêter maintenant.
-Ral, c'est pour ton bien, tu devrais te reposer...
-Non!!! Il doit y avoir des matorans en train de mourrir en ce moment, je
ne peux avoir de repos.
-Bien, mais a tu assez de temps pour que je te présente quelqu'un?
-Oui, j'ai quelques minute.
Ernax ouvrit la porte et murmura quelque chose. Shaza entra.
-Je vous salue, noble toa, dit Ral.
Il avait toujours été fasciné par les toas.
-Appelle moi Shaza, lui répondit elle.
-Bien, je suis Ral. Mais j'ai une question à vous poser. Que faites vous ici?
Elle lui répondit la même chose qu'à Ernax.
-Bien, je suis content d'avoit un nouvel allié.
-Moi de même mais tu devrais te reposer.
-Non! Je n'en ai pas la temps.
-Si tu ne te repose pas, les matorans de verrons que leur sauveur se faire
massacrer pas leurs ennemis.
-J'ai dit que...
Elle lui envoya un léger choc électirque. Il était tellement fatigué qu'il
s'évanouit. Ernax reposa son amis sur le lit. Ral ne se réveilla que deux
jours après. Il se remit à travailler et créa un oeil mécanique. Il l'installa.
Il voyait parfaitement avec. Dès qu'il fermait son oeil organique, il pouvait
utiliser une vue télescopique avec son oeil mécanique. Il n'en voulait à
Shaza. Elle était une toa et sa déscision devait être juste. Un messager de
le-nera arriva et demanda des renforts. Shaza et Ral furent envoyés
prendant qu'Ernax protégerait la cité.
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Mer 25 Aoû 2010, 16:38
Je trouve qu'il y a un bon emploi varié du vocabulaire. Une très bonne orthographe et une histoire très sympa !
Reste le problème des saut del ignes, qui au bout de quelques seconde de lecture me font mal au yeux , mais ça c'est pas grave.
En tout cas très bonne fic' !
9/10 !!!
Reste le problème des saut del ignes, qui au bout de quelques seconde de lecture me font mal au yeux , mais ça c'est pas grave.
En tout cas très bonne fic' !
9/10 !!!
- ReildarRecrue Dynamique
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Mer 01 Sep 2010, 16:55
Chapitre 11
Cela faisait plusieurs jours que Ral et Shaza étaient partis vers Le-nera. Ils avançaient vite.
Ral fut surprit par l'agilité et l'endurance de la toa. C'était elle qui devait l'attendre. Ral
pensait à Medghath. il devait se venger. Sans Shaza, il auraut faillit à sa tâche et il ne le
voulait pas. Il devait protéger les matorans. Il devait vaincre Medghath pour montrer au
matorans qu'ils pouvaient toujours compter pour lui. Il savait qu'il ne devrait pas suivre le
chemin de la veengeance mais il ne voulait se résonner. Il savait pourtant qu'il faisait une
grosse erreur et qu'il allait le payer cher. Mais cela l'importait eu. Il voulait tuer Medghath. il
espérait que ce soit lui qui était à Le-nera. Il commençait à se faire tard. Shaza proposa
une halte. ou plutot, ordonna une halte. Ral ne paraissait pas fatigué. il avait espérer être à
Le-nera dans la journée mais il était trop lent.
-Prend un peu de repos, lui intima Shaza.
-Je n'en ai pas le temps, je dois les sauver. Tu ne comprend donc pas, ils sont en train de
mourrir.
-Ecoute, si tu y vas maintenant, tout ce qu'ils verront, c'est leut protecteur se faire tuer. Et
à ce moment, ils n'aurront plus aucun espoir de s'en sortir. Tu as bien compris ?
Ral baissa la tête et partit se coucher.
Ah ! Ce qu'il peut être entété.
Medghath était à genoux dans une grotte sombre. Il était en face d'un portail noir, scéllé
par des chaînes fissurées. Il n'aurait jamais la force de briser ces chaînes. Seul son maître
en avait le pouvoir. Et il allait bientôt se réveiller. Une voix résonna dans sa tête.
Tu as échoué. Il me faut plus de sacrifice!
Il sentait une énorme douleur dans son crâne.
-Je suis désolé maître mais un toa à interférer. Je ferai mieux la prochaîne fois.
Ce toa n'est il pas Shaza ?
-Vous avez raison mon maître.
Tu te laissa encore avoir par tes sentiments. C'est pitoyable.
-Je ne me suis pas laisser avoir par mes sentiments, c'est faux.
Il n'osait que rarement le contredire.
-J'ai été pris par surprise et elle est très forte. Je ne faillirais pas.
Je l'espère Medghath, je l'espère. Mainteanaznt, va.
La toa de foudre et l'ex ko-matoran était arrivés à Le-nera. Les bâtiments étaient en ruines,
il y avait des corps à terre. Un étrange être était là, debout en les attendant. C'était un
homme-reptile. Il avait une cape qui lui recouvrait la moitié droite du corps. Dans sa main
gauche, il tenait une énorme épée. il la tenait à l'envers. Sa chair paraissait flétrie et
pourrie. Dès fois, il y avait un endroit sur son corps où l'on ne voyait plus de chair mais un
os. on aurait dit qu'il sortait d'outre tombe. Il lregarda les deux arrivants et dit:
-Je vous attendait. mais vous n'étiez pas trois ?
-Nous sommes deux et c'est bien suffisant pour t'anéantir, dit Ral.
-Vous croyez ?
Shaza n'attendit pas. Elle lança une boule de foudre sur le reptile et s'arma de ses deux
griffes. Leur ennimi vola et traversa une petite maison de bois. Ral qui avait déjà sa lance
en main, concentra son pouvoir élémentaire dans la lame de son arme tandis que le Reptile
se relevait.
-Eh bien, on dirait que vous...
il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Une vague de froid le gela entièrement. Shaza
envoya des éclair sur l'ennemi immobile. Celui-ci brisa la glace avant d'être éjecter. Il se
releva et dit:
-Laissez moi au moins me présenter. Je me nomme Orph...
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Ral avait déjà planter sa lance dans son coeur.
Orph sourit.
-Je n'ai pas d'organe vitaux et je ne sent pas la douleur...
Les deux amis furent choqué qu'il parle encore.
Cela faisait plusieurs jours que Ral et Shaza étaient partis vers Le-nera. Ils avançaient vite.
Ral fut surprit par l'agilité et l'endurance de la toa. C'était elle qui devait l'attendre. Ral
pensait à Medghath. il devait se venger. Sans Shaza, il auraut faillit à sa tâche et il ne le
voulait pas. Il devait protéger les matorans. Il devait vaincre Medghath pour montrer au
matorans qu'ils pouvaient toujours compter pour lui. Il savait qu'il ne devrait pas suivre le
chemin de la veengeance mais il ne voulait se résonner. Il savait pourtant qu'il faisait une
grosse erreur et qu'il allait le payer cher. Mais cela l'importait eu. Il voulait tuer Medghath. il
espérait que ce soit lui qui était à Le-nera. Il commençait à se faire tard. Shaza proposa
une halte. ou plutot, ordonna une halte. Ral ne paraissait pas fatigué. il avait espérer être à
Le-nera dans la journée mais il était trop lent.
-Prend un peu de repos, lui intima Shaza.
-Je n'en ai pas le temps, je dois les sauver. Tu ne comprend donc pas, ils sont en train de
mourrir.
-Ecoute, si tu y vas maintenant, tout ce qu'ils verront, c'est leut protecteur se faire tuer. Et
à ce moment, ils n'aurront plus aucun espoir de s'en sortir. Tu as bien compris ?
Ral baissa la tête et partit se coucher.
Ah ! Ce qu'il peut être entété.
Medghath était à genoux dans une grotte sombre. Il était en face d'un portail noir, scéllé
par des chaînes fissurées. Il n'aurait jamais la force de briser ces chaînes. Seul son maître
en avait le pouvoir. Et il allait bientôt se réveiller. Une voix résonna dans sa tête.
Tu as échoué. Il me faut plus de sacrifice!
Il sentait une énorme douleur dans son crâne.
-Je suis désolé maître mais un toa à interférer. Je ferai mieux la prochaîne fois.
Ce toa n'est il pas Shaza ?
-Vous avez raison mon maître.
Tu te laissa encore avoir par tes sentiments. C'est pitoyable.
-Je ne me suis pas laisser avoir par mes sentiments, c'est faux.
Il n'osait que rarement le contredire.
-J'ai été pris par surprise et elle est très forte. Je ne faillirais pas.
Je l'espère Medghath, je l'espère. Mainteanaznt, va.
La toa de foudre et l'ex ko-matoran était arrivés à Le-nera. Les bâtiments étaient en ruines,
il y avait des corps à terre. Un étrange être était là, debout en les attendant. C'était un
homme-reptile. Il avait une cape qui lui recouvrait la moitié droite du corps. Dans sa main
gauche, il tenait une énorme épée. il la tenait à l'envers. Sa chair paraissait flétrie et
pourrie. Dès fois, il y avait un endroit sur son corps où l'on ne voyait plus de chair mais un
os. on aurait dit qu'il sortait d'outre tombe. Il lregarda les deux arrivants et dit:
-Je vous attendait. mais vous n'étiez pas trois ?
-Nous sommes deux et c'est bien suffisant pour t'anéantir, dit Ral.
-Vous croyez ?
