[Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
5 participants
- Mad MaxNouveau Fan
[Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Mar 20 Aoû 2013, 23:39
Bonjour,
En construisant mes propres BIONICLE l'autre jour, oui c'est un de mes petits péchés, il m'est venu une histoire que je pense intéressante. Alors je viens tester si l'idée est bonne où totalement ridicule. Alors voici le prologue qui explique le contexte et l'environement dans lequel les personnages évoluent. Si c'est apprécié je continuerai l'histoire. Merci de poster vos avis.
Dans une autre dimension que la dimension originale, que l’on pourrait appeler la dimension glaciale, l’histoire à changer. Keetongu à réussi à tuer Makuta et Vakama et les autres purent amener les matorans sur Mata Nui, où ils vivraient, vraisemblablement en paix pour l’éternité. Cependant un matoran gaffeur invoqua six puissantes entités. Nous connaissons tous ces entités comme étant les toas mata. Cependant sans rahi corrompu, sans mal à combattre, ces six guerriers se battirent entre eux. Pour le pouvoir et la gloire. Deux de ses six guerriers se détestait farouchement, forçant les autres à choisir un camp. Tahu et Kopaka devinrent donc, en quelque sorte, deux généraux combattant pour le contrôle de Mata Nui. Kopaka gagna la guerre et fini par tuer Tahu. Il plongea l’île dans un blizzard. Il n’y avait plus de verdure, plus de lacs, plus de volcan, juste de la neige à perte de vue. Le clan kopaka éradiqua tout les matorans de feu, ainsi que ceux de terre, du moins c’est ce qu’il croyait. Il ne restait que Lewa pour leur résister. Lewa tua Gali dans un combat épique proche de Ko Metru la cité que Kopaka avait fondé. Puis il réussi à faire révolter Pohatu que Kopaka du tuer de sa main. Il ne restait plus que Kopaka et Lewa à présent. Kopaka avait toujours sous son contrôle les matorans de l’eau et ceux de roche. Il ne restait plus à Lewa que son peuple à défendre. Lewa et Kopaka se battirent au somment de l’ancien volcan. La légende raconte que Kopaka en sorti vainqueur, mais transformé en turaga, il ne put assimiler le peuple du vent. Personne ne sait si Kopaka a tué Lewa ce jour là, mais depuis, les toas ont cessés d’exister laissant leur place au mangai. Des protecteurs pour chaque peuple. On dit que pour redonner toute sa splendeur à Mata Nui, il faudrait ramener l’élément du feu pour qu’il s’oppose à la glace.
Alors voici, en espérant que ça vous a plus.
En construisant mes propres BIONICLE l'autre jour, oui c'est un de mes petits péchés, il m'est venu une histoire que je pense intéressante. Alors je viens tester si l'idée est bonne où totalement ridicule. Alors voici le prologue qui explique le contexte et l'environement dans lequel les personnages évoluent. Si c'est apprécié je continuerai l'histoire. Merci de poster vos avis.
Dans une autre dimension que la dimension originale, que l’on pourrait appeler la dimension glaciale, l’histoire à changer. Keetongu à réussi à tuer Makuta et Vakama et les autres purent amener les matorans sur Mata Nui, où ils vivraient, vraisemblablement en paix pour l’éternité. Cependant un matoran gaffeur invoqua six puissantes entités. Nous connaissons tous ces entités comme étant les toas mata. Cependant sans rahi corrompu, sans mal à combattre, ces six guerriers se battirent entre eux. Pour le pouvoir et la gloire. Deux de ses six guerriers se détestait farouchement, forçant les autres à choisir un camp. Tahu et Kopaka devinrent donc, en quelque sorte, deux généraux combattant pour le contrôle de Mata Nui. Kopaka gagna la guerre et fini par tuer Tahu. Il plongea l’île dans un blizzard. Il n’y avait plus de verdure, plus de lacs, plus de volcan, juste de la neige à perte de vue. Le clan kopaka éradiqua tout les matorans de feu, ainsi que ceux de terre, du moins c’est ce qu’il croyait. Il ne restait que Lewa pour leur résister. Lewa tua Gali dans un combat épique proche de Ko Metru la cité que Kopaka avait fondé. Puis il réussi à faire révolter Pohatu que Kopaka du tuer de sa main. Il ne restait plus que Kopaka et Lewa à présent. Kopaka avait toujours sous son contrôle les matorans de l’eau et ceux de roche. Il ne restait plus à Lewa que son peuple à défendre. Lewa et Kopaka se battirent au somment de l’ancien volcan. La légende raconte que Kopaka en sorti vainqueur, mais transformé en turaga, il ne put assimiler le peuple du vent. Personne ne sait si Kopaka a tué Lewa ce jour là, mais depuis, les toas ont cessés d’exister laissant leur place au mangai. Des protecteurs pour chaque peuple. On dit que pour redonner toute sa splendeur à Mata Nui, il faudrait ramener l’élément du feu pour qu’il s’oppose à la glace.
Alors voici, en espérant que ça vous a plus.
- Toa LeewanMembre du Panthéon
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Mer 21 Aoû 2013, 01:12
Woh, ils sont extrêmes les Toa. ^^
Sinon, il faudrait que tu te présentes, que tu lises le Guide des Nouveaux, ainsi que notre règlement.
Une fois que ce serait fait, t'auras plus qu'à présenter tes MOCs.
Sinon, il faudrait que tu te présentes, que tu lises le Guide des Nouveaux, ainsi que notre règlement.
Une fois que ce serait fait, t'auras plus qu'à présenter tes MOCs.
- Mad MaxNouveau Fan
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Mer 21 Aoû 2013, 04:31
Bien imagine toi être l'entité la plus puissante de l'île et que tu as cinq autres rivaux ou camarades. Au départ, tu fais avec, mais plus le temps avance, plus tu te dis que tu pourrais gouverner l'île. Certain élément comme l'extermination du peuple du feu est dû au manque de pièce pour créer un matoran. Merci de tes conseils je t'acherai de les respecter. Sinon vaut-il le coup que je continu l'histoire? Tel est ma question.
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Mer 21 Aoû 2013, 13:06
Et il manque la balise [Fan-Fiction].
Mais pas de problème, je te l'édite .
Mais pas de problème, je te l'édite .
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Mer 21 Aoû 2013, 13:19
Bah... C'est dans une univers alternatif, donc rien à redire sur le canon en général mais l'utilisation des personnages déjà connus de l'Univers en s'en faisant ça propre version, c'est plutôt limite.
Parce que déjà, Keetongu n'aurait jamais pu vaincre Teridax, franchement.
Ensuite, Univers Alternatif ou pas, tout les Toa Magnai sont morts (ou presque).
Et le coup des Toa qui s'affrontent pour Mata Nui... Oui, je vois strictement pas pourquoi ils feraient ça.
Donc ce que je reproche à cette histoire en général, c'est l'utilisation de personnages canoniques, avec leur histoire et leur traits de caractères associés, en réalisant tout et n'importe quoi en ne se souciant pas de leur histoires et leur caractères, justement.
Sinon, le concept peut être intéressant à développer mais pas en s'appropriant des personnages comme ça, je pense, mais ce n'est que mon avis.
Parce que déjà, Keetongu n'aurait jamais pu vaincre Teridax, franchement.
Ensuite, Univers Alternatif ou pas, tout les Toa Magnai sont morts (ou presque).
Et le coup des Toa qui s'affrontent pour Mata Nui... Oui, je vois strictement pas pourquoi ils feraient ça.
Donc ce que je reproche à cette histoire en général, c'est l'utilisation de personnages canoniques, avec leur histoire et leur traits de caractères associés, en réalisant tout et n'importe quoi en ne se souciant pas de leur histoires et leur caractères, justement.
Sinon, le concept peut être intéressant à développer mais pas en s'appropriant des personnages comme ça, je pense, mais ce n'est que mon avis.
- maxim21Héros des Stats
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Mer 21 Aoû 2013, 21:34
D'un point de vue général, je te conseille d'aérer plus, en faisant des paragraphes. Aussi, au niveau des noms issus de BIONICLE, on les garde généralement invariables et avec une majuscule.
D'un point de vue histoire, c'est une idée assez intéressante, quoique pas forcément la plus originale au monde, mais c'est pas super-grave. L'absence de précisions sur les Turaga m'intrigue, par contre.
@Geek7734 :
D'un point de vue histoire, c'est une idée assez intéressante, quoique pas forcément la plus originale au monde, mais c'est pas super-grave. L'absence de précisions sur les Turaga m'intrigue, par contre.
@Geek7734 :
Et tant de monde l'a fait. C'est totalement normal de le faire, hein. Très honnêtement, je commence à en avoir « un peu » marre de cette attitude « pas touche à ce qui est dans le canon » au point d'en être presque méprisant auprès de ceux qui le font.Geek7734 a écrit:]l'utilisation des personnages déjà connus de l'Univers en s'en faisant ça propre version, c'est plutôt limite.
Ça, c'est ton interprétation. Dans le canon, on ignore la puissance exacte de Keetongu. Et dans tous les cas, c'est son univers parallèle, donc ses règles.Geek7734 a écrit:Parce que déjà, Keetongu n'aurait jamais pu vaincre Teridax, franchement.
Oui, il n'en parle pas, hein.Geek7734 a écrit:Ensuite, Univers Alternatif ou pas, tout les Toa Magnai sont morts (ou presque).
Simple, dis-je personnellement : syndrome de Tuyet.Geek7734 a écrit:Et le coup des Toa qui s'affrontent pour Mata Nui... Oui, je vois strictement pas pourquoi ils feraient ça.
Il faudrait absolument que tu ailles dire ça aux millions d'enfants qui se sont faits et se font leurs propres histoires avec les figurines parce qu'ils ne connaissent pas le canon.Geek7734 a écrit:Donc ce que je reproche à cette histoire en général, c'est l'utilisation de personnages canoniques, avec leur histoire et leur traits de caractères associés, en réalisant tout et n'importe quoi en ne se souciant pas de leur histoires et leur caractères, justement.
- Mad MaxNouveau Fan
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Mer 21 Aoû 2013, 22:03
Oui et bien il est peut être tant de démarrer la véritable histoire. J'ai peut être mal mentionner que ce paragraphe est en fait un prologue pour expliquer l'univers dans lequel mes personnages vont évoluer.
Petite précision: après recherche, j'ai découvert que Mangai veut dire protecteur. Comme mes personnages n'ont aucune restriction sur le meurtre de leur ennemi, il aurait été malaisé de les appelés toa. Cependant ils sont vouer à la protection de leurs Matorans.
Alors voici le chapitre un:
Ramale tentait de passer inaperçu sur la neige blanche, mais comme il était un Matoran de l’air, sa couleur verte l’empêchait de pouvoir réellement se camoufler. C’est pourquoi il passait derrière les hautes dunes de neiges. Plus loin devant lui se trouvait la Mangai Takea. C’est la Mangai de l’eau. L’eau et la pierre c'étaient alliés à la glace des millénaires plus tôt pour des promesses oubliés par le temps. Ce que Ramale savait, par évidence, c’était qu’elles n’avaient pas été respectées. Il n’y avait plus d’océan, plus de lacs ou de rivière, que de la neige et de la glace. Quels bénéfices pouvaient en tirer le peuple de l’eau. Pas plus de carrière pour le peuple de la pierre. Seul son peuple à lui résistait encore à toutes ces factions et leur idéologie puérile.
Cependant, il n’y avait plus beaucoup d’espoir, leur Mangai était seul contre trois. Comment pourrait-il réussir à vaincre ces trois factions et ré-harmoniser les éléments. D’ailleurs, c’était le but de la quête de Ramale. Il se dirigeait vers Kini-Kata, un vieux temple oublier construit par les Matorans du feu avant qu'ils soient éradiquer, dans l’espoir d’y trouver la tombe, ou plutôt la prison de Protodermis, qui enfermait, disait-on, un Mangai de feu. Avec lui à leur côté rien ne pourrait jamais les arrêter. Il combattrait la glace par les flammes, permettrait aux autres éléments de prospérer et de s’unir.
Ramale fut surpris dans ses rêveries par Takea:
-Alors petit Matoran, on veut piller Ko-Koro?
Ko-Koro était effectivement tout près de Kini-Kata, il était logique, vu la façon que Ramale avait de se déplacer que Takea cru qu’il voulait piller le village, même s'il était quasi désert depuis la fondation de Ko-Metru
-Non pas du tout, tenta de se défendre Ramale, mais la cause était perdue d’avance à cause de son élément, ennemi à tout les autres.
-Sale petit menteur, cracha Takea en le frappant, je vais te punir pour ton crime petite vermine, deux jambes en moins devrais te faire perdre ton agilité assez vite non?
Ses deux jambes! Ramale en avait besoin. Il se leva rapidement sorti son arme et se prépara à se défendre. Il pensa à s’enfuir pour Kini-Kata, mais il était trop loin. Dommage, si près du but, au moins il mourrait pour la bonne cause.
Takea s’avança vers lui ses deux harpons en main. Soudain dans un tourbillon de vent surgi Phantoka, le Mangai de l’air. Il se plaça entre Takea et Ramale.
-Toi, grogna Takea.
Il faut mentionner que chaque affrontement entre Phantoka et Takea se finissait par de grave blessure d’un côté comme de l’autre.
-Oui moi, répondit Phantoka calmemant, Ramale tu va me faire plaisir et retraité jusqu’au campement c’est compris.
Au regard que lui lança Phantoka, Ramale comprit que ce n’était pas une blague. Il avait déjà désobéi une fois, il valait mieux pour lui de ne pas désobéir à son Mangai. Lui qui était là à l'origine pour porter les bagages jusqu'au camp. Il recula effectivement jusqu’à être hors de porter, mais il profita de l’affrontement entre les deux Mangai pour se faufiler jusqu’au temple.
