[Fan-Fiction] Ecrits de Chroniqueurs

Une petite série de d'écrits pour le fun.


Berix:
Spherus Magna... Un monde au nombreux rebondissements historiques. La Guerre du Coeur, la séparation de Spherus Magna en une planète et deux lunes, le retour du Robot Univers, la reformation. Puis la Grande Guerre. Mais tous ces faits sont nié par le Dirigeant. La destruction du Marendar a coûté la vie aux Toa Nuva, aux Toa Mahri et d'autres encore. L'Être d'Or a été vaincu par le sacrifice du Makuta Miserix, de Brutaka, d'Axonn, de Toa Helryx. Puis a suivit cette Guerre sans Nom.

Un Glatorian a empoisonné les oreilles des Agori et des autres Glatorian de ses mensonges. La répression des Matoran a commencé. Mais ils ne se sont pas laissé faire, alors Dume a convaincu les Skakdi, les Vortixx et bien d'autres à les rejoindre. Au final, la Belle Spherus Magna d'antan et redevenu l'Oppressante Bara Magna d'après. Puis la mort du Skrall en question a calmé la Guerre. Alors les dirigeants des peuples se sont ligués pour former une société. Mais Stronius et Roodaka avait un accord commun et ont assassiné les autres dirigeants. Ensuite Stronius a disparu, nous n'avons plus retrouvé son corps. Roodaka s'est enfin cru au summum de son pouvoir, mais le plus haut on monte, le plus bas on chute et on l'a poussé en haut d'une falaise.

Ainsi commence la formation de la société actuelle. Une Société, non bâtie sur les sables de Bara Magna, mais sur ses Cendres, sur les Cendres du Passé lointain. Le peuple était désordonné, c'était chacun pour soi, petit pousse-toi. Puis c'est alors que le Dirigeant est entré en scène. Les plus ancien, ceux qui ont vécu l'époque de l'ancienne Bara Magna comme moi l'avons reconnu. C'était Tuma. Evidemment, certains ont révélé son identité et en ont payé le prix. Mais il est devenu plus intelligent qu'à l'époque. Il s'était fait manipulé par un Agori, ironiquement, durant ce temps-là.

Mais il a su imposé son autorité. Il a écrasé la rébellion Skakdi, asservi le restant des Chasseur de l'Ombre, d'ailleurs Lariska est devenue son assassin personnel. Kopaka, le survivant des Toa Nuva a failli le tuer. Actuellement, sa dépouille pend sur le mur de la Citadelle, empalé par sa propre épée. La Vérité est submergée par la Propagande, la Justice a été tué par la Corruption, la Sécurité assommé par la Violence.

Voilà mon monde, mon chez moi. Ma maison est bâtie sur la Cendre hérité par la Guerre emmêlé dans le Sable aggressif.

Une bonne présentation, un monde chaotique, les chouchous des histoires officielles principales tués, j'espère qu'on vas avoir droit à une visite de Spherus Magna

Sinon, ça m'a l'air prometteur!

Merci de vos com'. Je pense faire parfois des chroniques qui présente le côté triste de tout çaz et d'autres fois des satires de la "haute société". Par contre, je vais être franc ce passage

c'était chacun pour soi, petit pousse-toi

je me suis un peu trop inspiré d'une phrase tiré d'une chanson de Psykoz et de K-Sone, Larmes de Sang ^^'

Applaudit

Bravo, Maestro! I Une introduction fabuleusement tournée, une histoire enivrante, superbe! Si le thème en lui-même est moyennement original et a déjà été exploré une fois ou deux sous des voies différentes, le style du prologue en jette!
Une histoire mélodramatique de batailles et d'illusions perdues, c'est certainement celle de tes fics qui a le meilleur scénario. Aussi, qu'il soit bien clair entre nous: JE T'INTERDIS FORMELLEMENT D'ABANDONNER CETTE FIC-CI! Je veut voir ce que ça va donner!