Shaza n'attendit pas. Elle lança une boule de foudre sur le reptile et s'arma de ses deux
griffes. Leur ennimi vola et traversa une petite maison de bois. Ral qui avait déjà sa lance
en main, concentra son pouvoir élémentaire dans la lame de son arme tandis que le Reptile
se relevait.
-Eh bien, on dirait que vous...
il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Une vague de froid le gela entièrement. Shaza
envoya des éclair sur l'ennemi immobile. Celui-ci brisa la glace avant d'être éjecter. Il se
releva et dit:
-Laissez moi au moins me présenter. Je me nomme Orph...
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Ral avait déjà planter sa lance dans son coeur.
Orph sourit.
-Je n'ai pas d'organe vitaux et je ne sent pas la douleur...
Les deux amis furent choqué qu'il parle encore.
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Mer 01 Sep 2010, 16:57
Bon Chapitre! J'aime Bien ! Continue !
- ReildarRecrue Dynamique
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Mer 01 Sep 2010, 22:38
Chapitre 10
Cela faisait plus d'une semaine que Ral était dans son lit. Il était réveiller
depuis quelques heures. Il avait été surpris de s'apercevoir que son oeil
avait été crévé. Il ne pouvait plus combattre avec un seul oeil. Il regarda
autour de lui. Il était dans la maison d'Ernax. Il se redressa et vit son sac
au pied du lit. IL se leva, vida son sac et sortit l'objet qu'il avait été
récupérer. Il commença à se mettre à casser certaines de ses affaires
pour récupérer des compasant. Il en souda entre eux. Il travaillait à vive
allure. Au bout de deux heures, Ernax rentra chez lui et rouva Ral en train
de travailler.
-Mais que fait tu? demanda Ernax. Tu devrais être en train de te reposer.
Tu as été gravement blesser.
-C'est pour continuer mon devoir. Avec un oeil, je ne peux combattre.
Nous devons continuer. Nous ne pouvons nous arrêter maintenant.
-Ral, c'est pour ton bien, tu devrais te reposer...
-Non!!! Il doit y avoir des matorans en train de mourrir en ce moment, je
ne peux avoir de repos.
-Bien, mais a tu assez de temps pour que je te présente quelqu'un?
-Oui, j'ai quelques minute.
Ernax ouvrit la porte et murmura quelque chose. Shaza entra.
-Je vous salue, noble toa, dit Ral.
Il avait toujours été fasciné par les toas.
-Appelle moi Shaza, lui répondit elle.
-Bien, je suis Ral. Mais j'ai une question à vous poser. Que faites vous ici?
Elle lui répondit la même chose qu'à Ernax.
-Bien, je suis content d'avoit un nouvel allié.
-Moi de même mais tu devrais te reposer.
-Non! Je n'en ai pas la temps.
-Si tu ne te repose pas, les matorans de verrons que leur sauveur se faire
massacrer pas leurs ennemis.
-J'ai dit que...
Elle lui envoya un léger choc électirque. Il était tellement fatigué qu'il
s'évanouit. Ernax reposa son amis sur le lit. Ral ne se réveilla que deux
jours après. Il se remit à travailler et créa un oeil mécanique. Il l'installa.
Il voyait parfaitement avec. Dès qu'il fermait son oeil organique, il pouvait
utiliser une vue télescopique avec son oeil mécanique. Il n'en voulait à
Shaza. Elle était une toa et sa déscision devait être juste. Un messager de
le-nera arriva et demanda des renforts. Shaza et Ral furent envoyés
prendant qu'Ernax protégerait la cité.
Cela faisait plus d'une semaine que Ral était dans son lit. Il était réveiller
depuis quelques heures. Il avait été surpris de s'apercevoir que son oeil
avait été crévé. Il ne pouvait plus combattre avec un seul oeil. Il regarda
autour de lui. Il était dans la maison d'Ernax. Il se redressa et vit son sac
au pied du lit. IL se leva, vida son sac et sortit l'objet qu'il avait été
récupérer. Il commença à se mettre à casser certaines de ses affaires
pour récupérer des compasant. Il en souda entre eux. Il travaillait à vive
allure. Au bout de deux heures, Ernax rentra chez lui et rouva Ral en train
de travailler.
-Mais que fait tu? demanda Ernax. Tu devrais être en train de te reposer.
Tu as été gravement blesser.
-C'est pour continuer mon devoir. Avec un oeil, je ne peux combattre.
Nous devons continuer. Nous ne pouvons nous arrêter maintenant.
-Ral, c'est pour ton bien, tu devrais te reposer...
-Non!!! Il doit y avoir des matorans en train de mourrir en ce moment, je
ne peux avoir de repos.
-Bien, mais a tu assez de temps pour que je te présente quelqu'un?
-Oui, j'ai quelques minute.
Ernax ouvrit la porte et murmura quelque chose. Shaza entra.
-Je vous salue, noble toa, dit Ral.
Il avait toujours été fasciné par les toas.
-Appelle moi Shaza, lui répondit elle.
-Bien, je suis Ral. Mais j'ai une question à vous poser. Que faites vous ici?
Elle lui répondit la même chose qu'à Ernax.
-Bien, je suis content d'avoit un nouvel allié.
-Moi de même mais tu devrais te reposer.
-Non! Je n'en ai pas la temps.
-Si tu ne te repose pas, les matorans de verrons que leur sauveur se faire
massacrer pas leurs ennemis.
-J'ai dit que...
Elle lui envoya un léger choc électirque. Il était tellement fatigué qu'il
s'évanouit. Ernax reposa son amis sur le lit. Ral ne se réveilla que deux
jours après. Il se remit à travailler et créa un oeil mécanique. Il l'installa.
Il voyait parfaitement avec. Dès qu'il fermait son oeil organique, il pouvait
utiliser une vue télescopique avec son oeil mécanique. Il n'en voulait à
Shaza. Elle était une toa et sa déscision devait être juste. Un messager de
le-nera arriva et demanda des renforts. Shaza et Ral furent envoyés
prendant qu'Ernax protégerait la cité.
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Jeu 02 Sep 2010, 08:47
Sympa ! Ral sera le Dernier Espoir
- ReildarRecrue Dynamique
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Mer 15 Sep 2010, 17:39
Chapitre 11
Cela faisait plusieurs jours que Ral et Shaza étaient partis vers Le-nera. Ils avançaient vite.
Ral fut surprit par l'agilité et l'endurance de la toa. C'était elle qui devait l'attendre. Ral
pensait à Medghath. il devait se venger. Sans Shaza, il auraut faillit à sa tâche et il ne le
voulait pas. Il devait protéger les matorans. Il devait vaincre Medghath pour montrer au
matorans qu'ils pouvaient toujours compter pour lui. Il savait qu'il ne devrait pas suivre le
chemin de la veengeance mais il ne voulait se résonner. Il savait pourtant qu'il faisait une
grosse erreur et qu'il allait le payer cher. Mais cela l'importait eu. Il voulait tuer Medghath. il
espérait que ce soit lui qui était à Le-nera. Il commençait à se faire tard. Shaza proposa
une halte. ou plutot, ordonna une halte. Ral ne paraissait pas fatigué. il avait espérer être à
Le-nera dans la journée mais il était trop lent.
-Prend un peu de repos, lui intima Shaza.
-Je n'en ai pas le temps, je dois les sauver. Tu ne comprend donc pas, ils sont en train de
mourrir.
-Ecoute, si tu y vas maintenant, tout ce qu'ils verront, c'est leut protecteur se faire tuer. Et
à ce moment, ils n'aurront plus aucun espoir de s'en sortir. Tu as bien compris ?
Ral baissa la tête et partit se coucher.
Ah ! Ce qu'il peut être entété.
Medghath était à genoux dans une grotte sombre. Il était en face d'un portail noir, scéllé
par des chaînes fissurées. Il n'aurait jamais la force de briser ces chaînes. Seul son maître
en avait le pouvoir. Et il allait bientôt se réveiller. Une voix résonna dans sa tête.
Tu as échoué. Il me faut plus de sacrifice!
Il sentait une énorme douleur dans son crâne.
-Je suis désolé maître mais un toa à interférer. Je ferai mieux la prochaîne fois.
Ce toa n'est il pas Shaza ?
-Vous avez raison mon maître.
Tu te laissa encore avoir par tes sentiments. C'est pitoyable.
-Je ne me suis pas laisser avoir par mes sentiments, c'est faux.
Il n'osait que rarement le contredire.
-J'ai été pris par surprise et elle est très forte. Je ne faillirais pas.
Je l'espère Medghath, je l'espère. Mainteanaznt, va.
La toa de foudre et l'ex ko-matoran était arrivés à Le-nera. Les bâtiments étaient en ruines,
il y avait des corps à terre. Un étrange être était là, debout en les attendant. C'était un
homme-reptile. Il avait une cape qui lui recouvrait la moitié droite du corps. Dans sa main
gauche, il tenait une énorme épée. il la tenait à l'envers. Sa chair paraissait flétrie et
pourrie. Dès fois, il y avait un endroit sur son corps où l'on ne voyait plus de chair mais un
os. on aurait dit qu'il sortait d'outre tombe. Il lregarda les deux arrivants et dit:
-Je vous attendait. mais vous n'étiez pas trois ?
-Nous sommes deux et c'est bien suffisant pour t'anéantir, dit Ral.
-Vous croyez ?
Shaza n'attendit pas. Elle lança une boule de foudre sur le reptile et s'arma de ses deux
griffes. Leur ennimi vola et traversa une petite maison de bois. Ral qui avait déjà sa lance
en main, concentra son pouvoir élémentaire dans la lame de son arme tandis que le Reptile
se relevait.