-Alors Takea tu es prêt à subir une autre dérouillé? Où tu as compris que tu ne me battras pas? lança Phantoka en provocation
-Arrête de bluffer mon vieux. Je sais que tu cherche à me faire fuir, mais cette fois, ce sera différent, répliqua-t-elle.
-Voyons ça.
Le combat s’engagea, lame contre lame, technique contre technique. Les deux Mangais s’étaient tellement affrontés qu’ils se connaissaient presque parfaitement. Aucun des coups porter ne touchaient ou ne toucheraient la cible tant que la fatigue ne s’installerait pas. Takea et Phantoka prirent une légère pause avant d’entendre un bruit de pas énorme. C’était Pomanas le mangai de pierre qui venait prêter main forte à sa compatriote
-On se souvient de moi, hurla-t-il de sa puissante voix.
-Trop bien mon grand, répliqua Phantoka sans grand enthousiasme.
Quiconque connait Pomanas sait qu’il vaut mieux reculer, plutôt que l’affronter. Ce Mangai était sans doute le plus fort existant. Il ne se battait qu’à la force de ses poings et le seul moyen de le vaincre est d’avoir l’agilité d'esquiver ses coups. Ça Phantoka n’en manquait pas. Il n’était pas appelé l’esprit de l’air pour rien. Cependant combattre Pomanas et Takea dans le même temps était impossible.
-Bon je sais que vous voulez de la baston les gars, mais j’en ai assez vu pour aujourd’hui, je file.
Sans perdre de temps Phantoka s’éclipsa lâchant derrière lui une sorte de bombe fumigène couvrant sa fuite. Bien entendu les deux Mangai pouvaient toujours le retrouver en suivant ses traces de pas, mais au fil du temps il avait développé des techniques pour les effacés et ça marchait plutôt bien. Il arriva au campement s’attendant à retrouver Ramale, cependant ce dernier n’y était pas et le Mangai su que le Matoran ne l’avait pas écouter.
Petite précision: après recherche, j'ai découvert que Mangai veut dire protecteur. Comme mes personnages n'ont aucune restriction sur le meurtre de leur ennemi, il aurait été malaisé de les appelés toa. Cependant ils sont vouer à la protection de leurs Matorans.
Alors voici le chapitre un:
Ramale tentait de passer inaperçu sur la neige blanche, mais comme il était un Matoran de l’air, sa couleur verte l’empêchait de pouvoir réellement se camoufler. C’est pourquoi il passait derrière les hautes dunes de neiges. Plus loin devant lui se trouvait la Mangai Takea. C’est la Mangai de l’eau. L’eau et la pierre c'étaient alliés à la glace des millénaires plus tôt pour des promesses oubliés par le temps. Ce que Ramale savait, par évidence, c’était qu’elles n’avaient pas été respectées. Il n’y avait plus d’océan, plus de lacs ou de rivière, que de la neige et de la glace. Quels bénéfices pouvaient en tirer le peuple de l’eau. Pas plus de carrière pour le peuple de la pierre. Seul son peuple à lui résistait encore à toutes ces factions et leur idéologie puérile.
Cependant, il n’y avait plus beaucoup d’espoir, leur Mangai était seul contre trois. Comment pourrait-il réussir à vaincre ces trois factions et ré-harmoniser les éléments. D’ailleurs, c’était le but de la quête de Ramale. Il se dirigeait vers Kini-Kata, un vieux temple oublier construit par les Matorans du feu avant qu'ils soient éradiquer, dans l’espoir d’y trouver la tombe, ou plutôt la prison de Protodermis, qui enfermait, disait-on, un Mangai de feu. Avec lui à leur côté rien ne pourrait jamais les arrêter. Il combattrait la glace par les flammes, permettrait aux autres éléments de prospérer et de s’unir.
Ramale fut surpris dans ses rêveries par Takea:
-Alors petit Matoran, on veut piller Ko-Koro?
Ko-Koro était effectivement tout près de Kini-Kata, il était logique, vu la façon que Ramale avait de se déplacer que Takea cru qu’il voulait piller le village, même s'il était quasi désert depuis la fondation de Ko-Metru
-Non pas du tout, tenta de se défendre Ramale, mais la cause était perdue d’avance à cause de son élément, ennemi à tout les autres.
-Sale petit menteur, cracha Takea en le frappant, je vais te punir pour ton crime petite vermine, deux jambes en moins devrais te faire perdre ton agilité assez vite non?
Ses deux jambes! Ramale en avait besoin. Il se leva rapidement sorti son arme et se prépara à se défendre. Il pensa à s’enfuir pour Kini-Kata, mais il était trop loin. Dommage, si près du but, au moins il mourrait pour la bonne cause.
Takea s’avança vers lui ses deux harpons en main. Soudain dans un tourbillon de vent surgi Phantoka, le Mangai de l’air. Il se plaça entre Takea et Ramale.
-Toi, grogna Takea.
Il faut mentionner que chaque affrontement entre Phantoka et Takea se finissait par de grave blessure d’un côté comme de l’autre.
-Oui moi, répondit Phantoka calmemant, Ramale tu va me faire plaisir et retraité jusqu’au campement c’est compris.
Au regard que lui lança Phantoka, Ramale comprit que ce n’était pas une blague. Il avait déjà désobéi une fois, il valait mieux pour lui de ne pas désobéir à son Mangai. Lui qui était là à l'origine pour porter les bagages jusqu'au camp. Il recula effectivement jusqu’à être hors de porter, mais il profita de l’affrontement entre les deux Mangai pour se faufiler jusqu’au temple.
-Alors Takea tu es prêt à subir une autre dérouillé? Où tu as compris que tu ne me battras pas? lança Phantoka en provocation
-Arrête de bluffer mon vieux. Je sais que tu cherche à me faire fuir, mais cette fois, ce sera différent, répliqua-t-elle.
-Voyons ça.
Le combat s’engagea, lame contre lame, technique contre technique. Les deux Mangais s’étaient tellement affrontés qu’ils se connaissaient presque parfaitement. Aucun des coups porter ne touchaient ou ne toucheraient la cible tant que la fatigue ne s’installerait pas. Takea et Phantoka prirent une légère pause avant d’entendre un bruit de pas énorme. C’était Pomanas le mangai de pierre qui venait prêter main forte à sa compatriote
-On se souvient de moi, hurla-t-il de sa puissante voix.
-Trop bien mon grand, répliqua Phantoka sans grand enthousiasme.
Quiconque connait Pomanas sait qu’il vaut mieux reculer, plutôt que l’affronter. Ce Mangai était sans doute le plus fort existant. Il ne se battait qu’à la force de ses poings et le seul moyen de le vaincre est d’avoir l’agilité d'esquiver ses coups. Ça Phantoka n’en manquait pas. Il n’était pas appelé l’esprit de l’air pour rien. Cependant combattre Pomanas et Takea dans le même temps était impossible.
-Bon je sais que vous voulez de la baston les gars, mais j’en ai assez vu pour aujourd’hui, je file.
Sans perdre de temps Phantoka s’éclipsa lâchant derrière lui une sorte de bombe fumigène couvrant sa fuite. Bien entendu les deux Mangai pouvaient toujours le retrouver en suivant ses traces de pas, mais au fil du temps il avait développé des techniques pour les effacés et ça marchait plutôt bien. Il arriva au campement s’attendant à retrouver Ramale, cependant ce dernier n’y était pas et le Mangai su que le Matoran ne l’avait pas écouter.
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Ven 23 Aoû 2013, 01:41
Donc oui, en disant Mangai, tu ne parlais pas de l'équipe des Toa Mangai. Donc oui, ton choix est tout a fais réfléchis, comme tout les noms des personnages, d'ailleurs, ce qui est vraiment pas mal ^^
Sinon, c'est sympathique à lire :)
C'est pas une question de normalité ou de quoi que ce soit, je déteste juste pas cette façon de s'approprier des choses qui ont déjà leur histoires et leurs significations.
Et certes.
Sinon, c'est sympathique à lire :)
J'ai pas dis que c'était une tare de le faire, et je pense encore moins avoir été méprisant dans mon message (parce que, purée, j'ai fais bien pire).Maxim21 a écrit:Et tant de monde l'a fait. C'est totalement normal de le faire, hein. Très honnêtement, je commence à en avoir « un peu » marre de cette attitude « pas touche à ce qui est dans le canon » au point d'en être presque méprisant auprès de ceux qui le font.
C'est pas une question de normalité ou de quoi que ce soit, je déteste juste pas cette façon de s'approprier des choses qui ont déjà leur histoires et leurs significations.
Non, c'est juste ce que fait ressortir le combat de Teridax et Keetongu dans BA 10.Maxim21 a écrit:Ça, c'est ton interprétation. Dans le canon, on ignore la puissance exacte de Keetongu. Et dans tous les cas, c'est son univers parallèle, donc ses règles.
Et certes.
Mes choix qui relèvent directement de mon éthique ne concernent pas des enfants enjaillé par le seul fait d'avoir Tahu Mata dans les mains, je pense x)Maxim21 a écrit:Il faudrait absolument que tu ailles dire ça aux millions d'enfants qui se sont faits et se font leurs propres histoires avec les figurines parce qu'ils ne connaissent pas le canon.
- Mad MaxNouveau Fan
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Ven 23 Aoû 2013, 03:19
Merci, j'ai effectivement été chercher dans le vocabulaire du langage Matoran pour créer les noms, n'ayant aucune idée en tête. Sinon des noms pourri qui sonnaient faux. Suite à ton commentaire sur l'appropriation des personnages du canon, j'ai réfléchi à comment il aurait pu se rebeller et je prévois un chapitre d'explication à ce sujet. Bon assez écrit pour rien chapitre 2:
- Ramale arrive enfin à Kini-Kata. Le temple étant partiellement enfoui sous la neige seul un œil ingénieux pouvait repérer ses portes blanches. Comme Ramale savait leur position, il les vit rapidement et réussi à entrer à l’intérieur sans trop de problème. Dans le temple, il n’y avait aucune lumière, des dalles fissurées par le temps et des débris, sûrement tombés du plafond, jonchaient le sol.
Ramale sorti une lampe et s’avança dans les ténèbres. Le corridor était long et étroit, mais heureusement sans piège à préavis. Le Matoran fini par arriver dans une grande salle avec un mur unique devant lui. C’était une vieille carte de l’île.
Le Matoran effectua un script mémoriel de la carte, mais avant qu’il n’ait pu finir, il fut bousculé. Ramale s’écrasa au sol. Sa lampe roula et s’éteignit, mais d’autres sources de lumière avait été activées. Il se releva rapidement, son arme au poing. Devant lui se tenait un Matoran d’eau. Son masque était plus ou moins inhabituel.
Plusieurs années plutôt, une expérience des scientifiques de Ko-Metru avait mal tournée. Une substance gazeuse s’était échappée et avait affecté tout les masques des Matoran de Mata Nui. Après cinq ans à flotter sur l'île, le nuage s'était finalement dissipé. Ils s’étaient moulés à leur visage les empêchant alors de se briser ou même d’être enlevés. Cependant, le masque du Matoran, bien que semblable aux autres infectés, semblait pouvoir se retirer.
-Toi qui est rentré ici, sache que ta destiné est de mourir. Je suis Faxga et j’ai été chargé de protéger ce temple de toute intrusion, tu vas périr, dit le Matoran.
-Simplement ça, rétorqua Ramale, Je m’attendais à quelque chose de plus, disons, original, t’aurais pu être un démon et vouloir me manger, ça aurait été plus effrayant.
Il attaqua Faxga d’un coup d’estoc. Le Matoran d’eau évita le coup gracieusement. Ramale répliqua rapidement, mais ne fit pas plus mouche. Il continua d’agiter son arme frénétiquement sans jamais toucher le Matoran d’eau.
<< Il n’est pas normal, pensa Ramale en arrêtant de frapper, il est trop rapide pour un Matoran…>>
Il fut frappé avant de terminer sa pensée. Ramale n’eut pas le temps de se relever qu’un coup de pied le fit rouler deux mètre plus loin. Faxga frappa à nouveau avec le tranchant de sa hache, mais cette fois le Matoran de l’air fut plus rapide et réussi à esquiver.
-T’es quoi réellement? Demanda-t-il en espérant pouvoir gagner du temps.
-Un Matoran avec une mission, un peut comme toi n’est-ce pas? Tu ne te serais pas aventuré ici si tu ne cherchais pas quelque chose.
-Quelques trésors à revendre, mentit Ramale.
-Malheureusement pour toi, il n'y a aucun trésor et chaque Matoran qui rentre ici n’en sort pas vivant. À mon exception bien sûr, dit Faxga avant d’attaquer à nouveau.
Ramale para du mieux qu’il put chacun des assauts du Matoran de l’eau. Cependant il fut incapable de placer un coup, quel qu’il soit vers Faxga. Il finirait par perdre s’il ne sortait pas du temple. Il feinta réussi à se dégager et tenta de s'engager dans le couloir.
Malheureusement pour lui, Faxga réussi à le rattraper et à le bloquer avant qu’il ne puisse s’engager dans le couloir.
<< Ce Matoran à vraiment quelque chose de différent, il est plus rapide que moi, pourtant c’est illogique puisque je suis un Matoran de l’air. Qui plus est, on dirait qu’il a la force d’un Mangai.>>
Faxga frappa de nouveau, forçant le Matoran de l’air à reculer. À nouveau Ramale para du mieux qu’il put, mais la fatigue fini par le trahir et son adversaire en profita pour lui taillader le flanc.
Ramale s’écroula au sol, avant de se relever péniblement, le corps penchant à gauche. Il se plaça en position de combat, sachant très bien qu’il mourrait dans ce combat inégal.
Alors que Faxga s’en allait porter le coup final, il fut frappé par derrière. Phantoka était arrivé. Le Matoran d'eau se releva, mais aussitôt il fut assommé par le Mangai. Après il s'occupa de son Matoran et remarqua qu'il était blessé.
-Tu es chanceux petit que je sache où tu allais. Tu peux tenir debout? Demanda-t-il.
