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[Fan-fiction] Nouvelle : Rotiquer XIII Empty [Fan-fiction] Nouvelle : Rotiquer XIII

Dim 20 Mai 2012, 11:58
[Fan-fiction] Nouvelle : Rotiquer XIII Artwor13
Déjà disponible sur mon blog depuis aujourd'hui minuit voici une petite nouvelle, qui aura sans doute une suite relatant l'histoire d'un des membres des XVIII(mon projet actuel concernant les fan fiction, le tome 1 de HUV étant pratiquement finis). C'est donc Rotiquer, donc le fan art avait été apprécier, qui se retrouve premier des XVIII à avoir sa nouvelle.
Pour vous replacer le contexte nous sommes dans une dimension de l'empire Toa où Takanuva ne viendra jamais, lorsque l'empire étant son pouvoir sur les autres îles.


Encore une longue journée, une journée sous les services de l'empire, une journée sous le soleil ardent. Les cinq charrettes entrainé par les kikanalo continuait d'avancer dans ce désert de roche, leurs bruits réguliers de fortement contre les cailloux irritaient dans un sens ce toa de la pierre. Cette expédition comptait une dizaine de membres plus ou moins important, donc le Toa de la pierre de premières classes, Rotiquer et l'un des généraux principaux de l'empire.
Ils se rendaient dans un petit village situer dans les îles du Sud, un village à l'autre bout de l'île. Un silence de mort s'était installé dans l'équipe, chacun savait les ordres de missions, aucun n'allait faillir à leurs tâches, conquérir jusqu'à la moindre parcelle de cette île, et éliminé ceux qui s'y opposaient. Une tâche ingrate, une tâche que personne de censé ne voudrait exécuter, mais les toa était-il encore censé dans ce monde de fous.
Plusieurs révoltent avait déjà été organiser contre l'empire, aucune n'avait marché, ni de la part des Makuta, ni de la part de leurs propres soldats, rien, n'y personne ne résistait à l'empire Toa. Tous les résistants décorerait un jour les murs du collisé, forteresse suprême de l'impératrice.

Les soldats se préparaient, l'objectif était en vue, un village de Ga-matoran pacifique. Un pauvre village qui n'avait rien demandé. Ils affûtaient une dernière fois leurs lames, pour exterminer un pacifique peuple de cet univers. Le soldat de la pierre regarda le petit village, la tristesse l'envahissait. Ils ne pourraient résister et il le savait. A quoi bon se battre contre l'univers? Et pourtant, à ce moment un geyser d'eau surgit du sol, envoyant une charrette en l'air puis la laissant s'écraser lourdement sur le sol.
Devant eau se tenait une toa de l'eau, trident à la main. Ses yeux, ses yeux brillaient d'une lueur qui émut le soldat. Elle l'avait encore, le goût de la liberté, l'espoir d'un monde juste est beau. Lui qui ne croyait plus qu'en la désolation depuis longtemps, cette toa l'émut. Elle fit surgir de nouveau jet d'eau, cette fois vite stoppait par le toa de glace de l'équipe, Toa Kopaka. Il ne dit pas un mot, ce toa de glace au style particulier sauta par-dessus son embarcation, levant son épée contre la toa de l'eau lui résistant.
- Capitulez dans l'immédiat et certaine mort pourront être évité.
- Certaine? Répondit la toa, d'un ton agréssif et doux à la fois.

Ses longs implants protodermiques noirs précédement noué derrière la tête, descendirent, tombèrent de son kanohi à sa poitrine, ses cheveux de métal créèrent un bruit métallique, comme des pièces s'entrechoquant entre elles. Elle leva plus haut son trident, une lueur jaillit de celui ci, et surgirent à nouveau du sol quantité d'eau. Le toa de glace se retournant, balançant son épée vers les cieux et les colonne d'eau se figèrent, geler à jamais dans les glaces de l'esprit de la glace. Il fixa le toa de la pierre esquissant un sourire sur son kanohi blanc.
- Capturé la, soldat Rotiquer.
Il resta là sans rien dire pendant quelques minutes, regardant son supérieur dans les yeux. Puis, sortant de son fourreau son espadon, et le pointa vers la toa. Cette dernière s'apprêtait à affronter quelqu'un de lent, car elle était surprise de déjà avoir la lame à son cou au bout de quelques secondes.
- Rendez vous tout de suite, toa et je plaiderai votre cause. Murmura-t-il à la captive.
Elle ne répondit rien. Rotiquer l'enchaîna sur l'un des véhicules et les soldats continuèrent leurs routes jusqu'aux villages.