-Eh bien, on dirait que vous...
il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Une vague de froid le gela entièrement. Shaza
envoya des éclair sur l'ennemi immobile. Celui-ci brisa la glace avant d'être éjecter. Il se
releva et dit:
-Laissez moi au moins me présenter. Je me nomme Orph...
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Ral avait déjà planter sa lance dans son coeur.
Orph sourit.
-Je n'ai pas d'organe vitaux et je ne sent pas la douleur...
Les deux amis furent choqué qu'il parle encore.
Cela faisait plusieurs jours que Ral et Shaza étaient partis vers Le-nera. Ils avançaient vite.
Ral fut surprit par l'agilité et l'endurance de la toa. C'était elle qui devait l'attendre. Ral
pensait à Medghath. il devait se venger. Sans Shaza, il auraut faillit à sa tâche et il ne le
voulait pas. Il devait protéger les matorans. Il devait vaincre Medghath pour montrer au
matorans qu'ils pouvaient toujours compter pour lui. Il savait qu'il ne devrait pas suivre le
chemin de la veengeance mais il ne voulait se résonner. Il savait pourtant qu'il faisait une
grosse erreur et qu'il allait le payer cher. Mais cela l'importait eu. Il voulait tuer Medghath. il
espérait que ce soit lui qui était à Le-nera. Il commençait à se faire tard. Shaza proposa
une halte. ou plutot, ordonna une halte. Ral ne paraissait pas fatigué. il avait espérer être à
Le-nera dans la journée mais il était trop lent.
-Prend un peu de repos, lui intima Shaza.
-Je n'en ai pas le temps, je dois les sauver. Tu ne comprend donc pas, ils sont en train de
mourrir.
-Ecoute, si tu y vas maintenant, tout ce qu'ils verront, c'est leut protecteur se faire tuer. Et
à ce moment, ils n'aurront plus aucun espoir de s'en sortir. Tu as bien compris ?
Ral baissa la tête et partit se coucher.
Ah ! Ce qu'il peut être entété.
Medghath était à genoux dans une grotte sombre. Il était en face d'un portail noir, scéllé
par des chaînes fissurées. Il n'aurait jamais la force de briser ces chaînes. Seul son maître
en avait le pouvoir. Et il allait bientôt se réveiller. Une voix résonna dans sa tête.
Tu as échoué. Il me faut plus de sacrifice!
Il sentait une énorme douleur dans son crâne.
-Je suis désolé maître mais un toa à interférer. Je ferai mieux la prochaîne fois.
Ce toa n'est il pas Shaza ?
-Vous avez raison mon maître.
Tu te laissa encore avoir par tes sentiments. C'est pitoyable.
-Je ne me suis pas laisser avoir par mes sentiments, c'est faux.
Il n'osait que rarement le contredire.
-J'ai été pris par surprise et elle est très forte. Je ne faillirais pas.
Je l'espère Medghath, je l'espère. Mainteanaznt, va.
La toa de foudre et l'ex ko-matoran était arrivés à Le-nera. Les bâtiments étaient en ruines,
il y avait des corps à terre. Un étrange être était là, debout en les attendant. C'était un
homme-reptile. Il avait une cape qui lui recouvrait la moitié droite du corps. Dans sa main
gauche, il tenait une énorme épée. il la tenait à l'envers. Sa chair paraissait flétrie et
pourrie. Dès fois, il y avait un endroit sur son corps où l'on ne voyait plus de chair mais un
os. on aurait dit qu'il sortait d'outre tombe. Il lregarda les deux arrivants et dit:
-Je vous attendait. mais vous n'étiez pas trois ?
-Nous sommes deux et c'est bien suffisant pour t'anéantir, dit Ral.
-Vous croyez ?
Shaza n'attendit pas. Elle lança une boule de foudre sur le reptile et s'arma de ses deux
griffes. Leur ennimi vola et traversa une petite maison de bois. Ral qui avait déjà sa lance
en main, concentra son pouvoir élémentaire dans la lame de son arme tandis que le Reptile
se relevait.
-Eh bien, on dirait que vous...
il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Une vague de froid le gela entièrement. Shaza
envoya des éclair sur l'ennemi immobile. Celui-ci brisa la glace avant d'être éjecter. Il se
releva et dit:
-Laissez moi au moins me présenter. Je me nomme Orph...
Il n'eut pas le temps de finir sa phrase. Ral avait déjà planter sa lance dans son coeur.
Orph sourit.
-Je n'ai pas d'organe vitaux et je ne sent pas la douleur...
Les deux amis furent choqué qu'il parle encore.
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Mer 15 Sep 2010, 17:43
Sympa ^^, sympa.
Me suis marrer vers le milieu quand j'ai vu l'expression : le maitre.. (tout simplement parceque je me suis repassé les épisodes de Lordoftherings etça ça m'a rappeller " Le maitre.le maitre je doit obéîr au maitre.. Goooolllumm.. Mon Précieux.. etcetc..)
Me suis marrer vers le milieu quand j'ai vu l'expression : le maitre.. (tout simplement parceque je me suis repassé les épisodes de Lordoftherings etça ça m'a rappeller " Le maitre.le maitre je doit obéîr au maitre.. Goooolllumm.. Mon Précieux.. etcetc..)
- AgoraMembre d'Élite
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Mer 15 Sep 2010, 17:56
Bonne fic' Reildar ^^
J'aime beaucoup les noms.
J'aime beaucoup les noms.
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Jeu 16 Sep 2010, 17:01
lu su BL, mais j'ai commême relu.
- ReildarRecrue Dynamique
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Sam 18 Sep 2010, 22:13
Chapitre Douze
Ernax avait un mauvais pressentiment. Il aurait dut aller avec son ami et laisser la cité aux soins de Shaza. Quelque chose de terrible allait se passer. Il en était sur. Quoi que cela puisse être, c’était
dangereux. Il n’avait pas peur pour la toa de foudre mais plutôt pour Ral qui n’était pas dans son état normal depuis qu’il avait été vaincu. Il pouvait voir sans yeux. Il n’eut pas besoin de lever la tête pour comprendre
que le nuage qui filait vers la cité à vive allure n’était pas normal. Il cria :
-Aux armes, l’ennemi est déjà là !
Le nuage, qui était noir, se stabilisa au dessus de Ta-nera. Ernax redoutait le pire. Il était le seul guerrier et il devait protéger à lui tout seul la plus grande cité de Nera-nui.
Ral retira sa lance et fit un bon en arrière pour être hors de porté de son adversaire. Celui-ci dit :
-Ne voulez-vous pas vous assoir et discutez un moment ?
Shaza fut la plus surprise. Jamais elle n’avait vu en ennemi interrompre un combat pour discuter avec ceux qui voulaient le faire taire à jamais. Elle accepta néanmoins. Ral fit de même. Orph lâcha un soupir de
soulagement et s’assit. La membre de l’ordre de Mata-nui fuit de même, tandis que l’ex Ko-matoran préféra rester debout.
-Que voulez vous nous dire ? demanda la toa.
-Mon nom est Orph et je suis un Ractelien, une race disparue depuis des années. J’ét ais un héro. L’un des plus grands guerriers de l’île…
-Vous voulez dire cette île ? le questionna Ral.
-Oui, cette île. Cette île accueillait les dernier représentants des racteliens. Un jour un mal s’insinua sur cette île. Je n’ai jamais su ce que c’était vraiment. Beaucoup des miens ce sont laisser corrompre. Mais nous les
avons exterminés. Pas très longtemps après, des toas ont débarqué sur cette île pour purifier le mal. Ils nous ont crus corrompus mais nous étions pures. Il y eu alors une guerre. Je fut le dernier à me tenir debout, sur la
plaine de sang.
Ral connaissait cette plaine sauf qu’elle était appelée la plaine rouge.
-Le mal a été emprisonné mais non vaincu. Il m’a aider à revenir sur ce monde pour me venger. Je suis un des rois du mal. Je sers maintenant le mal que j’ai combattus il y a si longtemps, juste pour assouvir mon désir
de vengeance et exterminer le plus de toas possible afin de leur montrer ce c’est de mourir sans raison valable.
Shaza connaissait cette guerre. Mais elle n’y avait jamais participée. L’homme reptile se leva d’un bon et ajouta :
-Toi, celui qui manie la glace, je sais que tu n’es pas un toa et je ne te veux aucun mal. Par contre, si tu veux te battre, dit le tout de suite.
Shaza se releva elle aussi.
-Bien sur que je veux me battre, je ne laisse pas tomber mes amis.
Il n’y avait eu aucune hésitation dans la voie de Ral.
Des centaines et des centaines de monstres ailés étaient sortis du nuage. Ils était relativement faible par rapport au gardien de la ville. Mais ils étaient tellement nombreux. Ernax était le seul vrai protecteur de cette ville.
Sa voix était forte et puissante. Il rugit aussi fort qu’il le pouvait. C’était le signal. Tous les matorans prirent les armes et se préparèrent à combattre. Mais ils ne savaient pas que l’ennemi venait du ciel. Aussi furent il
surpris lorsqu’un monstre tomba sur l’un des leurs. Ernax en attrapa un pas le pied et l’écrasa sauvagement sur le sol. A peine eu t-il fait cela qu’une dizaine de créatures ailées s’abattirent sur lui.