-Bien sûr, répondit Ramale avec une grimace.
-Parfait accroche-toi, ordonna Phantoka.
Puis ils traversèrent rapidement le corridor qui menait jusqu’à la sortie du temple. Cependant, ils étaient attendus à l’extérieur par Pomanas et Takea.
-Tiens! Mais c’est notre vieil ami Phantoka et sa racaille de voleur, railla la Mangai de l’eau.
-Comment tu as fait pour savoir que nous étions là? Demanda Phantoka surpris.
-Eh bien comme Ko-Koro n’es pas loin nous t’avons vu arriver, tu n’es pas très discret avec ta couleur mon vieux et tu ne semblais pas vouloir faire très attention non plus, tu semblais pressé. Maintenant je comprends pourquoi, dit Takea en voyant la blessure de Ramale, Cependant nous t’avons perdu de vu quand tu es rentré, alors nous sommes resté dans les parages jusqu’à ce que vous sortiez. J’ignorais que Kini-Kata existait réellement.
Phantoka ne répliqua rien et Ramale était trop épuisé pour sortir une pique. Derrière eux surgit Faxga, coupant toute retraite, du moins si Phantoka voulait s’échapper avec son Matoran. Takea fut surprise par la présence d’un Matoran de son peuple.
-Faxga, que fait-tu là? Tu es supposé rester à Ko-Koro.
Phantoka profita de la surprise de la Mangai pour lui donner un bon coup de pied dans le ventre. Il tenta, alors, de s’éclipser avec son Matoran dans la confusion. Faxga tenta de rattraper Ramale, mais ne réussi pas vu que la vitesse du Mangai de l’air était supérieur à la sienne.
Alors qu’ils allaient passer, Phantoka reçu le poing de Pomanas en pleine figure. Il s’écroula au sol, assommé. Ramale, lui, chuta et glissa plusieurs mètres plus loin sur la glace. Il tenta de se relever pour porter secours à son Mangai, mais le sol se déroba sous lui.
À suivre...:
- Mad MaxNouveau Fan
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Ven 23 Aoû 2013, 19:35
Juste comme ça, si quelqu'un pouvait m'expliquer comment mettre mes textes en spoil, histoire que ça prenne moins de place, ça m'aiderait. Voici les chapitres 3 et 4:
Chapitre 3:
-Zut le Matoran a chuté, marmonna Takea qui aurait bien aimé le capturer aussi.
- Que faisons-nous de lui? Demanda Pomanas.
-Je l’amène au chef à Ko-Metru, répondit Takea, Il décidera de ce qu’on fait avec lui.
Puis elle se tourna vers son Matoran.
-Faxga que faisais-tu là?
-J’ai vu Ramale entrer et j’ai décidé d’aller voir ce qu’il mijotait, répondit-il.
-Quoi? Tu as décidé de le suivre. Tu aurais pu être tué pauvre crétin, maintenant tu rentres à Ko-Koro et tu y reste compris?
-Oui Mangai.
-Bien tu t'occupera du village pendant mon absence. Pomanas, tu restes ici et tu veilles sur le village, si cette vermine se pointe le bout de son nez tu l’éclates.
-Bien Takea.
-Bon j’amène ce traitre à Ko-Metru.
***
Ramale se réveilla sur un lit de pierre dans un endroit inconnu. Les murs et le plafond étaient faits d’une substance que le Matoran n’avait jamais vue. Au toucher, il lui sembla reconnaître de la terre, grâce aux descriptions de son Turaga. Cela surpris Ramale. Il serait donc tomber dans une des vieilles routes souterraines faites par le défunt peuple de la terre. Drôle de coïncidence qu’il soit tombé sur un lit. Qui plus est il n’était pas dans un tunnel, mais une chambre et il n’avait pas de trou au-dessus de lui. De plus sa blessure avait été soignée. Qui pouvait bien l’avoir sauvé comme ça.
Quelqu’un rentra et Ramale eut un choc. C’était un Matoran de terre.
-Salut, dit celui-ci, Ne sois pas effrayé, je ne suis pas un démon.
-Non plutôt un fantôme.
-Oui c’est vrai que c’est plus juste étant donné que nous nous cachons depuis des millénaires tu peux bien le penser.
-Vous vous cachez? Il y en a d’autres? Demanda Ramale.
-Bien sûr que croyais-tu? Que j’étais le dernier Matoran de terre sur Mata Nui? Franchement je n’aurais pas vécu longtemps seul. Je me nomme Rua, chef de la tribu Matoran de terre.
-Et moi Ramale, pauvre Matoran sans titre. C’est toi qui m’as guéri?
-Oui et sauvez. Que faisais-tu dans ce temple. Je t’ai vu, j’y étais aussi, c’est moi qui est désactivé tout les pièges dans le couloir.
-Ah c’est pour ça que c’était facile.
-Effectivement, mais tu n'as pas répondu à ma question.
-Je… C’est secret.
-Pourtant j’ai l’impression que tu cherchais la même chose que moi.
-Quoi donc? Demanda Ramale soudainement intrigué.
-Le Mangai de feu.
-Quoi? Mais comment savez-vous?
-Calme toi, dit Rua, C’est le Turaga Whenua qui nous l’a dit avant de nous cacher. Il a dit que Vakama ira le cacher et que le moment venu nous devrions allez le libéré.
-Et quel est ce moment venu? Demanda Ramale.
-Je crois que c’est maintenant. Un Mangai ne tiendrait pas face à un Toa, mais comme il n’y en a plus, c’est le moment de le faire sortir pour que les six nations soient de nouveau ensemble.
-Je vois, donc il a été caché à cause de Kopaka c’est ça?
-Exactement le Toa qui a perdu la raison. Du moins pour nous.
-Qu’est-ce que tu veux dire? Bien sûr qu’il a perdu la raison.
-Va dire ça à un Matoran de la glace.
-Ah d’accord, je vois ce que tu veux dire, mais c’est quand même nous les gentils, c’est nous qui voulons que les éléments reviennent ensemble.
-Oui oui je sais.
-Au fait comment ton masque peut-il être normal? Demanda Ramale remarquant que le masque de Rua n'était pas infecté.
-Toi, pourquoi il est comme ça, c’est une nouvelle technologie? Demanda en retour Rua.
-Non c’est une erreur scientifique et nous avons tous été infecté, mais comment vous avez pu éviter le nuage.
-Ah c’est un nuage qui a causé ça?
-Oui.
-Alors j’imagine que nous n’avons pas été infecté à cause que nous vivons sous terre, répondit Rua.
-C’est effectivement logique. Dit comment ce fait-il que je ne t’aille pas vu dans le temple?
-Bien je me suis caché dans un coin et quand l’autre Matoran est rentré je me suis éclipsé.
-Tu as eu le temps de le visiter davantage.
-Oui et il n’y avait que cette salle. Rien de plus, rien de moins. Les trésors du temple avait déjà été volés, donc aucun objets intéressant.
-Zut et la carte? Tu l'as vu? Tu l’as analysé? Pressa Ramale.
-Non tu es arrivé avant que je n’aie le temps.
-D’accord et la glace qui s’effondre, c’était toi?
-Non c’était un fabuleux coup de chance, dit Rua en souriant, Je m’en allais retourner à mon village quand tu es tombé juste devant moi. Constatant que tu étais blessé je t’ai porté jusqu’ici.
-Eh bien, je te dois la vie apparemment. Tout ça a été très instructif, mais il faut que j’y aille, merci de m’avoir guéri, dit Ramale en se levant.
-Je suis désolé, mais on ne peut pas te laisser partir comme ça, tu nous as vu alors on doit t’effacer la mémoire.
-Est-ce que c’est sans risque?
Non pas vraiment, disons qu’il y a des risques pour ta mémoire sois entièrement effacé.
-Quoi? Mais il ne faut pas, mon Mangai est tombe entre leur main. Il faut que je le libère où il pourrait très bien le tuer! De plus j’ai eu le temps de scanner la carte. Si vous effacer ma mémoire vous serez obligé d’y retourner.
-Zut c’est problématique, dit Rua tout en réfléchissant, mais un Matoran seul ne peut pas faire grand-chose. Viens je te mène devant Onega.
Chapitre 4:
-Qui est Onega? Votre Turaga?
-Tu ne m’écoutes pas quand je parle? Si je suis le chef, c’est parce qu’il n’y a pas de Turaga ici, Onega est notre Mangai.
-Quoi vous avez un Mangai vous aussi! S’exclama Ramale.
-Que ferions-nous si nous étions attaqués? Bien sûr que nous en avons un, répliqua Rua.
Ils sortirent de la pièce en trombe. Ramale remarqua alors l’immense trou creusé dans la terre. De forme cylindrique, le village était haut de plusieurs vingtaine de mètre. Chaque étage avait sa rampe pour qu’on puisse se promener de pièce en pièce, mais le centre de la place était troué jusqu’en bas. Ainsi, de la place où se trouvait Ramale, on pouvait voir presque tout le village.
Rua les firent descendre jusqu’à la place centrale du village. En levant la tête, l’architecture de l’endroit était encore plus spectaculaire. Tout les Matoran qu’ils croisaient étaient tous étonné de voir Ramale déambuler derrière leur chef. Ce ne fut pas long avant que celui-ci ne se senti comme un intrus parmi tout ces Matoran de terre.
Arrivé devant une porte plus grande que les autres Rua avertit Ramale :
-Il se peut qu’il n’apprécie pas ta visite. Alors sois discret et laisse moi parler.
-Pourquoi n…
-Silence, le somma Rua.
Il cogna à la porte trois fois. Ramale devint soudain nerveux. Si le Mangai décidais de le tuer, que ferais Rua? Il ne pourrait pas le protéger. Qui du Mangai ou de Rua avait le plus d’autorité? Le Matoran de l’air était au prise avec ses questions quand la porte s’ouvirt. Ramale fut stupéfait. Le Mangai qui se tenait devant lui était tout petit. Il avait à peine une tête de plus que lui alors que Phantoka en avait deux.
-Qui a-t-il? Demanda Onuga de sa voix creuse.
-Onega nous avons besoin de ton aide, dit Rua le plus poliment du monde, J’ai ici avec moi un Matoran de l’air…
-Quoi? Hurla le Mangai de terre, Tu as osé amener ici un Matoran d’une autre tribu.
-Calme toi, répliqua Rua toujours aussi calme, Il est au courant pour le Mangai de feu.
-Dans ce cas, je vais le tuer sur le champ! S’exclama Onega en sortant son épée.
Ramale se plaça en position de défense, mais Rua calma son Mangai en s’interposant entre lui et Ramale.
-Il était déjà au courant avant de venir ici, il est avec nous, tout comme son peuple, dit Rua toujours calme, mais plus ferme.
Cette phrase calma son Mangai, du moins pour l’instant.
-Explique-toi, commanda celui-ci.
-Il a la carte dans sa mémoire. Cependant, ils tiennent son Mangai, on doit le sauver.
-Pardon? Tu me demande d’aller sauver un Mangai inconnu et de mettre tout mon peuple en péril, Rua mon ami as-tu perdu la tête?
-Non Onega, il est temps, pour le peuple de terre de soutenir ses frères de l’air dans ce combat et pour cela nous aurons besoin de leur Mangai.
-C’est non, qu’il aille seul vers sa mort, mais moi je reste ici, et tu es mieux d’en faire de même Rua.
Il referma brutalement la porte, laissant les deux Matoran sur un refus.
-Alors on fait quoi? Demanda Ramale.
-On part d’ici le plus vite possible. Il n’hésitera pas à te tuer s’il te croise.
-Il est sympathique ton Mangai.
-Tout ce qu’il veut c’est nous protéger, allez viens.
À suivre…
Chapitre 3:
-Zut le Matoran a chuté, marmonna Takea qui aurait bien aimé le capturer aussi.
- Que faisons-nous de lui? Demanda Pomanas.
-Je l’amène au chef à Ko-Metru, répondit Takea, Il décidera de ce qu’on fait avec lui.
Puis elle se tourna vers son Matoran.
-Faxga que faisais-tu là?
-J’ai vu Ramale entrer et j’ai décidé d’aller voir ce qu’il mijotait, répondit-il.
-Quoi? Tu as décidé de le suivre. Tu aurais pu être tué pauvre crétin, maintenant tu rentres à Ko-Koro et tu y reste compris?
-Oui Mangai.
-Bien tu t'occupera du village pendant mon absence. Pomanas, tu restes ici et tu veilles sur le village, si cette vermine se pointe le bout de son nez tu l’éclates.
-Bien Takea.
-Bon j’amène ce traitre à Ko-Metru.
***
Ramale se réveilla sur un lit de pierre dans un endroit inconnu. Les murs et le plafond étaient faits d’une substance que le Matoran n’avait jamais vue. Au toucher, il lui sembla reconnaître de la terre, grâce aux descriptions de son Turaga. Cela surpris Ramale. Il serait donc tomber dans une des vieilles routes souterraines faites par le défunt peuple de la terre. Drôle de coïncidence qu’il soit tombé sur un lit. Qui plus est il n’était pas dans un tunnel, mais une chambre et il n’avait pas de trou au-dessus de lui. De plus sa blessure avait été soignée. Qui pouvait bien l’avoir sauvé comme ça.
Quelqu’un rentra et Ramale eut un choc. C’était un Matoran de terre.
-Salut, dit celui-ci, Ne sois pas effrayé, je ne suis pas un démon.
-Non plutôt un fantôme.
-Oui c’est vrai que c’est plus juste étant donné que nous nous cachons depuis des millénaires tu peux bien le penser.
-Vous vous cachez? Il y en a d’autres? Demanda Ramale.
-Bien sûr que croyais-tu? Que j’étais le dernier Matoran de terre sur Mata Nui? Franchement je n’aurais pas vécu longtemps seul. Je me nomme Rua, chef de la tribu Matoran de terre.