Berix:
J'avoue avoir exagéré un peu mon introduction. Mais je devais accrocher votre attention, après faut voir si j'ai réussi. Une explication moins littéraire serait sans doute la bienvenue. Tout ce que j'ai raconté en ce qui concerne le passé, avant l'arrivée au pouvoir de Tuma, ce n'était pas hyperbolique. Après, la métaphore sur les cendres, c'est vrai qu'on peut dire que la société actuelle est construit dessus, comme si on a oublié le Passé, tout en laissant des traces. Tiens, ça m'inspire.

Mon Monde s'est reconstruit sur la Cendre du Passé, car elle a été consumée. Mais elle subsiste toujours à travers des signes, car on marche sur cette Cendre.

Mouais.

Pour continuer, c'est vrai que Tuma est devenu puissant, puis il n'y a que peu de gens restant qui aient vécu le Passé, comme moi. Y a deux moyens pour ceux de ma génération de survivre: soit rejoindre Tuma dans sa propagande, soit se faire discret. Moi, j'ai pris le second. J'ai même changé de nom. Puis c'est vrai pour Kopaka. Et c'est un peu vrai pour la Vérité, la Justice, la Sécurité. En fait j'ai pas tant que ça exagéré mes propos.

La société est divisé en trois sous-sociétés. La Petite Société, la Haute-Société et la Moyenne-Société. Les Pauvres Malheureux, les Riches Sans Cervelles et les Parvenus. Moi, je serais plutôt chez les parvenus, après, est-ce que je rentre vraiment dans ce groupe social ? M'enfin, chez les parvenus, on aime bien appelé les riches le HS, comme Haute Société, ou Hors-Service. Parce qu'ils sont supposé s'occuper de l'économie, des finances, de l'entretien. Tout les trucs casse-tête en fait, ou faut un minimum d'intelligence

Et faut le dire, les soi-disant Grands, sont juste des lèches-bottes sans intelligence. Et comme si Tuma allait recompenser le type qui allait rénover la capital. Ils jouent au jeu perpétuellement débile du meilleur lèche-botte envers Tuma. Ils organisent des festins, des fêtes, des événements. Par un quelconque miracle, j'ai été invité à l'un de ces événements. Je suis pas trop d'humeur à raconter. C'était pittoresque, Pour eux, la mort des autres est un jeu. Ils prennent des Agori ou des Matoran, surtout des Matoran, et s'amusent à les torturer, à lâcher sur eux des Rahi. Et plein d'autres choses bien plus originaux.

Bah... Je vais pas terminer cette chronique comme ça, y a un fait récent qui m'a marqué. C'est assez triste. C'est à propos d'un ami à moi, Tarix. À l'époque, il m'aimait pas, 'fin pas grand-monde m'aimait à l'époque. Tarix était un Glatorian, il maître dans l'art du combat. Il était tellement fort qu'il pensait tout connaître. À travers les années il a acquis beaucoup de sagesse. Il a supporté Raanu et Ackar dans leur tentative de calmer la guerre. Il a essayé de conserver la justice entre les peuples. Il a toujours été très écouté. Il était prêt à soulever le peuple contre Tuma, mais il s'est fait arrêter. Le lendemain ma tin, on l'a pendu sous les rires et les moqueries de la population. Pendant qu'il luttait à respirer, on lui lançait des pierres. Lui qui a vaincu tant d'ennemis, lui qui était plein de sagesse, il a été humilié devant le peuple qu'il voulait libéré. Il est mort ainsi, sous les rires et les moqueries.

C'est triste, je sais. j'espère que vous vivez dans un meilleur monde que le mien.

Moi-même je suis content. Je vais essayer de plus me concentrer sur le travail de la langue, il y a des petites phrases par-ci par-là dont je suis bien fier. En ce qui concerne cette fic', je dois dire que le coup du festin, j'ai surtout trouvé mon inspiration dans les quelques extraits de Satyricon, par Pétrone, que j'ai étudié en Latin. Les extraits que j'ai vu concerne un parvenu, un affranchi devenu très riche qui donait un festion ridicule. Justement, le personnage, ou plutôt l'auteur, critiquait ces riches qui n'avait aucune culture. Je devrais le lire ce roman, tiens. Je prévois de bien travailler cette scène, de ne pas vous le publier tant que j'en serais pas entièrement satisfait.

Beau boulot.J'aime bien le côté "