Shaza avait été déjà blessée deux fois. Les blessures n’étaient pas profonde. Elle n’arrivait à s’habituer au style de combat de leur ennemi. C’était insensé. Il se jetait sous ses armes. Il pouvait être blessé, ce n’était pas
un problème. Ral évita un coup qui aurait du le décapiter. Et contrattaqua avec une vague de gel. Orph la traversa et commença à geler. Il ne ressentait pas le froid. Ce qui choquait le plus Ral était le fait qu’il se battait
avec une seule main. L’autre était cachée par sa cape. Ils étaient deux contre lui et ils étaient en difficulté. Ce revenant était bien plus fort que Medghath. Une décharge électrique toucha la cape de l’homme lézard. Celle-
ci prit feu et découvrit un bras monstrueux. Il était bien plus grand et plus gros que l’autre. Il se terminait pas de longues griffes.
-Qu’est ce que… ?
-C’est un cadeau du grand seigneur.
Orph tendit son bras vers la toa. Ral voulu le couper mais la créature reptilienne para avec son épée. Il ne se passa rien. Pourtant Shaza fut projetée si fort qu’elle traversa un arbre. Elle était entourée d’éclairs noir. Ral
l’entendit hurler. Il resta là sans bouger, pétrifié par la peur.
Ernax était en sang. Partout, il y avait du sang et des cadavres. Des cadavres de monstres ailés et de matorans. Il saisit un de ses assaillant par la gorge et la broya. Il y avait des monstres partout. Une griffe le toucha
au flan. Il modifia ses cordes vocales et rugit. Une onde de choc sortit de sa bouche et démembra tous les adversaire qui étaient devant lui. Ils furent vite remplacés pas d’autres. Ernax frappait, tranchait, écrasait,
démembrait, mais il n’y avait rien à faire. Il avait l’impression que le nombre d’ennemis ne changeait pas. Il extermina la dizaine de monstres devant lui. Il était si fatigué et si blessé, qu’il tomba à genoux. Avec sa vision
spéciale, il pouvait voir à trois cent soixante degrés. Un étrange être entra dans le champ de vision d’Ernax. Il n’était pas du tout comme les autres. Il devait au moins être aussi fort que Medghath. Ernax n’avait plus
aucune force. Il vit sa fin arrivée. Il espérait que les autres s’en sortait mieux.
Shaza s’était tue. Elle ne bougeait plus et ne criait plus. Ral ne savait pas si elle était toujours vivante. Il n’avait pas réussi à supporter les cis de son amie. Orph avait attendu patiemment mais avait finit par partir. Ral
s’était alors remit en garde. Il devait venger Shaza. Tant pis s’il mourrait maintenant. Cela passait avant son devoir. Orph sze retourna et soupira.
-On dirait que tu veux quand même te battre alors que tu as vu avec quelle facilité que je l’ai envoyé dans l’autre monde.
Ral fut choqué. Shaza était résistante, et bien plus forte que lui. Elle ne pouvait être morte. Ral de jeta sur Orph qui tendit la main vers Ral. L’ex ko-matoran évita l’attaque en sa jetant sur le côté. Plusieurs arbres furent
détruit. S’il n’avait pas éviter l’attaque invisible, il serait probablement mort. Des liane se levèrent et se dirigèrent vers Ral. Il se rendit compte que tout était finit. Il ne pouvait faire face à Orph et à un monstre de la forêt.
- AgoraMembre d'Élite
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Dim 19 Sep 2010, 10:12
Wow ! (Nan, pas World of Warcraft.)
Superbe chapitre ! Je me demande si Shaza est morte.
Superbe chapitre ! Je me demande si Shaza est morte.
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Dim 19 Sep 2010, 13:12
Un seul mots: j'adore!
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Dim 19 Sep 2010, 16:22
Sympa ! çà me fait pensé à ma fic ! J'aime bcp !
- ReildarRecrue Dynamique
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Dim 26 Sep 2010, 19:43
Chapitre 13
Une créature ailée vola vers Ernax. Il était prêt à la décapiter. L’étrange être courut lui aussi vers Ernax. Les deux se rejoignirent. Ils allait frapper au même moment. Aussi Ernax fut il surpris lorsqu‘il vit la lame de celui qu’il avait prit pour un ennemi, couper en deux la créature possédant des ailes. Il était dans une grande armure. Elle devait être très lourde. Celui qui était dedans possédait une grande force pour la porter. Son casque n’avait qu’un orifice pour un seul et unique œil. Une brume bleu luminescent s’entourait un peu l’armure. >Cette même brume était dans le casque. Le chevalier avait une grande épée et un lourd bouclier. Ernax avait déjà vu cette armure. Elle était dans maison de Turaga Karava. Elle appartenait, selon le turaga à un noble et puissant toa. Mais celui-ci était mort depuis longtemps. Qui était alors dans cette armure ? Ernax ne la savait pas.
-Je me nomme Frostal, dit il en tendant sa main à Ernax. Allez vous mettre à l’abris, je m’occupe de tout. Ernax saisit la main de Frostal avant d’aller se réfugier. Le chevalier se dirigea vers le centre de Ta-nera. C’était à cet endroit qu’il y avait le plus de monstres.
Ral se savait mort. Il vit les tentacule se faire exploser par l’attaque d’Orph. Il avait eu de la chance. Il bondit. Para l’attaque du reptile. Celui-ci se recula et tendit sa main vers Ral. Il était trop tard. Il n’avait su faire une bonne utilisation de son petit répit. Les lianes passèrent devant lui et formèrent un mur. Elles explosèrent et un cri retentit dans la forêt. Des tentacules vertes sortirent de partout et foncèrent dur Orph qui laissa échapper un petit cri de peur. Il fut écraser. Les tentacules s’enlevèrent rapidement. Il ne restait rien, il avait disparut. Les lianes s’entremêlèrent pour former une femme. Elle prit la parole alors que Ral, reculait, terrifié par ce qui avait fait fuir Orph.
-Je ne te veux aucun mal.
La voix était antique mais féminine.
-Que…Qui êtes vous ? demanda Ral.
-Je suis la gardienne de cette forêt. Ce qui ce tiens devant toi n’est pas mon corps. Je peux contrôler toute la forêt mais mon pouvoir s’arrête là, je ne connait rien de ce qui se passe à l’estérieur. Peux-tu me conter pourquoi Le-nera a été attaquée ?
-Bien sur, dit Ral.
Sa voie était chevrotante. Il ne savait pas si ce que disait cette femme plante était vrai mais il ne voulait pas mourir.
Shaza remua. Elle se mit sur le dos et ouvrit les yeux. Elle fut prit de stupeur. Elle faillit crier de peur mais Medghath posa sa main sur sa bouche.
-Doucement, ne te débat pas et ne crie pas. Je ne te veux aucun mal. Tu es d’accord ?
Elle hocha la tête.
-Bien…
Il retira sa main.
La toa de foudre se releva. Elle avait mal. Ses jambes lâchèrent et le renégat la rattrapa, puis la posa au sol.
-Que…que me veux…tu ? parvint elle à dire.
-Shaza, je n’ai aucune envie de me battre contre toi. S’il te plait, pars d’ici.
-Pourquoi t’es tu retourné contre nous ?
-Tu sais, l’ordre de mata-nui m’a fait entrer car tu m’avais recommander. Mais ils se sont bien vite aperçus que je n’avais pas la force de faire parti de l’organisation. Comme ils m’avaient déjà accepté et que je te connaissait bien, ils ne m’ont pas renvoyé. Je passais mes journées dans mes quartiers alors que certains comme toi avaient des missions. Je ne servait à rien. Je ne pouvais même plus protéger mon village. Un jour je suis parti pour aller voir mon village et je l’ai trouvé détruit. L’attaque venait de se produire. Il n’y avait des cadavres de monstres et de matorans mais pas un seul cadavre de toas. Les matorans de mon villages n’avaient bénéficié d’aucun protecteur. Ils s’étaient battus seul, sans espoir. J’ai ensuite errer d’îles en îles jusqu’ici. Et le grand seigneur m’a donné un nouveau but. Shaza, tu es la seule à qui je ne pourrais jamais faire de mal. Je t’en prie, pars avant que ne commette l’irréparable.
Sur ces mots, il disparut dans une sorte de trou noir.
Shaza était intérieurement déchirée. Elle se rendormit.
Ral avait finit de tout conter à la femme plante.
-La situation est bien plus grave que je ne le pensais. Mon véritable corps ne peut sortir de cette forêt. Je vais devoir faire quelques chose que je n’ai pas fait depuis des millénaires, suis moi.
-Attendez, dit Ral, il y a amie.
Il pointait la direction où Shaza s’était écrasé. Des lianes partirent dans cette direction et ramenèrent le corps de la toa. Elle était en mauvais état, son corps était brulé et son armure déchirée par endroit.
Ils marchèrent ,en silence, dans la forêt, si longtemps que Ral n’aurait pu dire l’heure ni retrouver son chemin. Ils arrivèrent vers un arbre énorme. Son tronc faisait au moins dix fois l’épaisseur d’Ernax. La femme plante posa sa main sur le tronc et resta là, sans bouger pendant quelques minutes. Le sol se mit à trembler. Ral fut jeter à terre par la puissance de ce tremblement de terre/ Le tronc de l’arbre s’ouvrit. Un corps de femme se trouvait à l’intérieur. Un corps fait de plantes et d’écorces. Il n’était pas relié à la nature environnante. Il était indépendant. La femme plante tendit son bras. Une liane sortit de la paume de sa main pour aller vers le torse du corps inerte. Elle se planta dedans. Le femme plante tressaillit et tomba, en se disloquant en une centaine de lianes. L’autre corps ouvrit les yeux. Elle se leva difficilement. Avança vers Ral et une fois qu’elle eu passé l’arbre, elle retira la liane plantée dans son torse.