-Et moi Ramale, pauvre Matoran sans titre. C’est toi qui m’as guéri?
-Oui et sauvez. Que faisais-tu dans ce temple. Je t’ai vu, j’y étais aussi, c’est moi qui est désactivé tout les pièges dans le couloir.
-Ah c’est pour ça que c’était facile.
-Effectivement, mais tu n'as pas répondu à ma question.
-Je… C’est secret.
-Pourtant j’ai l’impression que tu cherchais la même chose que moi.
-Quoi donc? Demanda Ramale soudainement intrigué.
-Le Mangai de feu.
-Quoi? Mais comment savez-vous?
-Calme toi, dit Rua, C’est le Turaga Whenua qui nous l’a dit avant de nous cacher. Il a dit que Vakama ira le cacher et que le moment venu nous devrions allez le libéré.
-Et quel est ce moment venu? Demanda Ramale.
-Je crois que c’est maintenant. Un Mangai ne tiendrait pas face à un Toa, mais comme il n’y en a plus, c’est le moment de le faire sortir pour que les six nations soient de nouveau ensemble.
-Je vois, donc il a été caché à cause de Kopaka c’est ça?
-Exactement le Toa qui a perdu la raison. Du moins pour nous.
-Qu’est-ce que tu veux dire? Bien sûr qu’il a perdu la raison.
-Va dire ça à un Matoran de la glace.
-Ah d’accord, je vois ce que tu veux dire, mais c’est quand même nous les gentils, c’est nous qui voulons que les éléments reviennent ensemble.
-Oui oui je sais.
-Au fait comment ton masque peut-il être normal? Demanda Ramale remarquant que le masque de Rua n'était pas infecté.
-Toi, pourquoi il est comme ça, c’est une nouvelle technologie? Demanda en retour Rua.
-Non c’est une erreur scientifique et nous avons tous été infecté, mais comment vous avez pu éviter le nuage.
-Ah c’est un nuage qui a causé ça?
-Oui.
-Alors j’imagine que nous n’avons pas été infecté à cause que nous vivons sous terre, répondit Rua.
-C’est effectivement logique. Dit comment ce fait-il que je ne t’aille pas vu dans le temple?
-Bien je me suis caché dans un coin et quand l’autre Matoran est rentré je me suis éclipsé.
-Tu as eu le temps de le visiter davantage.
-Oui et il n’y avait que cette salle. Rien de plus, rien de moins. Les trésors du temple avait déjà été volés, donc aucun objets intéressant.
-Zut et la carte? Tu l'as vu? Tu l’as analysé? Pressa Ramale.
-Non tu es arrivé avant que je n’aie le temps.
-D’accord et la glace qui s’effondre, c’était toi?
-Non c’était un fabuleux coup de chance, dit Rua en souriant, Je m’en allais retourner à mon village quand tu es tombé juste devant moi. Constatant que tu étais blessé je t’ai porté jusqu’ici.
-Eh bien, je te dois la vie apparemment. Tout ça a été très instructif, mais il faut que j’y aille, merci de m’avoir guéri, dit Ramale en se levant.
-Je suis désolé, mais on ne peut pas te laisser partir comme ça, tu nous as vu alors on doit t’effacer la mémoire.
-Est-ce que c’est sans risque?
Non pas vraiment, disons qu’il y a des risques pour ta mémoire sois entièrement effacé.
-Quoi? Mais il ne faut pas, mon Mangai est tombe entre leur main. Il faut que je le libère où il pourrait très bien le tuer! De plus j’ai eu le temps de scanner la carte. Si vous effacer ma mémoire vous serez obligé d’y retourner.
-Zut c’est problématique, dit Rua tout en réfléchissant, mais un Matoran seul ne peut pas faire grand-chose. Viens je te mène devant Onega.
Chapitre 4:
-Qui est Onega? Votre Turaga?
-Tu ne m’écoutes pas quand je parle? Si je suis le chef, c’est parce qu’il n’y a pas de Turaga ici, Onega est notre Mangai.
-Quoi vous avez un Mangai vous aussi! S’exclama Ramale.
-Que ferions-nous si nous étions attaqués? Bien sûr que nous en avons un, répliqua Rua.
Ils sortirent de la pièce en trombe. Ramale remarqua alors l’immense trou creusé dans la terre. De forme cylindrique, le village était haut de plusieurs vingtaine de mètre. Chaque étage avait sa rampe pour qu’on puisse se promener de pièce en pièce, mais le centre de la place était troué jusqu’en bas. Ainsi, de la place où se trouvait Ramale, on pouvait voir presque tout le village.
Rua les firent descendre jusqu’à la place centrale du village. En levant la tête, l’architecture de l’endroit était encore plus spectaculaire. Tout les Matoran qu’ils croisaient étaient tous étonné de voir Ramale déambuler derrière leur chef. Ce ne fut pas long avant que celui-ci ne se senti comme un intrus parmi tout ces Matoran de terre.
Arrivé devant une porte plus grande que les autres Rua avertit Ramale :
-Il se peut qu’il n’apprécie pas ta visite. Alors sois discret et laisse moi parler.
-Pourquoi n…
-Silence, le somma Rua.
Il cogna à la porte trois fois. Ramale devint soudain nerveux. Si le Mangai décidais de le tuer, que ferais Rua? Il ne pourrait pas le protéger. Qui du Mangai ou de Rua avait le plus d’autorité? Le Matoran de l’air était au prise avec ses questions quand la porte s’ouvirt. Ramale fut stupéfait. Le Mangai qui se tenait devant lui était tout petit. Il avait à peine une tête de plus que lui alors que Phantoka en avait deux.
-Qui a-t-il? Demanda Onuga de sa voix creuse.
-Onega nous avons besoin de ton aide, dit Rua le plus poliment du monde, J’ai ici avec moi un Matoran de l’air…
-Quoi? Hurla le Mangai de terre, Tu as osé amener ici un Matoran d’une autre tribu.
-Calme toi, répliqua Rua toujours aussi calme, Il est au courant pour le Mangai de feu.
-Dans ce cas, je vais le tuer sur le champ! S’exclama Onega en sortant son épée.
Ramale se plaça en position de défense, mais Rua calma son Mangai en s’interposant entre lui et Ramale.
-Il était déjà au courant avant de venir ici, il est avec nous, tout comme son peuple, dit Rua toujours calme, mais plus ferme.
Cette phrase calma son Mangai, du moins pour l’instant.
-Explique-toi, commanda celui-ci.
-Il a la carte dans sa mémoire. Cependant, ils tiennent son Mangai, on doit le sauver.
-Pardon? Tu me demande d’aller sauver un Mangai inconnu et de mettre tout mon peuple en péril, Rua mon ami as-tu perdu la tête?
-Non Onega, il est temps, pour le peuple de terre de soutenir ses frères de l’air dans ce combat et pour cela nous aurons besoin de leur Mangai.
-C’est non, qu’il aille seul vers sa mort, mais moi je reste ici, et tu es mieux d’en faire de même Rua.
Il referma brutalement la porte, laissant les deux Matoran sur un refus.
-Alors on fait quoi? Demanda Ramale.
-On part d’ici le plus vite possible. Il n’hésitera pas à te tuer s’il te croise.
-Il est sympathique ton Mangai.
-Tout ce qu’il veut c’est nous protéger, allez viens.
À suivre…
- maxim21Héros des Stats
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Ven 23 Aoû 2013, 20:01
Bah, personnellement, j'aime définitivement bien ton style. Il y a quelques fautes d'orthographe/de frappe, mais rien de trop gênant.
Pour mettre tes chapitres en spoiler, utilise cette méthode :
Pour mettre tes chapitres en spoiler, utilise cette méthode :
- Code:
[spoiler]
CHAPITRE
[/spoiler]
- Mad MaxNouveau Fan
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Ven 23 Aoû 2013, 23:46
Ok merci beaucoup
Voici le chapitre 5
Enjoy it!
Voici le chapitre 5
Enjoy it!
- Spoiler:
En chemin pour Ko-Metru, que Phantoka n’avait encore jamais visité, le Mangai se faisait du souci pour son Matoran. Quand il s’était réveillé, plusieurs heures plutôt, il avait vite compris qu’il était leur prisonnier. Ne voyant pas Ramale, il eut peur un instant qu’il soit mort. Cependant Takea c’était chargé de le rassurer en venant jurer devant lui.
Sur la route il ne se passa rien d’extraordinaire. Ils arrivèrent rapidement à Ko-Metru. Phantoka fut époustouflé par l’air majestueux des murs de glace. Il semblait bien solide et était haut d’au moins vingt mètres. Les portes étaient d’un blanc-gris brillant et avaient été sculpté pour former le masque de Kopaka. Takea toqua et une languette s’ouvrit.
-Ouvre, ordonna-t-elle.
Après quelques minutes d’attente, les portes s’ouvrirent et Phantoka put admirer la grandeur de Ko-Metru.
-Magnifique n’est-ce pas? Railla la Mangai de l’eau, Ça doit être étrange pour un sauvage comme toi non?
Effectivement la grosseur de la ville faisait se sentir tout petit le Mangai. Les hautes tours de glace le laissaenit sans voix, la longueur des rues le laissait pantois.
-Ça fait différent de mon village, répondit –il.
Au centre de la ville se tenait un palais de glace immense. Les hautes poutres de glace le tenaient suspendu dans les airs. Pour y accéder, il y avait un escalier en colimaçon placé directement au centre de la structure.
Une fois monté, ils arrivèrent devant deux portes imposantes avec l’épée de Kopaka sur chacune d’elle. Takea ouvrit et ils s’engagèrent dans une salle du trône. Des étendards pendaient au mur derrière une chaise de glace majestueuse. Il y avait deux sorties juste à côté du trône. Sur celui-ci se tenait un Matoran de glace.
-Barrako, que fais-tu à la place du chef? Demanda agressivement la Mangai.
-Il m’a demandé de siéger à sa place aujourd’hui. Il ne s’attendait pas à ta visite et les petites chicanes entre Matoran ne l’intéressent pas alors... Attends, mais tu l’as! S'exclama le Matoran de glace en apercevant Phantoka, mains et poings liés.
-Oui je l’ai! S’exclama-t-elle avec fierté, Nous le tenons enfin.
-Je vais le chercher, il doit voir ça, s’écria le Matoran en partant chercher le chef.
-Tu vas l’aimé, chuchota Takea à Phantoka.
Quelques minutes après la disparition du Matoran, un Mangai entra. Tout en lui reflétait la puissance, de ses mouvements à son armure grise. Il s’assit sur le trône de glace avant de prendre la parole :
-Alors voici, enfin, Phantoka, l’esprit du vent, capturé par Takea. Il était plus que temps, après mille ans de poursuite.
-Plus que temps que je vous vois enfin, rétorqua Phantoka.
-Effectivement, j’aurais peut-être dû partir à ta recherche moi-même, plutôt que de laisser mes généraux le faire à ma place. Cependant qui aurait géré la ville? Barrako commence à peine à en comprendre la gestion et au final tu as quand même fini ici. Barrako! Appela-t-il.
-Oui maître, dit le Matoran en arrivant.
-Emmène notre invité dans ses cartiers, dit à Pokari de bien s’occuper de lui.
-Bien maître.
-Oh j’oubliais, rajouta le maître, enlevé lui son armure, n’avez-vous pas remarqué qu’il peut s’en servir comme arme?
Sur ces mots le Mangai de glace s’éclipsa et Barrako entraîna Phantoka à l’extérieur de la salle d’audience.
Takea se lança à la poursuite de son chef.
-Chef, lança-t-elle.
-Oui, fit celui-ci en se retournant.
-Pourquoi lui laisser la vie sauve, on devrait l’exécuter pour démontrer à ces sauvages que nous avons gagner.
Son chef la regarda longtemps dans les yeux avant de répondre :
-Nous n'avons pas encore gagner tant qu'il restera des Matoran de l'air insoumis, à ma connaissance il en reste au moins un. De plus, Phantoka n’avouera jamais où se cache son village, c’est dans sa nature. Il défendra ses Matoran jusque dans la mort. Tout comme nous. Le Matoran qui était avec lui reviendra le chercher. Il a de forte chance qu’il soit davantage volubile que son Mangai.
-Effectivement, approuva Takea.
-J’aimerais que tu restes un moment, le temps que le Matoran revienne chercher son protecteur et après je te renverrai chez toi à Ko-Koro.
-D’accord je capturerai ce Matoran quand il se pointera.
-Bien.
Le Mangai parti et Takea alla dans ses appartements du palais de Ko-Metru.***
Phantoka fut mené jusqu’à une énorme bâtisse faite d’une glace noire. Sa noirceur semblait projeté une aura sombre tout autour d’elle. Les Matoran étaient très rares dans ce secteur. Les rares passants, disparaissaient rapidement, comme s’ils fuyaient l’édifice.
L’intérieur du bâtiment était encore moins accueillant. La noirceur des lieux donnait presque le tournis, les rares lumières créaient un effet d’oppression.
-Dit quand ton Mangai parlait de mes cartiers, il aurait peut-être pu me demander mon avis, dit Phantoka au Matoran qui l’escortait.
Barrako ne l’écouta pas et le conduisit à un Matoran de pierre. Quand le Matoran aperçu Phantoka, il en resta bouche bée.
-Attends Barrako c’est…
-Oui c’est lui, la guerre est presque fini, déclara solennellement le Matoran de glace.
-He bien c’est toute une réussite, j’imagine qu’il va dans la cellule à sécurité maximale.
-Oui et enlève lui son armure également.
-Pour quoi faire? Demanda le geôlier.
- Banane, tu ne vois pas que c’est des armes qu’il peut utiliser pour se battre.
-Ah d’accord! S’exclama le Matoran, Bon je t’enlève tout ça et ensuite je t'amène dans ton nouveau chez toi.***
Une fois sorti de sous terre les deux Matoran se dirigèrent vers Ko-Koro.
