[Fan-Fiction] Le Journal de Kurion

Je m'appelle Kurion. Je viens d'une petite planète éloignée dans le 51°
niveau de cette galaxie ci. Nous sommes un peuple d'ouvrier, nous
alimentons en machines touts les autres peuples de ce secteur ci du
cosmos. Nous vivons dans ce que les voyageurs appellent communément,
l'Après Vortex. Nous ne faisons ni partie des neuf planètes qui
composent pour nous et la plupart des peuples l'Univers Vortexiel. Nous
l'appelons ainsi mais en réalité, il ne possède pas de nom clairement
défini, les appellations changeant selon les endroits. Le cosmos autour
de nous se compose de dizaines de planètes, plus ou moins avancés
technologiquement, plus ou moins accessibles. Nous ne possédons ni la
technologie, ni les moyens de locomotion de l'Univers Vortexiel,
véritable ilot de prospérité.Les différentes planètes ne possèdent pas
d'autorité commune, les royaumes et les états ne dépassant jamais le
stade de leur système solaire. A vrai dire, la seule véritable unité
dont j'eus jamais entendu parler est un grand empire, a plusieurs
dizaines de millions d'années lumières, a l'extrémité de la
galaxie.Notre peuple n'a comme beaucoup des autres, jamais réellement
tenté d'explorer le cosmos tout entier .Seuls quelques énergumènes dans
toute notre histoire ont osé tenter l'aventure. A leur retour, ils nous
ont parlés de grands espaces vide, sans aucune planète a des dizaines
de milliards de Kios de distance. Ce sont ces vagabonds qui nous ont
permis de découvrir l'existence du monde autour de nous, qui se
limitait jusqu'alors au quelques planètes étrangères avec qui nous
faisions commerce.Ils nous ont aussi parlé d'un univers (pas au sens de
dimension, au sens de groupement de planètes), qui serait d'après eux,
le secteur le plus prospère que l'on puisse trouver. Ils nous ont
parlés d'être pouvant voyager instantanément d'un endroit a l'autre de
leur univers grâce a une entité, qui serait en réalité cette immense
vortex, dont la lumière le rend visible jusqu'ici, a plusieurs milliers
d'années lumières de son emplacement exact.

Aujourd'hui, un Voyageur est arrivé dans notre village.Dans l'ensemble, les gens se méfient de ces personnes, ils ne les connaissent pas, ne leurs font pas confiance.Nous, ne leurs faisons pas confiances. Ils ne comprennent pas ce qui pousse ces gens a voyager, a découvrir des mondes, au lieu de rester tranquillement chez eux. Ils se sentent différents d'eux. Ce soir, autour du feu, le Voyageur doit nous raconter ce qu'il a vu durant ses voyages. C'est la règle ici. Ils nous informent , et ont le droit a l'asile, rien de plus. Chacun chez soi, et tout le monde s'en porte mieux. Je reviens de la place centrale. J'ai été écouté le Voyageur. Il nous a parlé de sa contrée d'origine, une planète dotée de deux grandes mégapoles dans l'Univers Vortexiel. L'une est une immense tour, grande jusqu'à toucher les nuages, l'autre prend la forme d'un énorme dôme, qui recouvrirait toute la surface de l'ile sur laquelle elle prend place, et qui serait surmonté de centaines, voir de milliers (a l'entendre dire) de maisons empilées les unes sur les autres , sans la
moindre fondation, flottant dans les airs. Je n'en croyais pas mes oreilles en l'entendant! Les habitants de cette planète sont vraiment étranges. On dirait qu'il n'ont rien trouvé de mieux a faire que de rivaliser d'extravagances, pour impressionner leurs visiteurs. Ici, personne ne songerait jamais a de telles excentricités. Pourquoi construire une tour? Pour épater les quelques personnes qui passent ici toutes les décennies? Mais le Voyageur prétend que son Univers regorge de gens comme lui. Quelle folie! Leurs villes doivent être bien dépeuplés si tout leurs habitants sont occupé a voyager! Qui travaille pendant qu'ils voyagent? Ces gens sont vraiment étranges.

Plus tard dans la soirée, le Voyageur nous a aussi parlé d'un robot géant, une légende qui aurait été apportée par un peuple ayant rejoint les leurs dans leur univers, a ce qu'il en parait. Personne ici n'en croit un mot. Tout le monde pense la même chose: ce Voyageur doit être a l'image de tout les autres, totalement fou...