Une dizaine, non, une vingtaine de personnes, emprisonner dans une maison gardée par les toa de l'empire et destiné à brûler le lendemain avec ses occupants. C'était le constat de la prise de pouvoir dans ce village. Il n'avait rien fait, sinon vouloir la liberté et ils allaient mourir pour cela, pour le nom d'une toa folle l'impératrice Tuyet. Le village était à la merci des toa, mais l'un d'entre eux ne semblait pas aussi heureux que les autres. Les autres festoyer du bain de sang de demain, tous rassemblé autour de la table du général de Tuyet, lui, Rotiquer, voyait sa gorge se serrer, son coeur le pincer. La paix valait-elle ce prix-là? Il marcha, marcha un long moment dans la vile, regardant les pierres brillaient à la lune de minuit.

Il arriva après un moment dans le bâtiment, là où tous les prisoniers étaient captif. Il y entra, épée dans son fourreau, griffes rétractés. Prétextant aux gardes un interrogatoire de dernières minutes, il se glissa jusqu'aux cachots.
- Pourquoi? Demanda-t-il avec une certaine hésitation à l'égard de la toa qu'il avait capturé plus tôt dans la journée, Pourquoi se battre et risquer votre vie ainsi?
La captive ne répondit pas, ne faisant attention à un geôlier sans valeur, sans honneur, sans âme. - Je veux savoir ! Cria-t-il, alors donnant un coup dans les barreaux qui les séparaient.
- Vous voulez savoir? Dit-elle, la toa de l'eau ne tourna toujours pas les yeux vers lui, Parce que nous, nous n'avons pas à nous soumettre à la tyrannie. Nous avons le choix de ne pas vouloir vos conflits. Nous voulons simplement la paix.
- Nous vous apportons la paix. La paix de l'impé...
- l'esclavage de notre peuple, la terreur, ce n'est pas de ça donc je vous parle. Je parle de la paix, d'un monde où personne n'aurait à craindre pour sa vie. Pas de cette utopie voiler que nous présente Tuyet !

Le toa de pierre ne répondit pas un mot, baissant les yeux vers le sol. Il réfléchit quelques instants. Que pouvait-il faire après tout? Le monde ici était devenu fou. Voulait-il succombé dans la phobie? Sa main tremblant en effectuant ce mouvement, saisissant son arme dans son fourreau , il trancha un barreau de la cage. La toa regarda alors le toa, tremblant de terreur sans doute par l'action qu'il venait de faire.
Il avait condamné le reste de sa vie, il ne pouvait plus reculer, il venait de libérer une ennemie de l'empire et en était devenu un. La toa sortit rapidement de sa cage, saisit l'espadon du toa de pierre et tranchant un à un les barreaux de toutes les cages des matorans retenus ici. Ce groupe de vingt, vingt résistant à la force considérable de l'empire, sortit en trombe de la pièce, courant pour échapper au soldat à leurs poursuites. Rotiquer après quelques minutes les suivi, il ne pouvait plus reculer.

Alors qu'il arrivait dans la place du village quelques minutes après le groupe qu'il venait de libérer, il s'aperçut avec horreur que Kopaka était là, ayant désarmé la toa de l'eau et regardant le toa avec un air de dégout, de dégoût et de haine:
_ Je n'aurais jamais pensé ça de vous Rotiquer. Dommage, vous étiez un bon soldat.
Le toa de glace souleva son épée et courut vers le toa de la pierre pour lui assener un coups, qui serait surement fatal de front et sans arme pour se défendre, compte tenu la force du général de glace.
Le toa de la pierre courut vers lui également, mais au dernier moment fit une glissade et alla récupéré son espadon planté dans la roche un peu plus loin, que Kopaka avait enlevé des mains de la toa de l'eau. Le toa de la pierre se mit devant les matorans, leva son arme et cria aux petits êtres qu'il essayait de couvrir:
- Courrez ! Courrez jusqu'à ce que vos jambes rompent. Il se concentra alors vers Kopaka, une fois les matorans commençant à s'enfuir.
- Vous êtes mort. Pesta Kopaka.

Les deux êtres foncèrent l'un sur l'autre, épée contre espadon, glace contre pierre, fort contre faible.

J'aurais de la chance si j'ai 2 vues...
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