-Tu es sûr qu’il ne m’en voudra pas? Demanda Ramale à Rua.
-Non non, s’il cherche à te tuer je lui expliquerai.
-Ouais s’il n’est pas trop tard, répliqua le Matoran de l’air en faisant la moue.
À suivre...
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Sam 24 Aoû 2013, 02:44
Haaaaaa, 4 chapitres à la suite, j'aime, ça me rappelle le bon vieux temps en 2010 x)
Nan, y a vraiment de la cadence dans ta fic, et c'est un très bon point.
Mise à pars ça, même si je trouve ton style décrit très synthétique, j'aime bien, ça se laisse lire sans problème et facilement, même si je verrais plus de descriptions poussées sur l'environnement, comme le Ko-Metru, par exemple.
Nan, y a vraiment de la cadence dans ta fic, et c'est un très bon point.
Mise à pars ça, même si je trouve ton style décrit très synthétique, j'aime bien, ça se laisse lire sans problème et facilement, même si je verrais plus de descriptions poussées sur l'environnement, comme le Ko-Metru, par exemple.
- Mad MaxNouveau Fan
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Sam 24 Aoû 2013, 03:28
D'accord, il faut dire que c'est un point que je cherche à améliorer dans tout mes récits, alors je travaille constamment à tenter de mettre plus de description, mais c'est ma grosse faiblesse, parce qu'il ne faut pas en mettre trop non plus. Merci du commentaire, ça fait toujours plaisir.
- Mad MaxNouveau Fan
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Sam 24 Aoû 2013, 04:35
Et le chapitre 6 parce que ça fait toujours plaisirs.
Chapitre 6:
Chapitre 6:
- Spoiler:
Rua et Ramale arrivèrent au abord de Ko-Koro, ce village presque fantomatique tellement les habitants étaient rares. Quelque maisons tenaient toujours debout, mais la moitié du village avait disparu, les bâtiments s’écrasant par le poids du temps
Les deux compères avançaient en rampant, tentant de se dissimuler derrière les dunes de neiges, leurs couleurs n’étant pas très utile pour se camoufler sur le blanc. À chaque ouverture Ramale essayait de voir si quelqu’un passait, il savait que c’était improbable, mais après que les deux Mangai qui avaient enlevé Phantoka l’aient surpris à la sortie de Kini-Kata, il ne voulait prendre aucun risque.
-Tu es sûr qu’il est ici? Demanda Rua.
-Sûr! Du moins c’est là qu’il a été capturé.
Les deux Matoran continuèrent leur avancer. Ramale distingua une habitation à plusieurs mètres plus loin. Elle n’était pas en très bon état, le toit s’était écroulé et seulement deux murs restaient dans leur position d’origine défiant le temps, mais c’était la plus proche et elle leur offriraient, déjà, une bonne couverture pour se faufiler dans le village. Ils continuèrent d’avancer jusqu’à n’être plus qu’à quelques mètres de la première maison. Malheureusement, il n’y avait plus de dune pour les cacher et il fallait parcourir le reste de la distance à découvert. Ramale observa les environ. Pas beaucoup de Matoran à l’horizon.
-À trois, dit-il.
-Un…
Rien à l’horizon.
-Deux…
Toujours aucun Matoran visible.
-Trois!
Les deux Matoran sprintèrent vers la maison, mais ils furent interceptés par Faxga qui surgit de derrière l'habitation.
-Oh non pas lui! S’exclama Ramale.
Le Matoran d’eau projeta Rua au sol avant d’éviter l’attaque de Ramale.
-Oulà! Fit Rua en se relevant, surpris par la force du Matoran.
Ramale sorti son arme et s’apprêta à combattre Faxga seul. Mais son ami sortit également ses armes, deux puissantes pinces. Le Matoran d’eau ne se laissa pas impressionné par les deux complices.
-Je me doutais bien qu’il y avait une autre présence dans le temple, dit Faxga visiblement pas trop surpris par l’apparition d’un être supposément disparu, J’ignorais cependant que c’était un Matoran de terre.
-Tu ne parais pas surpris, répliqua Rua.
-Non, je n’en ai pas le temps pour le moment. Vois-tu, il y a deux Matoran qui tentent d’infiltrer mon village.
Faxga frappa, sans que Rua ne s’y attendit. Il fut à nouveau envoyer au sol. Ramale tenta de répliquer en attaquant par derrière, mais le Matoran d’eau fut plus rapide et para le coup. Il répliqua ensuite rapidement forçant le Matoran de l’air à se défendre sans pouvoir répliquer.
Rua se releva et attaqua Faxga pendant que celui-ci envoyait Ramale au tapis. Il toucha la cible. Le Ga-Matoran ne broncha toutefois pas. Il se tourna et s’apprêta à frapper, mais Ramale s’était relevé et attaqua, forçant Faxga à le bloquer. Rua en profita pour y passer une de ses pinces autour du coup.
-Alors maintenant tu te calmes…
-Faxga, compléta Ramale.
-Ou sinon ta tête roulera sur la neige c’est compris.
-Entendu, répondit le Matoran d’eau, Que puis-je pour vous?
-Où est enfermé Phantoka? Demanda agressivement Ramale.
-Il est à Ko-Metru.
-Ko-Metru? dit Rua, C’est la ville de Kopaka n’est-ce pas?
-Celle qu’il a fondée effectivement, répondit Faxga.
-Alors il est fichu, dit Ramale en s’écrasant sur ses genoux.
-Et vous aussi Matoran, hurla une énorme voix.
Ramale et Rua tournèrent la tête en même temps pour apercevoir Pomanas arrivant droit sur eux.
-Arrête où je lui coupe la tête, hurla Rua.
Pomanas hésita un instant, mais il continua de charger, et il frappa Rua avant que celui-ci n’ait pu bouger. Ramale se releva, mais reçu aussitôt un uppercut bien placé du Mangai. Il tenta de se relever, mais la tête lui tournait trop. Rua était, manifestement dans le même état, car il était à genou et visiblement sonné. Faxga s’approchait sa hache, dangereusement proche.
Soudain surgissant de nulle part, Onuga arriva. Il plaqua Faxga au sol, puis il chargea vers Pomanas. Grave erreur. Pomanas le frappa violemment dans le ventre, stoppant net sa course. Puis d’un coup de pied, il fit reculer le Mangai. Onuga, qui s’était équipé de son épée et d’un lanceur Zamor, tira et toucha Pomanas en pleine figure. Celui-ci s’écroula sur le sol.
-Est-il mort? Demanda Ramale toujours étourdi.
-Non seulement assommé, la sphère que j’ai utilisé n’était pas faite pour tuer, répondit Onega visiblement contrarié, Elle t’était destiné à la base.
-Ah! Merci de l’attention, dit Ramale en se levant difficilement, Mais je crois qu’il la prit mieux que je ne l’aurais pus.
Onega lui jeta un regard méprisant et attrapa son Matoran par le bras.
-Je savais que tu ferais faut bon. On rentre maintenant! Cria-t-il en direction de Rua.
-Il n’en est pas question, répliqua Rua, Son Mangai est prisonnier à Ko-Metru, il faut aller le libérer.
-Non, dit Ramale coupant Onega, On n’a qu’à faire un échange le gros là contre Phantoka.
Onega hésita avant de répondre, tandis que Rua, malgré l’étourdissement dont il était victime adorait déjà.
-Ouais ça peut être une bonne idée, s’enthousiasma-t-il.
Onega vint gâcher leur plaisir :
-Je suis navré, mais le gros est beaucoup plus fort que moi et je n’ai plus de sphère Zamor en réserve. Il vaut mieux prendre le petit. Puis si j’ai bien compris, le Mangai de l’eau est à Ko-Metru, il fera ce qu’on lui dira.
-De un c’est une fille, corrigea Ramale, de deux je crois que Pomanas à plus de valeur que Faxga.
Évidemment le Matoran savait pertinemment que la Mangai de l’eau viendrait au secours de son Matoran, comme tout Mangai, mais il refusait que se soit Onuga qui décide. Cependant Rua se mit de la partie.
-C’est pas bête, on se cache dans une des maisons de son village quasi-désert... C’est quoi la population exacte du village? Demanda Rua à Faxga qui était étendu sur le sol, incapable de bouger.
Celui-ci préféra ne rien dire. Rua continua:
-Bon on fera sans… Et on laisse une note au gros bourrin.
-J’suis même pas sûr qu’il sache lire, protesta Ramale veinement.
-Il y a sûrement quelqu’un à Ko-Metru qui le sait, aller amenez-le, j’écris la note.
Rua arracha un morceau de la maison de glace la plus près et commença à écrire le message pendant que Onuga et Ramale s'emparait de Faxga et l'amenait dans le village Ko-Koro.
Les maisons tombaient en ruines. Certaines avaient des toits défoncés, d’autres des pans de murs entiers cassés en plusieurs morceaux de glace. Finalement ils réussirent à trouver une habitation plus où moins potable où les quatre murs étaient encore debout. Certes il manquait une partie du toit et une fenêtre avait été élargie, mais c’était déjà l’endroit le plus sûr.
Onuga partit chercher Rua, laissant Ramale avec Faxga. Le Matoran de l’air le fixa longtemps essayant de comprendre son masque. Dès leur première rencontre cela l'intriguait. Lors des combats, il n’était pas évident d’observer en détails le masque d’un adversaire. Mais au repos le travail était beaucoup moins compliqué. Le masque était effectivement incassable, mais on aurait dit qu’il pouvait se retirer du visage. Ramale approcha sa main pour tenter de le retirer quand…
-Aie, mais ça ne va pas me mordre comme ça! Hurla-t-il.
-Silence, intima Onega en rentrant avec Rua, le gros était en train de se réveiller quand nous nous sommes éclipsés.
-Zut, nos traces de pas, fit Ramale en voyant les empruntes de ses deux compagnons à l’extérieur de la cabane.
Onega et Rua ne comprirent pas tout de suite, mais quand Ramale sortit effacer le plus d'emprunte possible, ils comprirent. Quand ils voulurent l’aider, le Matoran leur ordonna de rester à l'intérieur. Il fallait les effacer avant que Pomanas ne se réveilla complètement.
À suivre…
- Mad MaxNouveau Fan
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Lun 26 Aoû 2013, 01:44
Donc vu que je n'ai pas posté de chapitre hier, voici un petit bonus de trois chapitres, pour, au moins, la seule personne qui aime un chapitre sur deux et les autres qui me suivent silencieusement.
Chapitre 7:
Chapitre 8:
Chapitre 9 :
Chapitre 7:
- Spoiler:
Ramale effaçait tout ce qu’il pouvait du mieux qu’il put. Il espérait profondément que Pomanas serait assez stupide pour ne pas apercevoir les empruntes de pas qu’ils avaient laisser dans le sol. Rendu à une bonne douzaine de mètre de la cabane où Rua et Onega étaient cachés, le Matoran aperçu le Mangai de pierre qui avançait dans sa direction.
Ramale se cacha derrière un mur qui tenait encore. Jetant un nouveau regard, il vit que Pomanas suivait bien leurs traces. Le Matoran improvisa et se mit à courir vers sa droite, à l’opposé de leur cachette. Il espérait que le leurre fonctionnerait. Arrivé à un détour, il croisa un des rares Matoran qui peuplaient le village. Ramale l’assomma rapidement et le traîna avec lui.
Pomanas tournait le coin, sans les voir trop absorbé par les traces laissées au sol. Cette sorte de diversion permis à Ramale de se cacher dans une cabane avec le Matoran. Ensuite il s’extirpa par la fenêtre et s’en alla derrière une autre des maisons en ruines qui parsemaient le terrain, en prenant bien soin d’effacer ses traces.
Pomanas arriva dans la cabane où le Matoran était caché et le réveilla brutalement :
-Petite fripouille! À l’avenir quand tu passeras à côté de moi et que je serais au sol assommé, tu me réveilleras.
Le pauvre Matoran était trop sonné pour comprendre pourquoi il avait été réveillé de la sorte. Il prit peur et s’enfuit, du mieux qu'il put, de Pomanas aussi rapidement que le lui permettait ses petites jambes. Pomanas était tellement furieux qu’il détruisit le mur en avant de lui.
Ramale se cacha du mieux qu’il put derrière son pan de mur en espérant que le Mangai ne le verrait pas. Pomanas resta quelque instant debout à fulminer devant le mur, puis il s’en alla, laissant la possibilité au Matoran de s’éclipsé en douce.
Il réussi à se faufiler jusqu’à leur cachette sans trop de mal. Comme le village était presque vide, le Matoran eut rarement à passer sans se faire voir par d’autre Matoran. Arrivé à la cabane où se cachaient ses deux complices, Ramale reçu une épée devant son cou.
-Non, mais ça va pas, c’est moi!
-Oh pardon, fit Onega, Je ne pouvais pas savoir et il fallait que je protège notre prise.
-Ouais Pomanas est parti, il doit sûrement se rendre à Ko-Metru, cela m’étonnerait qu’il envoie un Matoran à sa place.
Les deux autres acquiescèrent.***
Pomanas arriva enfin à Ko-Metru, après plusieurs jours de marche. Il toqua sur l’énorme porte d’entrée de la cité. Il s’était toujours demandé pourquoi les architectes n’avaient pas pensé à une entrée plus petite qui ne prenait pas trop de temps à s’ouvrir. Celle-ci était toujours fermé et elle prenait énormément de temps à ouvrir. À croire que son chef ne voulait pas voir les Matoran en dehors de sa cité.
Quand les portes furent finalement ouvertes, Pomanas rentra à l’intérieur de la cité de glace. L’agitation était à son comble, bon nombre de Matoran se promenaient précipitamment de place en place. Comme si un événement important était sur le point de se passer.