-Je suis prête, nous pouvons y aller.
-Bien, répondit l’ex ko-matoran.
Il chargea Shaza sur ses épaule et suivit la femme plante à travers la forêt.
-Comment vous appel vous ? demanda l’être maniant la glace.
-Mon nom est Scyllia.
-Mon nom est Ral et elle c’est Shaza.
Ernax était dans une petite maison. Un matoran s’occupait de panser ses blessures. Il falklait qu’il aille aider.
-C’est bon, c’est finit.
-Merci, dit Ernax.
Il se leva et sortit. Il n’y avait plus aucun bruit de combat. Il n’y avait plus que des cadavres par terre. Aucun signe de vie. Il courut ver la place de Ta-nera. Il ne fut jamais aussi surprus de sa vie. Sur cette place, se tenait Frostal, entièrement rouge et derrière lui se tenait une montagne de cadavres ennemis. Il avait effectué se carnage à lui tout seul. Il ne paraissait pas blesser bien que son armure soit un peu endommagée.
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Dim 26 Sep 2010, 20:51
Chapitre très intérressent, même si il y a quelque faute de frappe.
- ReildarRecrue Dynamique
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Mer 27 Oct 2010, 22:45
Chapitre 14
Orph se présenta devant son seigneur.
Tu as échoué !!!
-Oui maître, j’ai échoué.
Tu ose me le dire comme ça !!!
-Comment vous le dire autrement, vous savez déjà ce qu’il s’est passé. J’ai juste lamentablement échoué.
Tu as de la chance que j’ai encore besoin de toi !
-Je sais, je sais. Quelle est ma prochaine mission ?
Fais preuve de moins d’insolence !!! Tu pourrais même perdre la chance que je t’ai donné.
-Je le sais aussi. Et pour mon insolence, disons que c’est dans ma nature, c’est tout. J’ai toujours été comme ça.
Vas. Vas tuer à Po-nera. Ramènes en vivant.
-Bien , il sera fais selon vos ordres.
Orph disparut soudainement, laissant l’être emprisonné, seul.
Ral suivait la femme-plante, en silence. Il ne pouvait dire si cela faisait des minutes ou des heures qu’ils marchaient. Il la suivait, sans rien dire alors qu’il voulait lui poser maintes questions. Il portait Shaza. Elle respirait à peine. Ral ne s’en rendit pas compte tant il était absorbé par ses pensée, mais ils venaient de sortir des la forêt. Il y avait une bonne partit de peuple de Le-nera. Ils s’inclinèrent en murmurant des paroles incompréhensibles. Le turaga du village s’avança. Il était sans doute le turaga le plus vieux de Nera-nui. Il se prosterna devant la femme-plante.
-Je vous remercie de votre aide. Je ne penser plus vous revoir après tant d’années d’inactivités.
-Ne vous inquiétez pas turaga Vereno. J’ai toujours veiller sur cette forêt…
-Nous allons vers Ta-nera. C’est la ville la plus fortifiée. Auriez vous l’amabilité de bien vouloir nous accompagner ?
-Bien sur…
Le Turaga regarda Shaza et dit à Ral.
-J’ai entendu parlez de vous. Posez là dans ce chariot, dit il en montrant du doigt une sorte de charrette.
Ral s’exécuta. Il la posa délicatement dans le chariot. Déjà, trois matorans venaient pour la soigner. Scyllia s’éloigna pour organiser le trajet.
-Savez vous que vous avez un surnom ? demanda turaga Vereno à Ral.
-Non, je ne savait pas. Quel est il ?
-Avalanche. J’ai reçu une vision de vous dans laquelle vous étiez appeler avalanche.
Le groupe se mit en route.
Sur les sables, près de Ga-nera, un être se réveilla. Il toussa et cracha l’eau ainsi que le sable qu’il avait avalé. Il cligna des yeux. Comment pouvait-il être encore en vie ? Il se mit à genoux. Il avait mal partout. Tous ses muscles ainsi que toutes ses articulations lui faisaient mal. Il sourit. Il était heureux d’être encore en vie. Il se mit debout, chancela et tomba. La face dans le sable, il envoya quelques jurons. Il se remit à genoux et cracha le sable qu’il avait dans la bouche. Il essaya de se mettre debout, plus lentement. Au bout de maintes essaies , il réussi à tenir debout mais marcher, c’était une autre paire de manche. Il pivota, lentement, cherchant des yeux quelque chose. Le soleil fit briller un objet. Il l’avait retrouver. Il marcha dans la direction de l’objet, à pas lent. Il regarda avec adoration da lame. Le manche était courbe, comme pour une arme à feu. Il y avait aussi une gâchette. La fin de l’épée se terminait par une longue lame, surmontée d’un canon. Il se laissa tomber à genoux puisqu’il
N’arrivait toujours pas à se baisser sans tomber. Il ramassa l’arme et l’accrocha dans son dos. Il se releva ensuite et se dirigea vers Ga-enra. La contour de la cité se dessinait au loins. Il s’écroula. Un énorme plaie lui barrait le dos. Une ga-matoran, qui s’était cachée derrière un rocher de peur d’être vue de l’étrange être, se dirigea vers lui. Elle pensa ses blessures avec ce qu’elle pouvait puis le traina jusqu’au village.
Ernax était en train d’aider aux réparations. Il discutait avec Frostal.
-Donc ça fait plus de cent mille ans que vous êtes morts ? Pourtant vous vous tenez devant moi. J’ai du mal à comprendre.
-Celui que tu as devant toi n’est que l’ombre de lui même.
Frostal s’exprimait souvent par énigme et cela frustrait Ernax car il n’avait jamais été bon à ce jeu là. De plus, les énigme de Frostal étaient compliquées. I secoua négativement la tête alors qu’un ta-matoran était en train de ressouder une poutre qu’Ernax tenait.
-Bien et y avait-il beaucoup de toas sur cette îles ?
-Les justiciers étaient nombreux, très nombreux. Mais le mal était très grand.
-Qu’est il arriver ensuite ?
-Les braves sont tombés dans l’anarchie et le chaos régna. Seul quelques uns gardèrent leurs têtes mais moururent peu après…
Frostal soupira et baissa la tête. Ernax ne comprenait pas grand-chose mais il savait que le grand guerrier en armure ne voulait plus être questionner. Ils continuèrent leur dur labeur en silence. Ernax passa des heures à aider à réparer la cité. Si bien que le soir venu, il n’avait plus de force. Il mangea sur la plus haute tour de Ta-nera. Il regardait les étoiles. Une étoile blanche scintillait, ainsi qu’une étoile rouge. Ernax en avait déduit que ces étoiles le représentait ainsi que Ral. Mais ce soir, il remarqua qu’une nouvelle étoile brillait, haut dans le ciel. Il ne l’avait jamais vu. Et pourtant, tous les soirs il regardait les étoiles. Il pria pour que son meilleur amis et Shaza aillent bien. Il se demandait comment ça c’était passé à Le-nera. D’après ce que Shaza lui avait dit, ils vivaient dans un monde reculé. Sur les autres îles, il existait des engins se déplaçant sans rahi. Il allait devoir remédier à ça, avec Ral. Il descendit de sa tour et partit dans la forge. Il allait d’abord se créer une arme.
Il se réveilla dans l’hôpital de Ga-nera. Il était allongé sur un lit. Il se redressa. Il avait mal au dos. Il essaya de se souvenir comment il était arriver ici. Un mission. Un Navire. Une tempête. De l’eau beaucoup d’eau. Un plage. Son épée. Machinalement, il toucha son épée. Elle n’était pas là. Il avait été désarmé. Il commença à paniquer. Il se leva. Il sortit de la salle dans laquelle il était. Il arriva dans un long couloir. Il se mit à courir. Il courait vite et ne regardait pas où il courait. Il percuta quelque chose et s’étala de tout son long. Il eut du mal à se relever. Son dos le faisait grandement souffrir. Il regarda ce qu’il avait percuter. Un matoran. Il aida la pauvre Ga-matoran à se relever.
-Où suis-je ? demanda t-il.
-Vous êtes dans un hopital…
-Pourquoi suis-je ici ?
-Une des notres vous à trouver et ramener ici…
-Où est mon arme ?
-Je crois qu’elle l’a…
-Quel est son nom ?
-Dernia…
-Merci.
Il se leva et se dirigea vers la sortie, bien décidé à récupérer son arme.
Orph se présenta devant son seigneur.
Tu as échoué !!!
-Oui maître, j’ai échoué.
Tu ose me le dire comme ça !!!
-Comment vous le dire autrement, vous savez déjà ce qu’il s’est passé. J’ai juste lamentablement échoué.
Tu as de la chance que j’ai encore besoin de toi !
-Je sais, je sais. Quelle est ma prochaine mission ?
Fais preuve de moins d’insolence !!! Tu pourrais même perdre la chance que je t’ai donné.
-Je le sais aussi. Et pour mon insolence, disons que c’est dans ma nature, c’est tout. J’ai toujours été comme ça.
Vas. Vas tuer à Po-nera. Ramènes en vivant.
-Bien , il sera fais selon vos ordres.
Orph disparut soudainement, laissant l’être emprisonné, seul.
