[fan-fiction] La rencontre des mondes

Nous sommes en 2500 pour vous, pour nous, en 3600, je suppose que vous devait être à une époque lointaine du moment ou cela se passera, je vais donc, pour vous, raconter ce qui c'est passé. En 1005, une météore heurte notre planète, emportant une équipe de 6 Toas avec elle, puis continue sa route.
Traversant les mondes, elle heurte une deuzième planète sur là quelle elle va resté bloqué, le jours ou cela arriva, Teridax ne se controla plus, il a quitté son corp, ce corp, à explosés sur notre planète de l'océan infini, en épparpillant les îles et en en créant des nouvelles, peut survécurent, les Grands Êtres (et oui, fallait bien trouver une solution) passants par là, ne reconnurent pas ce monde ravagé, mais pour aider les habitants ils leurs donnèrent une semence pour les hommes, et la féconditée pour les femmes, les femmes plantaient des petites graines, qu'elles extirpaient de leurs corps, dans une terre aride, puis les mâle faisait explosaient leur semence au dessus. En quelques mois la planète fut repeuplée, et les grands êtres nous enlevèrent cette substance miraculeuse.
C'est depuis ce jours, que bizarrement, les 2 mondes se rapprochent. Après 50 ans d'attente, les 2 univers se percutèrent. Depuis se jours, les humains et les "bionicle" comme ils nous appelle, ont tirés beaucoup de profits des talents de l'autre, alors que nous nous émerveillons devant leur technologie plus qu'avancée, eux s'émerveillaient devant notre symbiose avec notre nature. Puis, quand les humains pensèrent qu'ils n'avaient plus rien à tirer de nous, commença la première guerre universel.
Nous pensions que les pouvoirs de nos Toas pouvait tous les massacrés, pourtant se fut nous qui furent exterminés, en ce jour sombre ou je vous parle, plus aucun Toa ne reste, sauf les Météor, les porteurs des kanohi des Toas emportés par la comète et qui maîtrise tous les pouvoirs, et les Kaoméht, la race matoran, comme moi, qui ont était entrainé pour devenir plus résistants et plus grands que les anciens, nous maîtrisons l'élément qui est rattaché a notre couleur, moins bien que les Toa, serte, mais cette maîtrise nous aide grandement dans nos petites attaque terrorriste.

Ha oui, j'allais oublier, nous vivons en tribut nomade de 6 minimum, et le 1° jour du mois de janvier, nous fêtons le jours ou les grands êtres nous avaient donné la semence et la fécondité en un grand pèlerinage, jusqu'à la citée que les hommes qualifie de maudite : Metru-Nui.

(pardonner moi pour cette introduction très courte, mais je suis qu'un simple débutant ne pensant jamais pouvoir atteindre les grands maîtres de l'écriture fan-fictive)

Mouais ... c'est bizzare.... Je comprend pas tout


J'attend la suite

d'accord j'édite. pour la rencontre des mondes, sa me troter trop dans la tête pour que je face rien, alors je poste (et j'ai conscience que se soit farfelu, et que pour certain sa peu paraître bizard, mais vu qu'on parle de "voyage entre les mondes" depuis pas mal de temps, au tant y aller à fond dedans).
Bon aller, je met la suite.



- Gradme ?

- Oui quoi ?

- Pourquoi fait on ça ?
- Parce que c'est un ordre de la direction .
- Et pourquoi doit on tuer tant d'innocent, je croyais que la direc...
- Chut, tu veux vraiment être repérer ?
- Non, mais tout de même, placer une protobombe ici c'est ... inhumain !
- Dit plutôt que c'est humain, et puis je te le répète, c'est un ordre de la direction.
- Oui ... mais tout ces enfants, ils n'y sont pou ..

Le Kaoméht disant cela s'arrêta net dans se phrase, avait il mal entendu ? Une sirène venait de retentir, à 1 km environs ...

- Cours Gradme ! cours ! On a été repéré
- Mais qu'est ce que tu dis on a pas...

Une petite balle fluorescente frola Gradme et lui explosa à la figure.

- Gradme ? Gradme tu est là ?
- C'est bon Exodiom, je suis là. Ces petites bestioles ne savent pas encore reconnaître une projection astral d'un Kaomeht.
- Bien. Mais maintenant cours ! je te couvre !

Exodiom pris un objet dans son dos qu'il attacha à son bras, il appuya sur un bouton et une grande croix se terminant en fourche à chaque pique apparus.

- Prenait ça !

Un pic apparu à son bras droit, il le brandit derrière lui, puis grace à un infime mouvement du doit, il actionna l'arme, une cérie de boules de feu frappèrent les gardes les poursuivant, au loin, on vit une explosion de couleur bleutée, s'en était finis de l'école

- On a réussi Gradme, des centaines d'innocent sont mort grace à nous

Haleta Exodiom, il attendit la remarque sarcastique de son ami, mais rien ne vint, le bionicle avança de quelques pat.

- Gradme ? Gradme !