À l’habitude, les Matoran étaient déjà très actif dans la cité, mais de là, à créer de véritable bouchon de circulation piétonnier, c’était très inhabituelle. Pomanas dû tout de même franchir la distance qui séparait les portes du palais à travers cette foule de petite être courant en tout sens à leur occupation quotidienne. Certain Matoran de son peuple l’accostait pour le saluer où s’arrêtait trop émerveillé par son apparition, pour ensuite être transporté par le mouvement de la foule.
De peine et de misère, le Mangai réussi finalement à se rendre jusqu’au palais où il put finalement être libéré des flots de la circulation. Le Mangai de pierre s’arrêta un instant et contempla les tours qui faisaient que Ko-Metru existait.
Toutes ces hautes tours qui parsemaient la cité remplissaient Pomanas d’un sentiment de fierté. Ces tours avaient tous été bâtis par les Matoran de pierre. Des Matoran de glace, ils avaient appris à sculpté la glace et ils finirent par s’y habitués et la travailler aussi bien que la pierre créant ces magnifiques structure blanche.
La plus grande réussite de son peuple était certainement la prison noire. Haute tour de glace retenant prisonnier les criminelles. Le chef de l’établissement Pokari était un Matoran de pierre que le Mangai tenait en haute estime.
Avant d’en devenir le grand gardien, Pokari avait été un architecte hors du commun. Il avait bâtis le palais de Kopaka au centre de la ville et la tour de Pomanas, l’endroit où il résiderait une fois la guerre fini.
La tour de Pomanas n’était pas trop loin du palais, puis elle plaisait beaucoup au Mangai. Elle était finement sculptée, représentant une pierre solidement ancrée dans le sol. Une pierre inébranlable qui représentait toute la puissance de son peuple.
Bien sûr Pokari comptait d’autre réalisation à sa fiche, mais ceux-ci étaient ses principales réussites. Il était également l’un des architectes de la tour noire. Étant trop fière de cette réalisation, il ne voulut pas laisser l’entretien du bâtiment à d’autre Matoran. Il devint, alors, le grand gardien de la tour.
Pomanas stoppa sa contemplation pour se diriger vers la salle d’audience. Rendu là-haut, il ne se gêna pas pour pousser lui-même les portes et rentré à l’intérieur avec grand fracas, interrompant l’audience que Barrako était entrain d’accordé à un Matoran de l’eau.
-Qui a-t-il Pomanas? Demanda le Matoran, frustré d’être interrompu de la sorte.
-Je dois voir le chef, répondit simplement celui-ci sans donner plus d’explication.
Barrako voulu s’interposé entre Pomanas et les appartements du chef quand celui-ci s'y dirigea. Un seul regard du Mangai suffit pour faire reculer Barrako qui compris que c’était quelque chose d’important.
Une fois à l’intérieur, il ouvrit toute les portes une à une cherchant le chef. Il fini par tomber sur Takea qui regardait la ville depuis sa fenêtre.
-Regardez moi ça, dit celle-ci en pensant que c’était son chef, Les Matoran sont tous joyeux à l’idée que la guerre prendra bientôt fin. Dès que nous aurons ce Matoran, nous pourrons enfin soumettre son peuple.
Elle se retourna et aperçu Pomanas dans le cadre de la porte.
-Toi? Mais que fais-tu ici? Je t’ai donné l’ordre de garder Ko-Koro, s’exclama sa surprise.
-J’ai une mauvaise nouvelle à t’annoncer, dit-il doucement, Faxga a été capturé.
-Non, refusa-t-elle, c’est impossible, comment aurait-il pu?
-Le peuple de terre…
Il ne put terminer, Takea le frappa au visage avant.
-Mais quelle sottise viens-tu me raconter là? Ce peuple là n’existe plus depuis longtemps!
-Apparemment, il a reparu et ils ont un Mangai.
-Il faut avertir Kardako, dit-elle la peur dans les yeux en se lançant à sa recherche.
À suivre…
Chapitre 8:
- Spoiler:
-Kardako, hurla-t-elle en rentrant dans sa chambre.
-Quoi? Hurla-t-il, Tu me déranges avec le Turaga.
-Oh pardon j’ignorais, mais c’est urgent, dit-elle en tentant de garder son calme.
-Quoi donc? Demanda Kardako agacé.
-Le peuple de terre, commença-t-elle.
-De quelle sottise es-tu…
-Calme-toi, Mangai Kardako, dit le Turaga de sa vieille voix.
-Oui maître, dit le Mangai de glace en s’inclinant.
-Le peuple de terre disait-tu? Demanda le Turaga à Takea.
-Ils ont reparus, acheva-t-elle finalement.
Kardako jeta un œil interrogateur à son Turaga celui-ci était visiblement tracassé. Il se mit à réfléchir en faisant les cent pas. Takea sentait que le message ne lui plaisait pas. Après une minute de méditation le Turaga demanda :
-Ont-ils un Mangai?
-Oui maître, répondit Pomanas en rentrant dans la pièce, Il était très bien équipé en armement et je suis à même de penser que plusieurs Matoran se cachent sous terre.
-Je me doutais bien que mon frère Whenua avait réussi à les cacher, mais de là, à leur procurer un Mangai.
Le Turaga se mit à faire les cent pas pendant que les trois Mangai attendaient sa réponse.
-Qu’ont-ils fait exactement? Demanda-t-il après deux tours.
Takea répondit plus vite que Pomanas :
-Ils ont enlevé un de mes Matoran.
-Voilà qui est fâcheux, réagit le Turaga, Mangai Takea promettez moi de ne rien faire de stupide pendant que j’expliquerai les mesures à suivre à Kardako.
-Désolé, mais la sécurité d’un de mes Matoran est en jeux.
- Évidemment, je ne peux pas vous faire promettre de ne pas le sauver, juste rien de stupide.
-J’y réfléchirai, déclara-t-elle en s’en allant.
-Mangai Pomanas, veuillez la surveiller de près, demanda le Turaga.
-Bien sûr, répondit le Mangai avant de s’élancer à la suite de Takea.***
Takea alla s’enfermer dans sa chambre. Elle était en furie. Un de ses Matoran était en danger et personne ne semblait s’en soucier. Sauf elle bien entendu. Comme quand elle avait exigé des architectes pour tenter de rénover le domaine qu’elle avait reçu. Personne n’avait voulu les lui donner.
D’ailleurs ce pauvre village miteux commençait à lui taper sur les nerfs. Elle avait servi pendant mille pour eux, qu’est-ce qu’elle obtenait? Ko-Koro, un vulgaire village qui tombait en ruine, puisque personne n’habitait là, sauf quelques Matoran piteux qui étaient trop attachés à elle. Au départ, le plan de recolonisation marchait très bien, les Matoran affluaient, pour aussitôt rentrer à Ko-Metru évidemment. Elle avait tout tenté pour sauver le village, mais le manque d’appuie l'avait coulé.
Pas d’action stupide avait demandé le Turaga. Il serait servi. Elle ramènerait Ramale de Ko-Koro et apporterait les têtes des Mangai ennemi à Kardako. Peut-être que là, enfin, son travail serait reconnu.
Elle se leva et sorti de sa chambre. Elle avait un plan. Une fois sorti du palais elle se dirigea rapidement vers la tour noire. Elle devait à tout prix obtenir de l’aide de Pokari. En chemin, elle se sentit observée. Elle jetait, de temps à autre des coups d’œil derrière histoire de tenter d’apercevoir qui la suivait. Il lui était difficile d'avancer tellement la foule était dense.
Elle prit soudainement un embranchement qui l’amena dans une ruelle peu visité. Pomanas tourna le coin tombant directement sur Takea. Aussitôt, elle le frappa. Le Mangai fit un bisou au plancher avant de se relever.
-Qu’est-ce que tu fiche à me suivre? Demanda-t-elle, des couteaux dans les yeux.
-Je m’assure que tu ne commettras pas de stupidité, répondit-il.
-Ah je vois, le Turaga n’a pas confiance en moi, comme personne dans cette foutu ville. Depuis le temps que nous risquons nos vies pour eux, ils pourraient au moins nous bâtir une tour. Oh mais attend, toi tu en as une. Moi qu’est-ce que j’ai reçu? Un maudit village fantôme! Se défoula-t-elle.
Pomanas la regarda longtemps dans les yeux, réfléchissant soigneusement à ses mots :
-Que comptes-tu faire?
-Ramener Ramale et ce Matoran de terre, ainsi que la tête de leur Mangai, répondit-elle.
-Phantoka est…
-Je ferai ce qu’il demande, jusqu’à ce qu’il relâche Faxga.
-Takea ce n’ait pas en prenant des décisions seule que…
-Ne tente pas de me convaincre de faire marche arrière, voilà mille ans que je suis leur ordre. Voilà mille ans que je ne reçois rien, il est peut-être temps que je fasse ma propre justice. N’essaie pas de m’en empêcher Pomanas. Tu sais très bien que je n’hésiterais pas à te tuer.
Pomanas resta silencieux sur la dernière réplique. Il vit très bien que Takea avait ses mains proches de ses harpons. À vrai dire il se fichait complètement d’entamer un combat à mort contre Takea, mais l’idée de le faire ici, en plein cœur de Ko-Metru, ne l’enchantait guère. Il faut dire que les Matoran étaient euphorique à l'idée que la guerre se finisse enfin, ils ne leur fallaient pas voir une division entre leur Mangai.
-Dans ce cas nous sommes deux. Si tu prends une décision irréfléchie tu pourrais faire repartir la guerre. Tu mettrais alors tout les Matoran de Ko-Koro et de Ko-Metru en danger. Tu sauverais un Matoran pour, possiblement, en condamner des milliers d’autres?
-Tu ferais la même chose si c’était Pokari, répliqua-t-elle avant de lui asséner un coup de pieds et de s’éclipser parmi la foule.
À suivre…
Chapitre 9 :
- Spoiler:
Takea se rendit jusqu’à la tour noire aussi rapidement qu’elle pu. Rendu là, elle demanda au Matoran de l’accueil si elle pouvait contacter Pokari le grand gardien. Comme elle était une Mangai, ce ne fut pas très dure avant que le Matoran lui dise que sa demande était autorisée.
La Mangai se précipita dans les escaliers. Trouvant le temps trop long dans les ascenseurs, elle préférait cette méthode. Rendu au bureau du grand gardien, elle toqua une seule fois avant d’être autorisé à rentrer.
Le bureau de Pokari contrastait avec le reste de la prison. Les murs d’un blanc éclatant et une immense glace transparente derrière sa chaise laissait la lumière se refléter à loisir, créant le contraire de l'effet d'étouffement du reste de la prison. Le Matoran était tout excité de sa présence. Il était visiblement ravi qu’un Mangai s’intéresse à son installation.
-Alors que se passe-t-il? Demanda Pokari, Kardako à décider qu’il était temps d’exécuter Phantoka?
-Pas tout à fait, répondit-elle. C’est plus un interrogatoire qu’il aimerait.
-Parfait, je m’en charge moi-même, s’enthousiasma le petit être.
-Non! S’exclama-t-elle, puis tentant de reprendre le contrôle de la situation : Il préfère le faire seul. Je suis là pour l’escorter jusqu’au palais.
-Ah d’accrod, dit Pokari sur une note plus triste, Mais vous savez, si Kardako perdait patience, nous pourrions toujours tenter de le soumettre avec nos technologie de dernier cris, il ne tiendrait pas longtemps et…
-Vous avez fini oui? Vous savez que Kardako n’est pas très patient, alors plus de perte de temps, lui dit-elle de façon agressive.
Le Matoran ne se fit pas prier et ils partirent vers la cellule de Phantoka. Quand ils ouvrirent la porte, Pomanas sortait de l'ascenseur et se dirigeait vers le bureau.
-Tiens vous allez être deux… commença le Matoran avant de se faire ravir ses clés par Takea qui s’enfuit vers les escaliers.
Pomanas tenta de l’arrêter, mais son poing ne fit que détruire le cadre de la porte du bureau. Takea s’engagea dans les escaliers et monta le plus rapidement possible vers les cellules à sécurité maximale. Elle entendait les pas de Pomanas qui résonnait sur la paroi de glace.
Elle réussit finalement à arriver au dernier étage avec une bonne avance sur son compatriote. Cependant l’accès était fermé par une lourde porte en pierre. Impossible pour Takea de la cassée. Elle s’en remit donc au trousseau de clé. Elle les essaya une à une.
Elle entendit Pomanas grogner plus bas qu’il la tuerait et ses pas qui se rapprochaient rapidement. Finalement elle réussi à ouvrir la porte. Elle l’a referma rapidement et tenta de la barrer, mais elle ne se barrait que de l’extérieur. Elle se tourna alors vers son seule allié.
-Phantoka! Hurla-t-elle pour le réveillé.
Mais sa cellule étant extrêmement sécurisé, il lui était impossible de l’entendre. Il était enfermé dans le coin de la pièce. Sa cellule était de la même pierre que la porte. Il était presqu'impossible d’y accéder, car il y avait un trou de quatre mètres de large qui séparait la cellule au plancher de la pièce. Le seul moyen était d’activité une passerelle de glace se rendant jusqu’à la porte. Il n’y avait aucune rambarde dessus, comparativement au reste du contour du trou. Pour l’actionner, il fallait faire un code quel ne connaissait pas et pour la porte de pierre il fallait une clé qu’elle espérait avoir.
Ne connaissant pas le code elle prit connaissance de l’autre côté de la pièce. Comme un autre mécanisme tenait en suspension la cellule, elle se doutait bien qu’un mauvais code conduirait à la chute de la cage de pierre du Mangai. De l’autre côté de la pièce, il y avait également une porte. Moins protégé, mais tout de même bien pensée. Le mécanisme qui tenait en suspension la cellule était également rattaché au cadenas. Il fallait la bonne clé ou Phantoka ne serait plus un souvenir et elle ne pourrait plus sauver Faxga.
Elle s’attaqua d’abord à la passerelle. Le code était un nombre à quatre chiffres inconnus. Elle n’avait pas le droit à l’erreur alors elle s’attaqua à un pan du mur avec ses harpons pour confectionner sa propre passerelle. Elle réussi à arracher un morceau de glace assez long pour touchez la cellule. Elle réussi à le placer, mais la précarité de la glace rendait l’accès très dangereux.