Ral suivait la femme-plante, en silence. Il ne pouvait dire si cela faisait des minutes ou des heures qu’ils marchaient. Il la suivait, sans rien dire alors qu’il voulait lui poser maintes questions. Il portait Shaza. Elle respirait à peine. Ral ne s’en rendit pas compte tant il était absorbé par ses pensée, mais ils venaient de sortir des la forêt. Il y avait une bonne partit de peuple de Le-nera. Ils s’inclinèrent en murmurant des paroles incompréhensibles. Le turaga du village s’avança. Il était sans doute le turaga le plus vieux de Nera-nui. Il se prosterna devant la femme-plante.
-Je vous remercie de votre aide. Je ne penser plus vous revoir après tant d’années d’inactivités.
-Ne vous inquiétez pas turaga Vereno. J’ai toujours veiller sur cette forêt…
-Nous allons vers Ta-nera. C’est la ville la plus fortifiée. Auriez vous l’amabilité de bien vouloir nous accompagner ?
-Bien sur…
Le Turaga regarda Shaza et dit à Ral.
-J’ai entendu parlez de vous. Posez là dans ce chariot, dit il en montrant du doigt une sorte de charrette.
Ral s’exécuta. Il la posa délicatement dans le chariot. Déjà, trois matorans venaient pour la soigner. Scyllia s’éloigna pour organiser le trajet.
-Savez vous que vous avez un surnom ? demanda turaga Vereno à Ral.
-Non, je ne savait pas. Quel est il ?
-Avalanche. J’ai reçu une vision de vous dans laquelle vous étiez appeler avalanche.
Le groupe se mit en route.
Sur les sables, près de Ga-nera, un être se réveilla. Il toussa et cracha l’eau ainsi que le sable qu’il avait avalé. Il cligna des yeux. Comment pouvait-il être encore en vie ? Il se mit à genoux. Il avait mal partout. Tous ses muscles ainsi que toutes ses articulations lui faisaient mal. Il sourit. Il était heureux d’être encore en vie. Il se mit debout, chancela et tomba. La face dans le sable, il envoya quelques jurons. Il se remit à genoux et cracha le sable qu’il avait dans la bouche. Il essaya de se mettre debout, plus lentement. Au bout de maintes essaies , il réussi à tenir debout mais marcher, c’était une autre paire de manche. Il pivota, lentement, cherchant des yeux quelque chose. Le soleil fit briller un objet. Il l’avait retrouver. Il marcha dans la direction de l’objet, à pas lent. Il regarda avec adoration da lame. Le manche était courbe, comme pour une arme à feu. Il y avait aussi une gâchette. La fin de l’épée se terminait par une longue lame, surmontée d’un canon. Il se laissa tomber à genoux puisqu’il
N’arrivait toujours pas à se baisser sans tomber. Il ramassa l’arme et l’accrocha dans son dos. Il se releva ensuite et se dirigea vers Ga-enra. La contour de la cité se dessinait au loins. Il s’écroula. Un énorme plaie lui barrait le dos. Une ga-matoran, qui s’était cachée derrière un rocher de peur d’être vue de l’étrange être, se dirigea vers lui. Elle pensa ses blessures avec ce qu’elle pouvait puis le traina jusqu’au village.
Ernax était en train d’aider aux réparations. Il discutait avec Frostal.
-Donc ça fait plus de cent mille ans que vous êtes morts ? Pourtant vous vous tenez devant moi. J’ai du mal à comprendre.
-Celui que tu as devant toi n’est que l’ombre de lui même.
Frostal s’exprimait souvent par énigme et cela frustrait Ernax car il n’avait jamais été bon à ce jeu là. De plus, les énigme de Frostal étaient compliquées. I secoua négativement la tête alors qu’un ta-matoran était en train de ressouder une poutre qu’Ernax tenait.
-Bien et y avait-il beaucoup de toas sur cette îles ?
-Les justiciers étaient nombreux, très nombreux. Mais le mal était très grand.
-Qu’est il arriver ensuite ?
-Les braves sont tombés dans l’anarchie et le chaos régna. Seul quelques uns gardèrent leurs têtes mais moururent peu après…
Frostal soupira et baissa la tête. Ernax ne comprenait pas grand-chose mais il savait que le grand guerrier en armure ne voulait plus être questionner. Ils continuèrent leur dur labeur en silence. Ernax passa des heures à aider à réparer la cité. Si bien que le soir venu, il n’avait plus de force. Il mangea sur la plus haute tour de Ta-nera. Il regardait les étoiles. Une étoile blanche scintillait, ainsi qu’une étoile rouge. Ernax en avait déduit que ces étoiles le représentait ainsi que Ral. Mais ce soir, il remarqua qu’une nouvelle étoile brillait, haut dans le ciel. Il ne l’avait jamais vu. Et pourtant, tous les soirs il regardait les étoiles. Il pria pour que son meilleur amis et Shaza aillent bien. Il se demandait comment ça c’était passé à Le-nera. D’après ce que Shaza lui avait dit, ils vivaient dans un monde reculé. Sur les autres îles, il existait des engins se déplaçant sans rahi. Il allait devoir remédier à ça, avec Ral. Il descendit de sa tour et partit dans la forge. Il allait d’abord se créer une arme.
Il se réveilla dans l’hôpital de Ga-nera. Il était allongé sur un lit. Il se redressa. Il avait mal au dos. Il essaya de se souvenir comment il était arriver ici. Un mission. Un Navire. Une tempête. De l’eau beaucoup d’eau. Un plage. Son épée. Machinalement, il toucha son épée. Elle n’était pas là. Il avait été désarmé. Il commença à paniquer. Il se leva. Il sortit de la salle dans laquelle il était. Il arriva dans un long couloir. Il se mit à courir. Il courait vite et ne regardait pas où il courait. Il percuta quelque chose et s’étala de tout son long. Il eut du mal à se relever. Son dos le faisait grandement souffrir. Il regarda ce qu’il avait percuter. Un matoran. Il aida la pauvre Ga-matoran à se relever.
-Où suis-je ? demanda t-il.
-Vous êtes dans un hopital…
-Pourquoi suis-je ici ?
-Une des notres vous à trouver et ramener ici…
-Où est mon arme ?
-Je crois qu’elle l’a…
-Quel est son nom ?
-Dernia…
-Merci.
Il se leva et se dirigea vers la sortie, bien décidé à récupérer son arme.
- AgoraMembre d'Élite
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Mer 27 Oct 2010, 23:08
Eh ben, comme sur BL. J'adore. Tout simplement. Vraiment, j'espère que ta fic' durerera longtemps. J'aime beaucoup. L'ambiance, les personnages. Un peu plus long ne serais pas de refus.
- ReildarRecrue Dynamique
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Mer 27 Oct 2010, 23:11
Pas de problème, j'essaierai de faire plus long. Quel est ton personnage préféré ?
- AgoraMembre d'Élite
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Mer 27 Oct 2010, 23:17
J'ai bien aimer Orph, dans le chapitre. Je l'imagine un peu insolent, l'air très calme, devant un maître qui s'arrache les cheveux de colère. Là, j'ai bien ri. Je crois sinon que c'est Ral. Il a la classe je trouve.
- ReildarRecrue Dynamique
Re: [Fan-Fiction] Le Dernier Espoir.
Jeu 28 Oct 2010, 18:54
Chapitre 14
Alors que Ral, Scyllia et les Le-matorans arrivaient assez proche de la cité pour la voir, ils virent qu’une fumée noire émanait de la ville. Rel fut pris de panique et s’élança vers la cité en disant à Scyllia :
-Fait arrêter tout le monde, je vais voir ce qui se passe…
Sa voix se perdit au loin. Il avait une grande distance à parcourir et il courrait aussi vite que son corps le lui permettait. Il devait aller plus vite. Ernax était peu être déjà mort. Ral espérait ; que si c’était Medghath qui avait fait cela, qu’il soit encore là. La paysage défilait autour de lui, trop vite pour qu’il puisse voir distinctement ce paysage. Il ne regardait que la cité. La cité et la fumée noire qui s’en dégageait. Il avait mal, ses jambes le brûlaient. Il haletait. Mais jamais il ne ralentit, se rapprochant toujours du but. Il se prit le pied dans une racine. Il vola, tomba, roula t se releva pour repartir dans sa frénétique couse. Il ne s’était pas vraiment aperçu qu’il était tombé. Il ne faisait attention qu’à une seule et unique chose. Son but. Il finit par arriver aux portes de la cité. Il était essoufflé. Il ne ralentit pas, se dirigeant vers la fumée noire. Il était dans l’allée principale. Il ralentit, se dirigeant en trottinant vers la fumée. Il vit Ernax, parlant avec un homme en armure. Il ressemblait à un chevalier. Derrière eux brûlait un tas de cadavres. Pas des cadavres de matorans mais des cadavres de bêtes immonde. Quelque chose toucha l’épaule du manieur de glace. Il sursauta.
C’était un vrai chaos à Po-nera. Un être immortel décimait les matorans. Il était bien trop rapide et trop fort pour être arrêter. Le turaga était caché dans une petit habitation avec un po-matoran.
-Va Kar, dit l’ancien toa, va. Je ferai diversion.
Le turaga sortit et se dirigea vers Orph qui dit nonchalamment :
-Voici qu’un vieux débris veux m’attaquer.
Il se mit à rire alors que le sage avançait vers lui. Kar sortit en courant et se dirigea vers l’écurie. Il était un excellent cavalier. Sûrement le meilleur de Nera-nui. Il monta à Kikhanalo et fonça. Il partit vers Ta-nera. Là où étaient les héros. Orph ne le vit pas partir. Alors qu’il riait, le turaga fut éjecté par une autre créature.
