[Fan-Fiction] Tyrranidan

A qui parle tu?

Toa Protodermis a écrit:EDIT: Au fait, je trouve la fic géniale, comme les premières avec le premier toa (oublié son nom ), etc

Merci beaucoup !!

et merci du conseil Teridax the new UM (t'aurais pas pu faire un nom plus court ?!) XD

Bein non !

Mais stop au HS et la suite!

Bah la voici !



Cela faisait maintenant 3 jours que je forais avec les autres matorans. Aucun tyrranidan n'avait été repéré autour de la zone de forage. La carrière s'étendait maintenant sur plusieurs centaines de mètres².

Vers 20 heures, ma foreuse s'arrêta de fonctionner.

« Vas au centre de réparations, me conseilla mon chef de chantier.
-Euh, d'accord.
-Comment t'as fait pour la casser ?
-J'en sais rien, elle s'est
arrêtée toute seule !
-Mouais ! Bon, allez, vas-y, dépêches-toi ! »

J'accourus au bâtiment où s'effectuaient les réparations des différentes machines qui servaient à forer le terrilium.

Le matoran chargé des réparations était déjà surchargé. Il y avait 5 foreuse qui attendaient d'être réparées, et apparemment, en réparer une demandait plusieurs heures.

« Posez votre foreuse avec les autres, et revenez demain.
-euh, ok.
-Et restez ici attendre
quelques heures.
-pourquoi ?
-Si vous ne voulez pas
mourir. »

Je ne comprenais âs tout de suite. Mais à peine eus-je le temps de sortir du bâtiment que un mur de la carrière explosa en plusieurs milliers de morceaux.

Des centaines de tyrranidans sortirent de la brèche créée. Les tourelles automatiques matorans firent feu immédiatement. Déjà, des centaines de tyrranidans jonchaient le sol, morts. Ils se mirent à couvert, attendant quelque chose. Je regardais du côté des matorans; ceux-ci s'étaient tous mis à couvert, et maintenant ils couraient versz les centres d'armement supérieur.

Quant à moi, je sortis une arme prototype que j'avais récupéré sur le cadavre d'un matoran. Un Lazer-Launcher.

Je courus vers le front de
la bataille, et me mis à couvert dans un affaissement dans le sol.
J'envoyais un grenade de fumée, puis me précipitai pour me cacher
derrière un rocher.

Les tyrranidans ne bougèrent pas. Pourquoi ? Je n'en savais rien. Mais maintenant, quand je prends du recul, tout est clair. Ils attendaient tou simplement qu'une créature capable de tous nous tuer arrive. Ils étaient juste censés
nous retenir ici.

Le mur entier explosa cette fois-ci. Les éclats, qui faisaient parfois plusieurs mètres de diamètres, écrasèrent des centaines de tyrranidans. Une créature énorme arriva. Celle-ci devait mesurait plus de trente mètres de haut.

Elle s'arrêta d'avancer: elle était retenue par des sortes de tentacules. Un trou se forma dans son abdomen, et des milliers de boules vertes en sortirent... des oeufs !!!

Ceux-ci éclorent tous en même temps, et les larves qui en sortirent se dirigèrent tous en même temps sur nous.

« Faites feu immédiatement ! Elles ne doivent pas nous atteindre ! »

La voix du chef de la résistance fit un écho dans la cavité, avant que tous les matorans ne chargent leurs armes et ne tirent sur les larves. Elles éclaitaient par centaines, peut-être même plus Mais leur nombre était trop élevé. En à peine 30 secondes, elles commençaient à dévorer des dizaines de matorans.

L'une d'elle sauta sur la tête d'un matoran juste à côté de moi. Il fut décapité, et la larve se précipita sur moi. Je lui tirais dessus, et elle éclata.

Une énorme explosion eut lieu derrière moi. Une énorme boule bleue était à la place du lieu qui avait explosé: la zone de stockage du terrilium.

Cette boule de divisa en milliers de plus petites boules... de l'acide vivant !

La légion acide se précipita sur les soldats matorans. Mais comment pouvait-elle savoir où les soldats étaient placés? Et comment pouvait-elle se déplacer ?

Déjà, des centaines de matorans étaient morts. Les balles n'étaient pas efficaces contre l'acide. C'était même plutot l'inverse !

Un corps acide sauta sur ma jambe, qui se dissout. Je criais. La douleur était insoutenable.

Je repensais aux paroles de l'ouvrier qui s'occupait des foreuses.

« Si tu ne veux pas mourir... »

Je pensais que j'aurais dû l'écouter. Mais en dissolvant ma jambe, ce corps acide avait changé le destin de la guerre.