Elle s’essaya tout de même. Arrivé à la porte, elle cogna à plusieurs reprise jusqu’à ce qu’elle entende la voix de Phantoka qui criait :
-Quoi? Bon sang, vous êtes obligés de me réveillez comme ça?
-Oui, cria-t-elle également, il faut vous sortir de là.
À ce moment Pomanas arriva défonçant la porte. La cage chuta, en même temps que la passerelle improvisée qu'elle avait faite. Takea prit ses harpons et réussi à s’accrocher à la cellule et à la rambarde grâce à leur faculté de s’étirer.
Pomanas arriva devant son harpon accroché à la rambarde.
-Eh bien, il semble que tu sois dans de beau drap Takea, dit-il, Mon seul problème dans cette situation c’est que j’ignore quels sont les plans de Kardako pour Phantoka alors…
Il se mit à tirer sur le harpon, faisant remonter Takea et la cellule.
-Il est encore temps de retrouver la raison, tenta de la raisonner Pomanas, Je ne suis pas obligé de te tuer pour l’instant.
Takea n’attendit pas son heure, elle usa de toute sa force pour se balancer et projeter la cellule droit sur le Mangai de pierre.
-Que fais-tu? Takea arrête! Cria Pomanas quand il comprit le stratagème.
Trop peu trop tard, la cellule le percuta de plein fouet se fracturant sur lui. Takea réussi à se remonter. Phantoka se relevait péniblement. Au dessous de lui se trouvait un Pomanas mort ou assommé, elle ne saurait dire et l’autre porte avait été fracassée par la pierre. À l’intérieur tout l’armement de Phantoka s’y trouvait.
Avant qu’il reprenne ses esprits, elle lui sauta à la gorge.
-Là tu vas m’écouter, lui somma-t-elle, Ton Matoran retient un des miens en otage. Tu es la rançon qu’il exige. Alors ne tente pas de faire le malin. Remet ton armure et donne moi tes armes.
-Et comment tu compte quitter Ko-Metru? Ton chef à sûrement dû comprendre ce qui vient de se passer ici et il va débarquer à n’importe quel moment, lui dit Phantoka.
-Pourquoi t’as une idée? Demanda Takea se sachant parfaitement prise au piège.
-Tu vois mes armes peuvent me servir de planeur.
-Parfait allez équipe toi et on part, s’écria-t-elle, Et surtout pas de mauvais coup, rajouta Takea en lui plaçant un harpon à la gorge.
-Parfait! Répondit Phantoka en préparant toutes ses affaires.
Ils finirent finalement par s’éclipser par la voie des airs vers Ko-Koro où Takea souhaitait sauver son Matoran.
À suivre…
- Mad MaxNouveau Fan
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Mer 28 Aoû 2013, 22:31
Bonjour à tous. Comme l'histoire n'a pas de nom et que la seule idée que j'ai c'est deux mots anglais, j'aimerais avoir vos propositions. Parce que je préférerais un bon titre francophone, plutôt qu'un titre anglais qui sonne bien.
Oh et j'oubliais, le chapitre 10:
Et également n'hésiter pas à laisser un avis. Si vous désirer que je me pende je peux pas savoir tant que vous ne me le dîtes pas non plus .
Oh et j'oubliais, le chapitre 10:
- Spoiler:
Takea et Phantoka arrivèrent de nuit, en seulement quelques heures, à Ko-Koro grâce au planeur du Mangai de l’air. Une fois à terre, la Mangai reprit les armes de son otage pour éviter des complications.
-Avoir su je l’aurais utilisé lors de ta capture, s’émerveilla-t-elle devant l’engin.
Phantoka resta de marbre et se laissa guider par Takea.
-Ils n’ont pas fixé de rendez-vous dans le village. Comment veulent-ils que je les retrouve? Se demanda-t-elle.
Les deux Mangai avancèrent dans le village. Takea essayait d’avancer à pas feutrer, mais Phantoka s’arrangeait pour faire énormément de bruit.
-Arrête où je te coupe une jambe, souffla-t-elle.
-Bah il faut bien qu’ils nous trouvent non? Rétorqua Phantoka en faisant craquer la neige, glacé par le temps glacial de la nuit, de plus belle.
Takea se soumit à cette idée. Elle laissa donc son prisonnier agir comme bon lui semblait. Elle se prit même à l’imiter à l’occasion. Au bout de plusieurs minutes de marche au milieu des ruines, ils virent enfin quelqu’un. Un Matoran d’eau qui, lorsqu’il les aperçu, courut à leur rencontre.
-Mangai Takea! Mangai Takea! Cria-t-il de bonheur, Je savais que vous viendriez nous sauver!
-Oui je suis bien là, répondit-elle au petit être, Où se cachent-ils?
-Je vous y mène Mangai. Depuis plusieurs jours maintenant qu’ils nous obligent à faire de multiple tâche pour eux.
Le Matoran les conduisit à une demeure qui tenait encore debout, malgré son manque évident d’entretien. Les quatre murs étaient en place, ce qui était une cachette parfaite ou trop évidente dépendamment des conditions.
Takea s’approcha à de quelques mètres en poussant Phantoka devant elle avant de crier :
-Me voici, avec Phantoka, maintenant libéré Faxga.
Seul Ramale sortit de la maison après avoir entendu la Mangai. Il ne voulait pas qu’elle aperçoive les deux autres.
-Très bien, maintenant libéré-le, demanda-t-il aussitôt.
-Faxga d’abord! Lui imposa la Mangai.
Ramale rentra dans la cabane et ressorti en compagnie du Matoran. Il n’avait visiblement pas été maltraité, son corps était en parfait état, aucune égratignure ou écorchure n’était visible.
-Envoyez le moi! Ordonna Takea.
-Pas question, répondit Ramale, Vous devez d’abord relâcher Phantoka.
Takea fusilla du regard le Matoran. Celui-ci ne broncha pas et retint Faxga près de lui. Il voulait absolument éviter une traitrise de la part de la Mangai.
Pendant ce temps, Onega était sortit de la cabane par une brèche qu’ils avaient pratiqué dans le mur pour qu’il puisse s’éclipser et se placer derrière la Mangai, si elle n’obtempérait pas. Ce qui était entrain d’arrivée.
Il se faufila jusque derrière elle sans le moindre bruit. De la façon dont il était placé, il pouvait très bien voir Ramale retenir tant bien que mal Faxga qui tentait de s’échapper. Il était également à seulement quatre ou cinq pas de Takea. Ce qui lui permettrait de réagir rapidement en cas de problème.
Le plan était simple. Si Takea coopérait, il n’aurait pas à se montrer, ce qu’il préférait. Si à l’inverse elle tentait de faire quelque chose de stupide, il avait pour mandat de l’arrêter. Également si les choses n’évoluaient pas assez vite ou que Ramale avait un doute, il n’avait qu’à faire un signe en sa direction pour qu’il passe à l’attaque.
-Et pourquoi ça? Continua la Mangai, Tu pourrais très bien l’abattre après que j’aille libérer ce criminelle.
-Phantoka n’est pas un criminelle, s’emporta Ramale, Vous en êtes une. Voilà pourquoi je n’ai pas confiance en vous. Je ne laisserai votre Matoran que si Phantoka est relâché avant.
-C’est malheureux, mais je n’ai pas non plus confiance en toi petit. Vois-tu je vous combats depuis mille ans. Chaque affrontement à failli me tuer, pourquoi cette situation devrait être différente?
-Parce que je donne ma parole, jura Ramale.
-Comme si ta parole valait quelque chose à mes yeux, répliqua-t-elle.
Ramale fit signe à Onega. Il hésita un instant, puis voyant que Ramale insistait, il se décida. Takea fut plus rapide. Elle empoigna un de ses harpons et, de son autre main, elle attrapa Phantoka. Le harpon se glissa sous son menton. En se tournant elle cira en direction de Onega :
-Ne bouge plus! Figure toi que votre signal était plutôt évident.
Elle l’avait vu maintenant. Son regard s’était fiché dans celui d’Onega et elle ne le quittait plus. Son peuple était fini. Deux Mangai l’avaient aperçu. Cependant il était trop tard pour reculer. Il s’en tint au plan et pointa son lanceur Zamor vers Takea.
-Relâche-le, ordonna-t-il.
-Non, répliqua-t-elle en se cachant derrière Phantoka, Lâche tes armes où il meurt.
Le Mangai de terre hésita. Il regarda Ramale pour avoir une confirmation, mais celui-ci avait disparu. Il tourna vivement la tête vers Takea pour éviter qu’elle ne suive son regard, mais trop tard. Elle se tourna et aperçu Ramale qui fonçait droit sur elle. Onega se rattrapa et tassa le harpon pour libérer Phantoka. La Mangai fut surprise, tenta de se reprendre, mais elle ne put que se retrouver coincé entre Ramale et Onega. Phantoka était également prêt à la neutraliser.
-Vous avez gagnés, dit-elle, maintenant relâcher mon Matoran et laissez nous partir.
-Pas question, rétorqua Onega, tu m’as vue, tu meurs.
Elle le défia du regard. Elle voulait le provoquer. Avant que les esprits ne s’enflamment trop Phantoka intervint.
-Takea range tes armes. Ramale a donné sa parole et elle sera respecter. Mangai de terre, je comprends que vous désirez protégés votre peuple, mais le temps de la cachette est révolu. Une dernière chose ma chère, rajouta-t-il à l’intention de la Mangai, mes armes.
Elle les lui rendit, pendant que Ramale partit chercher Faxga. Quand les deux êtres de l’eau furent ensemble, Phantoka prit la parole :
-Il est encore temps de changer de camp Takea. Après tout, comment vas-tu expliquer ta trahison aux autres?
Elle ne répondit pas. Laissant Phantoka en plan.
-Très bien, fait comme tu voudras, reprit le Mangai de l’air, Nous rentrons, il serait aimable de ne pas nous attaqué.
-Vous me laissez en vie et vous m’avez rendu mon Matoran. Je vais vous laissez partir, pour cette fois, répondit-elle à contrecoeur.
Les quatre compères disparurent dans la nuit laissant Takea aux prises avec ses ennuis.
À suivre…
Et également n'hésiter pas à laisser un avis. Si vous désirer que je me pende je peux pas savoir tant que vous ne me le dîtes pas non plus .
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Jeu 29 Aoû 2013, 01:59
Haaaa, j'aime me faire quatre chapitres d'un coup x)
Bon bah, sympathique.
Pour ce qui est du nom de la fiction... Donne déjà ton nom anglophone pour voir ce qu'on peut faire avec.
Sinon, j'ai pas trop de (bonnes) idées... l'Empire de Glace par ex' mais c'est mauvais.
Bon bah, sympathique.
Pour ce qui est du nom de la fiction... Donne déjà ton nom anglophone pour voir ce qu'on peut faire avec.
Sinon, j'ai pas trop de (bonnes) idées... l'Empire de Glace par ex' mais c'est mauvais.
- Mad MaxNouveau Fan
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Jeu 29 Aoû 2013, 22:28
Ben j'avais pensé à Fire Legend, sauf que c'est peu original et anglophone et la traduction française sonne pas beaucoup mieux mot pour mot: la légende du feu
Chapitre 11:
Chapitre 11:
- Spoiler:
Takea se retira dans sa cabane à Ko-Koro. Elle était perdue. Il lui était tout simplement impossible que Kardako la laisse en vie après cette traitrise. Elle attendrait sa visite. Elle sortit à la place où les rares villageois du village étaient encore présents. Ils étaient tous là. Les dix Matoran restant, donc Faxga, attendait ses ordres. Elle était leur chef, leur protecteur. Elle se devait de les rassurer, de leur dire que Ko-Metru serait toujours avec eux que le chef leur donnerait les fonds pour rebâtir Ko-Koro. Elle n’en avait tout simplement pas la force. Pourtant, elle devait diriger et agir. Tout ces Matoran étaient tellement défaits, tellement perdus et tellement désespéré.
-Faxga!
-Oui madame.
-Je veux que chaque maison en ruine à proximité serve. Abattée les murs et faites une palissade autour de la partie habiter du village. Chaques villageois devra être équipés d’une arme à distance.
-Nous nous préparons à leur retour? Demanda-t-il.
-À une attaque, répondit-elle évasive.
Faxga resta surpris, mais supervisa quand même l’opération. Tout les Matoran de Ko-Koro s’activèrent et, malgré leur petit nombre, ne prirent que la journée pour fabriquer la palissade. Un mur de glace de deux mètres de haut par endroit entourait les maisons encore intacte de Ko-Koro. Un petit muret permettait au Matoran de voir par-dessus le mur. Takea s’attendait vraiment au pire.***
Les deux Mangai et leur Matoran arrivèrent au camp de Phantoka et Ramale. Ils firent une légère halte avant que les êtres de terre leur disent qu’ils devaient retourner rapidement à leur village.
-Vous pouvez rester un peu, dit Ramale à Rua et Onega.
-Nous sommes désolé, s’excusa Rua, Mais nous avons un village à ordonner et protéger.
-Si jamais il y a quoi que se soit, rajouta Phantoka, J’irai vous aider.
-J’y compte bien, répondu Onega, Sinon je n’aurais pas aidé Ramale.
Ramale fut offusquer par les paroles du Mangai, mais il ne s’en plaignit pas. Phantoka lui lança un regard assez autoritaire.
Une fois les adieux faits, les deux compères s’installèrent dans leur camp. Ce camp était positionné dans un arbre mort perdu aux milieux d’une plaine de neige. C’était l’endroit le plus sécuritaire pour eux. Au sommet de l’arbre, il y avait le gros de leur affaire et une table en bois. Phantoka et Ramale s’assirent sur les chaises pour souffler enfin, après toutes les péripéties encourus.