Le Kaoméht s'agenouilla en pleurs devant un petit tas de cendre, à la place ou aurai du se Trouvait Gradme. il Frappa plusieurs fois le sol, y faisant apparaître des étincelles.

- Gradmeeeeeee !

Un second bionicle vint le rejoindre et le secoua par l'épaule

- Vient, il faut partir, dit toi qu'il est mort de la manière la plus honorable possible.
- Tait toi ! il n'est pas mort, je suis sur qu'il me fait encore un farce, n'est ce pas Gradme ?
- je t'ai dit qu'il était mort, c'est évident, au lieu de t'appitoyer tu devrai partir ! À moi que tu ne veuille subir son sors !
- Soude la ! Soude la !

En disant cela, Exodiom envoya son point dans la figure de celui qui était pencher sur lui, avec adresse, l'individu évita le coup et attrapa le bras, puis, d'un mouvement vif, il cogna doucement près de la lumière qui montrait la vie d'un bionicle. Exodiom s'évanouit. Un connaisseur aurait put dire que la voit du bionicle était chargé de chagrin.

- Tssss, encore un combattant de moins

Lentement, il se leva, tenant dans ses bras Exodiom, et partit.

*Mmmhf, ma tête, je me sens vidé, Gradme, où est tu ? Où suis-je pourquoi ... que ... lachez moi ! lachez moi! lachez ...*

Exodiom ouvrit les yeux, empêtré dans plusieurs drap, à côté de lui, un Kaoméht

-Bonjour Gradm ...

Soudain tout lui revint en mémoire, la mort de Gradme, le petit tas de cendre, Exodiom se ralongea, ferma les yeux, les rouvrit, les refermat, les rouvrit, en face de lui, toujours la même personne, ce n'était pas un rêve.

- Bonjour Dagvon.
- Bonjour.
- Je suppose que les nouvelles que tu vas m'annoncer ne sont pas très bonnes.
- En effet, le maître Smonod était ton seul rempart face à la fureur des anciens, maintenant qu'il est mort ...
- Je vois, je risque donc le bannissement temporaire ?
- Dans le meilleur des cas, oui
- Et dans le pire ?
- L'exclusion à vie.
- Je vois ... me suivra tu dans ce bannissement ?
- Tu sait comme moi que, dans la plupart de tes idioties, j'était avec toi.
- Quel est la décision des autres ?
- Il est sur qu'Avarox te suivra, il est presque aussi andeuillé que toi, et même si il n'est pas banni, il partira avec toi jusqu'à Voya Nui, il prétend que c'est pour faire un pèlerinage en l'honneur de Gradme.
- Je vois ... et les armes ?
- seulement celle qui te sont habituels, c'est à dire ton bouclier portatif et ton dard de flamme.
- Le kanohi ?
- Tu le garde, mais tu sais que, si tu est banni, ils t'imposeront la marque.
- Je sais, je sais. Si je suis banni me suivra tu ?
- Tu radote. aller maintenant viens !

Exodiom se leva, pris ses armes et se mit en route, le Campement avait été fait près d'un oasis, autour de lui, il voyait les membres s'affairaient, Ils fuyaient son regard, apparemment son destin était tous tracé, qu'avait il fait ?
Il se souvenait parfaitement du jours ou il avait mis le feu à la boîte d'explosif, la moitié de son ancien village y était pacée, ensuite les humains étaient arrivés, seul lui et quelques un de ses compagnons d'infortune avait réussit à survivre.
Dans son nouveau village, ils avait enchaîné bêtise sur bêtise : il avait essayé de monter un kikanalo sauvage, la grande bête avait été tellement furieuse qu'elle avait défoncé plusieurs phantobile, puis, il avait failli noyer tous ses amis dans un grand lac lors d'un entraînement.
Finalement, le seul crime qu'il avait commis, c'était d'être encore en vie.
Ils arrivèrent devant le chateau des anciens, on le reconnaissait bien : c'était une maison portable plus grande, plus décorée et avec un aspect plus défensif, quoi que la tour en elle même ne fasse que 2 étages, c'était déjà largement suffisant, dans un désert comme celui de Bara Magna (comprenait, la technologie a avancée, et le contact avec les humains lui a fait l'effet d'un bond, dite vous bien que maintenant, la fusée est presque un jouet.) un haut batiment pouvait se voir de loin. Dagvon appuya sur un bouton, à l'intérieur, un ordinateur analysait le métal, la couleur, le tôt de radiation et plein d'autre chose. La porte coulissa, à l'intérieur, Dagvon et Exodiom posèrent le pied sur une plate forme, Dagvon dit :

- Salle des condamnés

La plate forme se mit en branle, elle allait à gauche, elle montait, tournait à droite, s'arrêtait brutalement, le voyage était un vrai calvaire pour les personnes non-habitué.
Enfin la plate forme s'arrêta dans un grand amphithéâtre. 2 siège apparurent.

- Accusé Exodiom Tridorv, prenez place je vous pris