-Que fais-tu ici Orph ? Cette cité est à moi.
-Night, le maître m’as demandé de venir t’aider.
-Je n’ai pas besoin de ton aide. Il ne restait plus qu’un jour avant que le rituel e soit achever. Et j’aurais pus tous les ramener aux maître.
-Night, tu n’as rien compris…Le maître veut…du sang. Sans cela il ne pourras revenir.
-Il a besoin des matorans et non de sans, rétorqua Night.
-Tu n’en sait rien…
Elle lui mit son poing dans la face. Il vola jusqu’à s’écraser contre un bâtiment.
-Ne me cherche pas Orph, je suis bien plus forte que toi.
-Tu pense ?
Elle était chauffé à blanc. Un sourire sadique apparut sur son visage. Orph déglutit. Il allait passer un sale quart d’heure. Elle s’avança vers lui, en faisant craquer ses doigts.
-Tu veux que je te montre ?
Il ne répondit rien et se releva.
-Je prend ça pour un oui.
Les oiseaux s’envolèrent, tous les animaux aux alentours de la ville s’enfuirent.
Il courait, il savait maintenant où habitait celle qui détenait son arme. Il ne savait pas si ce peuple était pacifique. Il vivaient dans un monde où seules la guerre et la destruction régnaient. Il ne savait qu’il avait des gens à aider. Il fallait que son camps l’emporte. Il fallait qu’il aille rejoindre les siens mais il ne savait pas où il était. Il arriva devant une maison, bien entretenue mais assez médiocre. Il frappa. Une ga-matoran vint lui ouvrir.
-Que voulez…
Elle se tut.
-Vous êtes bien Dernia ?
-Oui. Etes vous déjà guéri ?
-Où est mon arme ?
-Vous êtes vraiment impoli. Dites moi d’abord si vous avez encore des douleurs.
Il balbutia un peu. Un être deux fois plus petit que lui et bien moins fort lui tenait tête.
-J’ai encore un peu mal au dos, finit il par répondre.
-Alors retournez à l’hôpital immédiatement ! Avant que je ne m’occupe de votre cas.
Il prit la menace au sérieux. Sa voix était froide et il prit ces paroles pour une promesse.
-Et si vous revenez avant d’être en parfait état, je vous transforme vous et votre arme en confetti.
Il partit en courant en direction de l’hopital.
Ce peuple est dangereux, il faut que je récupère mon arme au plus vite…
S’arrêta près d’Ernax.
-Tout va bien ? demanda Ral.
-Oui, lui répondit son amis. Nous avons été attaqué mais grâce à Frostal, que tu vois là, nous avons survécus.
-Je ramène une nouvelle alliée. Shaza est blessée et les le-matorans arrivent. Il faut que je les amène.
Il ne laissa pas le temps à qui que ce soit de dire quoi que ce soit. Il partie dans une course, bien moins rapide que la première.
Ernax se demanda si son ami avait de la fièvre. Il arrivait comme un fou, lui disait deux mots et repartait. Il se frotta la tête. Décidément, il avait gardé son tempérament de ko-matoran. Personne ne comprenait rien à ce qu’il faisait, jusqu’à ce qu’il ait finit ou qu’il explique en prenant son temps.
-Je te laisse le soin de t’occuper de la cité, dit i à Frostal, j’ai des choses à faire.
Celui-ci acquiesça d’un signe de tête. Il aimait bien veiller sur les matorans. Il se sentait revivre. Pour lui, son armure était une partie intégrante de lui même, elle ne pesait rien. Ce n’était pas la même chose pour son bouclier et son épée. Mais cela ne le dérangeait pas puisqu’il avait combattu pendant des millénaires avec. Il se mit en route. S’arrêtant près des matorans, leur demandant des précisions sur le monde d’aujourd’hui puisqu’il avait raté une bonne partie de l’évolution de cette île. Les matorans étaient heureux de s’arrêter de travailler pendant le temps de la réponse.
L’ex ko-matoran était arriver auprès du peuple de Le-nera.
-La ville a été attaquée mais les ennemis ont trépassés. Nous avons aussi un nouvel allié. C’est une sorte de chevalier. Nous devrions nous hâter pour arriver avant la nuit. La délégation se mit en marche. Il s’approcha de la charrette où était Shaza. Il y avait toujours un médecin avec elle. La toa avait l’air d’aller mieux. Ral laissa échapper un soupir de soulagement. Elle semblait dormir paisiblement. Il se dirigea vers Scyllia.
-Cela fait combien de temps que tu vis dans l’ombre des autres peuples ?
-Je ne compte plus. Je me suis toujours occupée de cette forêt. J’ai voyagé d’île en île lorsque mon île natale a été incendier par des forces occultes. J’ai fuis et je finalement arrivée ici. J’ai tout de suite admiré cette forêt et me suis mis en tête de la protégée pour qu’elle ne finisse pas comme mon île. Cela fait tellement longtemps que je suis ici. Au début, toutes les personnes de cette île me connaissaient mais ils finirent par se débrouiller eux même, ne me demandant plus d’aide. Il finirent part m’oublier au fils des siècles. Seul le peuple de la forêt et rester près de moi. J’ai demandé à ce qu’ils soient les seuls à me connaître. Cela me permettait de mener une existence paisible. Mais je dois sauver cette île d’une catastrophe.
-Je vois, tuas bien plus d’expérience que moi. J’étais un simple matorans et d’un jour à l’autre, je suis devenu ce que je suis. J’ai vu pour la première fois un toa. Il m’a demandé de sauver cette île. C’est ce que je m’efforce à faire.
-Ral…commença Scyllia.
Elle ne put finir sa phrase. Elle sentait que les animaux avaient peur. Une centaines d’oiseaux passèrent au dessus d’eaux.
-Que se passe t-il ? demanda le manieur de glace.
-Les animaux ont peur, très peur. Ils fuient quelque chose.
Orph gisait à terre. Il lui manquait les deux jambes et un bras. Elle lui avait laisser le bras que le grand seigneur lui avait offert, pour ne pas l’insulter. Il n’avait rien put faire. Son torse était enfoncé. Heureusement qu’il ne sentait plus la douleur. Il avait compris pourquoi il avait été envoyé ici. La maître lui avait fait payer son insolence. Bien, ce n’était pas grave. Il fallait juste qu’il soit soigner. Il vit que Night partait.
-Attend, emmène moi voir Sarkan. Il faut qu’il me soigne.
-Pourquoi ? lui répondit elle.
-Si je peurs, le grand seigneur te muniras, violemment.
Elle tressaillit.
-Et bien, tu n’as qu’à ramper.
-Voudrais tu que je révèle ton secret.
Elle inspira profondément, se retourna. Il lisait la colère sur son visage.
-Tu dis ne serait ce qu’un seul mot sur ça et plus personne ne te retrouvas jamais.
Elle le saisit par la gorge et le hissa sur son dos tout en ramassant ses membres. Orph déglutit.
Il se réveilla en sursaut dans son lit, à l’hôpital. Une ga-matoran manqua de lâcher ce qu’elle tenait. Il avait encore une fois rêvé de ce bateau, cette tempête, toute cette eau et cette plage. Il héla une infirmière.
-Je vais devoir rester ici combien de temps ?
-Encore deux jours et vous serez libre de partir où bon vous semble. N’oubliez pas de remercier Dernia. Sans elle vous ne seriez plus de ce monde.
-Merci.
Une fois qu’elle fut partie, il soupira. Il avait encore deux jours d’inactivité. Il entendit des coups de feu dehors. Pas beaucoup comme s’il n’y avait qu’une seule personne armée. Il y eut des cris.
Ce peuple n’est donc pas violent…
-Tant pis pour les règles. Il se leva, se dirigea vers la demeure de Dernia. Il devait absolument retrouver son arme.
Il la croisa sur le chemin, tenant son épée. Il la prit er demanda :
-Où ?
Elle lui indiqua une direction, il n’hésita pas une seconde. Il avait vu que la ga-matoran avait un regard suppliant. Celui qui attaquait cette magnifique cité allait le regrettait. Il avait vu que Dernia était toute tremblante. Il comprit que ce village était un village de soin. Chez lui, c’était un sacrilège d’attaquer des médecins où infirmière. Il allait les aider. Lui, Torahk, toa de la pierre allait lui faire regretter d’être né.
Alors que Ral, Scyllia et les Le-matorans arrivaient assez proche de la cité pour la voir, ils virent qu’une fumée noire émanait de la ville. Rel fut pris de panique et s’élança vers la cité en disant à Scyllia :
-Fait arrêter tout le monde, je vais voir ce qui se passe…
Sa voix se perdit au loin. Il avait une grande distance à parcourir et il courrait aussi vite que son corps le lui permettait. Il devait aller plus vite. Ernax était peu être déjà mort. Ral espérait ; que si c’était Medghath qui avait fait cela, qu’il soit encore là. La paysage défilait autour de lui, trop vite pour qu’il puisse voir distinctement ce paysage. Il ne regardait que la cité. La cité et la fumée noire qui s’en dégageait. Il avait mal, ses jambes le brûlaient. Il haletait. Mais jamais il ne ralentit, se rapprochant toujours du but. Il se prit le pied dans une racine. Il vola, tomba, roula t se releva pour repartir dans sa frénétique couse. Il ne s’était pas vraiment aperçu qu’il était tombé. Il ne faisait attention qu’à une seule et unique chose. Son but. Il finit par arriver aux portes de la cité. Il était essoufflé. Il ne ralentit pas, se dirigeant vers la fumée noire. Il était dans l’allée principale. Il ralentit, se dirigeant en trottinant vers la fumée. Il vit Ernax, parlant avec un homme en armure. Il ressemblait à un chevalier. Derrière eux brûlait un tas de cadavres. Pas des cadavres de matorans mais des cadavres de bêtes immonde. Quelque chose toucha l’épaule du manieur de glace. Il sursauta.