-Pourquoi Onega réagit-il comme ça? Demanda Ramale à Phantoka.
-Parce qu’il a un village à défendre. Il est intelligent et il a compris qu’il ne pouvait pas y arriver seul.
-D’accord mais il aurait pu.
-Ça suffit Ramale. Onega n’est pas mon frère. Les Toa n’existent plus. La fraternité entre Mangai n’existe pas et n’existera jamais. Sinon jamais Pomanas et Takea n’auraient tenté de me tuer.
-C’ est pourtant ce qu’à fait Kopaka.
-C’est différend. Ce Toa a perdu la raison et…
-Les Toa ont été incapable de s’unir pour le battre. Je sais. Tahu et lui se sont battus ensemble trop longtemps et les autres furent obligés de choisir un camp.
-Ce n’est pas exactement ça, mais c’est valable comme explication.
-Explique moi d’abord? Demanda Ramale énervé.
-Toi explique moi pourquoi tu ne suis pas mes ordres les plus simples, répliqua Phantoka glacialement.
Ramale se figea. Il savait qu’il avait fait une erreur, mais il ne voulait que bien faire.
-Je… J’ai trouvé…
-Tu as trouvé quoi? Demanda le Mangai.
-Une carte, compléta-t-il.
-Une carte, pas de Mangai de feu, ou d’indice, mais tu n’as toujours pas répondu à ma question.
-La carte est un indice, s’énerva à nouveau Ramale, Elle indique plusieurs emplacements de temples perdus et oubliés!
-Comme? Demanda Phantoka toujours aussi glacial.
-Olmak-Suna.
-Montre-moi cette carte, ordonna le Mangai.
Ramale s’exécuta et le Mangai pu admirer les emplacements des temples caché de Mata Nui. Il observa attentivement la carte à la recherche d’un temple avec un nom plus significatif. Kini-Kata qu’ils avaient déjà observé n’était plus une priorité et tout les autres semblaient aussi peu significatif que Ko-Koro. À l’exception d’Olmak-Suna.
-Très bien. Nous rentrons à Le-Koro et tu ne m’accompagneras pas dans ma prochaine mission.
Ramale reçu cette pique comme une gifle. Il sentit trahi, frustré et pas apprécier à sa juste valeur. C’était honteux pour lui que d’être coupé d’un aussi grand privilège. C’était lui qui transportait les affaires du Mangai, lui qui recensait tous ses exploits et lui qui avait trouvé la carte.
-C’est quand même moi qui est trouvé cette carte! Tenta-t-il pour rester en poste avec lui.
-Oui, mais tu as également entrainé ma capture, la découverte du peuple de la terre et le retardement de notre mission, rétorqua Phantoka.
-Ils ont le même but que nous, ce sont nos alliés…
-Ce sont nos alliés uniquement parce qu’ils ont été découvert et qu’ils se battent pour la même cause que nous. Mais Onega n’aurait pas hésité à te tuer ou me tuer si jamais il aurait pu pour préserver le secret de son peuple. Ils étaient peut-être mieux cachés sous terre.
Ramale était vaincu. Phantoka n’avait pas tort. Sans cette sorti, jamais Rua et Onega n’auraient été en danger. Jamais Phantoka n’aurait visité la prison de Ko-Metru et jamais il n’aurait eu à enlever Faxga. Si tout ça ne s’était pas produit, peut-être que le Mangai de feu serait déjà présent. Peut-être que les éléments recommencerait à cohabiter.
Ramale ramassa ses affaires ainsi que celles de son Mangai. Après une nuit pour se reposer de leur aventure, le Mangai et son Matoran rentrèrent à la maison.***Barrako et Pomanas arrivèrent à Ko-Koro deux jours après le départ de leur ennemi. Takea était prête. Elle pensait que Kardako se serait pointé également, mais juste Pomanas, cela lui facilitait les choses. Elle savait qu’elle pouvait le vaincre.
-Mangai Takea, cria Barrako pour être entendu, Ne faites rien de stupide. Vous ne voudriez pas que votre peuple soit exterminé comme le fut le feu peuple du feu. Nous sommes ici pour vous amener devant Kardako, il a une mission pour vous.
-Je sais que je vais être exécutée si je me rends. Alors je reste ici.
-Takea, objecta Pomanas, Kardako ne te tuera pas si tu coopères. Il a une mission très importante pour toi. D’ailleurs, nous retenons tout tes Matoran, sauf ceux qui sont ici à Ko-Metru. Tu ne voudrais pas les voir mourir.
Takea hésita. Sois elle se battait et elle sacrifiait des milliers de Matoran en représailles pour finalement mourir, sois elle se rendait et mourrait, mais laissait son peuple survivre. Son devoir de Mangai ne lui laissa pas le choix.
-Je me rends, se résigna-t-elle, Matoran nous abandonnons Ko-Koro à son sort et vous allez vivre à Ko-Metru.
À suivre…
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Ven 30 Aoû 2013, 03:25
Je vois pour le nom. Bah écoute, pas trop original je trouve, mais j'ai pas plus d'idée que ça x)
Sinon, j'attends encore et toujours la suite ^^
Sinon, j'attends encore et toujours la suite ^^
- Mad MaxNouveau Fan
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Ven 30 Aoû 2013, 14:18
J'y travail, mais comme la saison scolaire commence et que ça risque d'être une de mes plus occupés, le rythme de production des chapitres devrait diminuer drastiquement. Je n'abandonnerai pas le récit toutefois :). Je ferai de mon mieux pour poster un chapitre semaine.
- Mad MaxNouveau Fan
Re: [Fan-Fiction] Test Fan fiction de BIONICLE
Dim 01 Sep 2013, 02:35
Donc pendant que j'occupe mes méninges à trouver un titre, j'arrive quand même à écrire un chapitre.
Chapitre 12:
Chapitre 12:
- Spoiler:
La Mangai de l’eau attendait de l’autre côté des portes de la salle d’audience. Pieds et mains liés et flanquée de deux gardes Po-Matoran, elle songeait à ses Matoran. Pour qui la prendrait-elle maintenant? Elle avait été coupée du monde depuis son arrestation par Pomanas. Elle ignorait comment était traité ses Matoran. Où encore ce qui avait été divulgué. Les portes s’ouvrirent sur la salle du trône. La salle blanche était bondée. Des Matoran blancs et bruns se tenaient tout le long de la salle et sur le trône se trouvait le Mangai de glace.
Takea traversait la salle d’audience du palais de Kopoka d’une toute autre façon qu’à l’accoutumé. Les Matoran les plus influents de Ko-Metru s’étaient regroupé ici pour la voir condamnée à mort. Elle évita de croiser leur regard. La tête haute et au milieu des huées, elle avança vers Kardako. Assis sur son trône de glace, celui-ci la toisait de haut avec son regard glacial. Le Turaga n’était pas là, comme à son habitude. Très peu de personne savait qu’il existait.
Elle s’arrêta à quelque pas du trône, mis un genou au sol, baissa la tête et attendit la sentence de Kardako. Le silence semblait peser lourd sur ses épaules, plus le temps s’écoulait, plus elle voulait disparaître, plus elle voulait la tête de Phantoka. Kardako se leva, mettant fin au tumulte des Matoran, pour proclamer sa sentence :
-Mangai Takea, vous êtes graciée.
Les Matoran reprirent de plus belle leur huée. Kardako tentait de reprendre, mais les Matoran continuaient de crier leur désaccord. Plusieurs tentèrent quelques pas vers Takea, histoire de se faire justice eux-mêmes. La situation dégénérait, forçant Kardako à agir.
-Taisez-vous! Hurla-t-il en sortant sa hache.
Tout les Matoran se turent. Ceux qui s’étaient avancés se reculèrent. Kardako les fusilla du regard et chaque Matoran qu’il regardait baissait la tête.
-Bon, continua-t-il, Mangai Takea je vous gracie, car votre intervention nous a été forte utile.
Forte utile? Takea n’en revenait pas. Comment ce fiasco pouvait lui avoir rapporté quoi que se soit.
-Nos espions vous ont suivis et ont présentement découvert l’emplacement d’Onu-Koro en suivant le Mangai de terre.
De nouveau murmure s’élevèrent dans la salle à la mention de l’existence du peuple de terre. Les Matoran semblaient affolés, craintif.
-C’est pourquoi, continua-t-il, J’ai décidé que vous iriez là-bas vous vengez de ceux qui ont capturé votre Matoran.
-Et Phantoka? Se permit-elle de demander.
-Il n’est pas encore à Le-Koro.
Puis il se leva et dissout l’assemblé. Ensuite il ordonna au Matoran qui gardait Takea de la libérer. Puis il les congédia. Il alla ensuite derrière son trône et revint avec les harpons de la Mangai.
-Je ne te remercierai jamais assez, dit-il, C’est pourquoi je t’offre de pouvoir de venger d’eux immédiatement.
-Tu aurais au moins pu me le dire, se choqua-t-elle.
-Tu as agis plus vite que nos pensées, répondit le Mangai, Quand tu as libéré Phantoka, j’ai tout de suite dépêché mes espions à Ko-Koro.
-Comment ont-ils pu nous suivre?
-Ils n’ont pas pu, mais comme ils sont rapides, ils ont pu arriver au village quand vous laissiez partir nos ennemis.
Takea garda ses mots et se dirigea vers la sortie.
-Qui a-t-il? Demanda Kardako.
Takea s’arrêta juste avant les portes, puis elle se retourna et lança :
-Je pars me venger, dit-elle sans autre détour, puis elle franchi la porte.***
Onega et Rua étaient rentrés à Onu-Koro depuis plusieurs jours maintenant. Pendant leur séjour, il s’était acharné à préparer les défenses d’Onu-Koro en cas d’attaque à cause de l’insistance du Mangai. Rua, lui, aurait préféré tenter de trouver la carte, avec la copie que Ramale lui avait fourni, pendant qu’il retenait Faxga captif.
Alors qu’il s’affairait à l’étude de la carte, une des portes explosa violemment. Les Matoran présents s’enfuyaient, mais quelqu’un les empêchait. À cause de la fumé, Rua ne put distinguer de qui il s’agissait, mais en voyant les corps de ses camarades, il se dépêcha d’aller chercher Onega.
Celui-ci travaillait à la fortification d’une des entrés sud-ouest du village. Rua devait passer dans la cohue pour s’y rendre. Les Matoran courraient en tous sens, tentant d’éviter la mort. Rua s’y précipita. Il passa au travers de la fumée en espérant que cela le cacherait de l’inconnu.
Grave erreur. Il se frappa directement contre la créature ou plutôt la Mangai Takea, réalisa-t-il avec horreur. Celle-ci tourna la tête vers lui et frappa. Il évita l’assaut et tenta de s’éclipser. Il n’était malheureusement pas assez vite pour combattre un Mangai. Elle réussi à la faire tomber. Un autre Matoran chuta sur lui, lui bloquant tout mouvement. Takea arriva devant eux et frappa. Le Matoran eu un dernier soubresaut avant de rendre l’âme et Takea s’éloigna.
Rua réussi finalement à se dégager. Le bruit attira l’attention de la Mangai. Elle tourna, de nouveau les yeux vers lui. Cette fois, il sortit ses armes. Il était prêt à se battre. Il n’en eu pas besoin. Une sphère Zamor vint frapper Takea en pleine poitrine. Le chic la fit tomber plusieurs mètres plus loin. C’était Onega. En rechargeant, il dit à Rua :
-Fait sortir les Matoran.
Rua ne se le fit pas dirent deux fois et il s’en alla tenter de guider tout les Matoran vers la sortie secrète du village.
Onega sortit son épée et s’avança dans la fumée à la recherche de Takea. Il avait pris une boule rapidement. Ignorant qui venait l’attaqué et ayant pour idéologie de laisser les Rahi vivre en paix, le Mangai n’avait pas pris une sphère meurtrière. Cependant la seconde serait mortelle.
Takea se releva péniblement. Quand elle réalisa se qui s’était passé, il était trop tard. L’épée d’Onega était déjà placée devant son cou. La fumée se dissipa tranquillement, dévoilant les yeux du Mangai juste en face d’elle, quoi qu’un peu plus bas. Elle n’était pas accotée à un mur, donc elle pouvait se reculer, mais elle ne bougea pas, préférant donner l’illusion à Onega qu’il avait l’avantage.
-Rends-toi, dit-il.
-De toute façon tu ne me laisseras pas partir, dit-elle en se repoussant l’épée du Mangai.
Onega la laissa faire. Il ne la quittait pas des yeux. Les deux ennemis se toisèrent sans jamais démontrer de la faiblesse. Takea se mit à avancer en cercle et Onega suivi son mouvement. Les deux Mangai se défiaient et s’examinaient. Puis Onega attaqua. Takea repoussa et contre attaqua. Onega évita et se plaça à plusieurs pas de Takea.
Takea fonçait vers le Mangai de terre avec la ferme intention de le tuer. Onega visa. Takea s’en rendit compte, mais joua le jeu. Onega tira et la Mangai exécuta un saut périlleux avant pour l’éviter. Elle retomba directement devant lui. Elle attaqua. En quelques coups, elle réussit à déstabiliser Onega. Il tenta tant bien que mal de résister, mais la Mangai avait une plus grande portée que lui.
Il tenta de se dégager pour retourner vers sa réserve de sphère Zamor pour en prendre une autre. Takea le rattrapa et le plaqua au sol. Il évita ensuite ses harpons, se releva et contre attaqua. Takea bloqua et fit voler son épée de l’autre côté de la pièce.
Onega ne s’acharna pas et courant vers sa réserve. Takea le poursuivit, mais ne put le bloquer. Il arriva enfin devant la salle. Il fut frappé par derrière et rentra directement dans la porte. Celle-ci céda sous son poids et il se retrouva au sol tout près des sphères.
La Mangai rentra dans la pièce quand le Mangai de terre chargeait une nouvelle sphère.
À suivre…
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