C’était un vrai chaos à Po-nera. Un être immortel décimait les matorans. Il était bien trop rapide et trop fort pour être arrêter. Le turaga était caché dans une petit habitation avec un po-matoran.
-Va Kar, dit l’ancien toa, va. Je ferai diversion.
Le turaga sortit et se dirigea vers Orph qui dit nonchalamment :
-Voici qu’un vieux débris veux m’attaquer.
Il se mit à rire alors que le sage avançait vers lui. Kar sortit en courant et se dirigea vers l’écurie. Il était un excellent cavalier. Sûrement le meilleur de Nera-nui. Il monta à Kikhanalo et fonça. Il partit vers Ta-nera. Là où étaient les héros. Orph ne le vit pas partir. Alors qu’il riait, le turaga fut éjecté par une autre créature.
-Que fais-tu ici Orph ? Cette cité est à moi.
-Night, le maître m’as demandé de venir t’aider.
-Je n’ai pas besoin de ton aide. Il ne restait plus qu’un jour avant que le rituel e soit achever. Et j’aurais pus tous les ramener aux maître.
-Night, tu n’as rien compris…Le maître veut…du sang. Sans cela il ne pourras revenir.
-Il a besoin des matorans et non de sans, rétorqua Night.
-Tu n’en sait rien…
Elle lui mit son poing dans la face. Il vola jusqu’à s’écraser contre un bâtiment.
-Ne me cherche pas Orph, je suis bien plus forte que toi.
-Tu pense ?
Elle était chauffé à blanc. Un sourire sadique apparut sur son visage. Orph déglutit. Il allait passer un sale quart d’heure. Elle s’avança vers lui, en faisant craquer ses doigts.
-Tu veux que je te montre ?
Il ne répondit rien et se releva.
-Je prend ça pour un oui.
Les oiseaux s’envolèrent, tous les animaux aux alentours de la ville s’enfuirent.
Il courait, il savait maintenant où habitait celle qui détenait son arme. Il ne savait pas si ce peuple était pacifique. Il vivaient dans un monde où seules la guerre et la destruction régnaient. Il ne savait qu’il avait des gens à aider. Il fallait que son camps l’emporte. Il fallait qu’il aille rejoindre les siens mais il ne savait pas où il était. Il arriva devant une maison, bien entretenue mais assez médiocre. Il frappa. Une ga-matoran vint lui ouvrir.
-Que voulez…
Elle se tut.
-Vous êtes bien Dernia ?
-Oui. Etes vous déjà guéri ?
-Où est mon arme ?
-Vous êtes vraiment impoli. Dites moi d’abord si vous avez encore des douleurs.
Il balbutia un peu. Un être deux fois plus petit que lui et bien moins fort lui tenait tête.
-J’ai encore un peu mal au dos, finit il par répondre.
-Alors retournez à l’hôpital immédiatement ! Avant que je ne m’occupe de votre cas.
Il prit la menace au sérieux. Sa voix était froide et il prit ces paroles pour une promesse.
-Et si vous revenez avant d’être en parfait état, je vous transforme vous et votre arme en confetti.
Il partit en courant en direction de l’hopital.
Ce peuple est dangereux, il faut que je récupère mon arme au plus vite…
S’arrêta près d’Ernax.
-Tout va bien ? demanda Ral.
-Oui, lui répondit son amis. Nous avons été attaqué mais grâce à Frostal, que tu vois là, nous avons survécus.
-Je ramène une nouvelle alliée. Shaza est blessée et les le-matorans arrivent. Il faut que je les amène.
Il ne laissa pas le temps à qui que ce soit de dire quoi que ce soit. Il partie dans une course, bien moins rapide que la première.
Ernax se demanda si son ami avait de la fièvre. Il arrivait comme un fou, lui disait deux mots et repartait. Il se frotta la tête. Décidément, il avait gardé son tempérament de ko-matoran. Personne ne comprenait rien à ce qu’il faisait, jusqu’à ce qu’il ait finit ou qu’il explique en prenant son temps.
-Je te laisse le soin de t’occuper de la cité, dit i à Frostal, j’ai des choses à faire.
Celui-ci acquiesça d’un signe de tête. Il aimait bien veiller sur les matorans. Il se sentait revivre. Pour lui, son armure était une partie intégrante de lui même, elle ne pesait rien. Ce n’était pas la même chose pour son bouclier et son épée. Mais cela ne le dérangeait pas puisqu’il avait combattu pendant des millénaires avec. Il se mit en route. S’arrêtant près des matorans, leur demandant des précisions sur le monde d’aujourd’hui puisqu’il avait raté une bonne partie de l’évolution de cette île. Les matorans étaient heureux de s’arrêter de travailler pendant le temps de la réponse.
L’ex ko-matoran était arriver auprès du peuple de Le-nera.
-La ville a été attaquée mais les ennemis ont trépassés. Nous avons aussi un nouvel allié. C’est une sorte de chevalier. Nous devrions nous hâter pour arriver avant la nuit. La délégation se mit en marche. Il s’approcha de la charrette où était Shaza. Il y avait toujours un médecin avec elle. La toa avait l’air d’aller mieux. Ral laissa échapper un soupir de soulagement. Elle semblait dormir paisiblement. Il se dirigea vers Scyllia.
-Cela fait combien de temps que tu vis dans l’ombre des autres peuples ?
-Je ne compte plus. Je me suis toujours occupée de cette forêt. J’ai voyagé d’île en île lorsque mon île natale a été incendier par des forces occultes. J’ai fuis et je finalement arrivée ici. J’ai tout de suite admiré cette forêt et me suis mis en tête de la protégée pour qu’elle ne finisse pas comme mon île. Cela fait tellement longtemps que je suis ici. Au début, toutes les personnes de cette île me connaissaient mais ils finirent par se débrouiller eux même, ne me demandant plus d’aide. Il finirent part m’oublier au fils des siècles. Seul le peuple de la forêt et rester près de moi. J’ai demandé à ce qu’ils soient les seuls à me connaître. Cela me permettait de mener une existence paisible. Mais je dois sauver cette île d’une catastrophe.
-Je vois, tuas bien plus d’expérience que moi. J’étais un simple matorans et d’un jour à l’autre, je suis devenu ce que je suis. J’ai vu pour la première fois un toa. Il m’a demandé de sauver cette île. C’est ce que je m’efforce à faire.
-Ral…commença Scyllia.
Elle ne put finir sa phrase. Elle sentait que les animaux avaient peur. Une centaines d’oiseaux passèrent au dessus d’eaux.
-Que se passe t-il ? demanda le manieur de glace.
-Les animaux ont peur, très peur. Ils fuient quelque chose.
Orph gisait à terre. Il lui manquait les deux jambes et un bras. Elle lui avait laisser le bras que le grand seigneur lui avait offert, pour ne pas l’insulter. Il n’avait rien put faire. Son torse était enfoncé. Heureusement qu’il ne sentait plus la douleur. Il avait compris pourquoi il avait été envoyé ici. La maître lui avait fait payer son insolence. Bien, ce n’était pas grave. Il fallait juste qu’il soit soigner. Il vit que Night partait.
-Attend, emmène moi voir Sarkan. Il faut qu’il me soigne.
-Pourquoi ? lui répondit elle.
-Si je peurs, le grand seigneur te muniras, violemment.
Elle tressaillit.
-Et bien, tu n’as qu’à ramper.
-Voudrais tu que je révèle ton secret.
Elle inspira profondément, se retourna. Il lisait la colère sur son visage.
-Tu dis ne serait ce qu’un seul mot sur ça et plus personne ne te retrouvas jamais.
Elle le saisit par la gorge et le hissa sur son dos tout en ramassant ses membres. Orph déglutit.
Il se réveilla en sursaut dans son lit, à l’hôpital. Une ga-matoran manqua de lâcher ce qu’elle tenait. Il avait encore une fois rêvé de ce bateau, cette tempête, toute cette eau et cette plage. Il héla une infirmière.
-Je vais devoir rester ici combien de temps ?
-Encore deux jours et vous serez libre de partir où bon vous semble. N’oubliez pas de remercier Dernia. Sans elle vous ne seriez plus de ce monde.
-Merci.
Une fois qu’elle fut partie, il soupira. Il avait encore deux jours d’inactivité. Il entendit des coups de feu dehors. Pas beaucoup comme s’il n’y avait qu’une seule personne armée. Il y eut des cris.
Ce peuple n’est donc pas violent…
-Tant pis pour les règles. Il se leva, se dirigea vers la demeure de Dernia. Il devait absolument retrouver son arme.
Il la croisa sur le chemin, tenant son épée. Il la prit er demanda :
-Où ?
Elle lui indiqua une direction, il n’hésita pas une seconde. Il avait vu que la ga-matoran avait un regard suppliant. Celui qui attaquait cette magnifique cité allait le regrettait. Il avait vu que Dernia était toute tremblante. Il comprit que ce village était un village de soin. Chez lui, c’était un sacrilège d’attaquer des médecins où infirmière. Il allait les aider. Lui, Torahk, toa de la pierre allait lui faire regretter d’être né.
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