[Fan-Fiction] La Naissance de la Rahierie

Oyez oyez BUziens ! Ceux qui suivent mon blog doivent savoir que je veux retranscrir la vie d'Hidkoc en fic's. Je commence avec un remake de Ô Terre d'Injustice, Voies la Rahierie Arrivé que je renomme en....
Sans plus attendre, le premier chapitre.

Chapitre 1: Lun'To Lance-Mortelle

Un portail s'ouvrit au milieu d'une grande plaine. Un cavalier en sortit au galop de sa monture. Puis il s'arrêta brusquement. Il se trouvait sur la planète Faltus Magna. Vêtu d'une armure argenté, le cavalier regarda les environs. C'était cette plaine qu'il avait vu dans sa vision. Il avait eu une vision où il était à la tête d'une armée de cavalier sur une plaine. Il reconnaissait la plaine. Puis il lança une onde sonique pour parcourir ce pays. Sa manipulation durait près d'une demi-heure. Le guerrier avait perfectionner son élément dans un domine précis: les paroles. Lorsque sont onde revint, il sut alors parler dans le dialecte du pays. C'était une caractéristiques spécifiques à lui. Le guerrier était un Toa voyageur du nom d'Hidkoc.

Il repartit au galop vers le village le plus près. Il en atteignit un. La disposition de ces bâtiments en bois était simple. Il y avait une grande allée qui traversait le village et les maisons et les rues étaient construit autour, formant au final un vague cercle. Le Toa traversait le village. La plupart des habitants le regardait d'un air déplaisant. Hidkoc en déduit qu'ils n'aimaient pas les étrangers. Il vit alors un groupe de jeunes Faltun chacun armé de masses, de bâtons ou de couteaux discutés entre eux tout en lançant des regards vers lui. Ils devaient être des vagabonds au vu de leurs vêtements. Alors l'un d'eux, sans doute le chef, s'approcha de lui.
- Les Chevaliers du Roi ne sont pas la bienvenue ici.
- Je ne suis nullement un chevalier de votre roi. Je suis un errant, un voyageur.
- Difficile de croire ça. T'as une tenue de guerre. Ressemblante à l'armure d'un chevalier.
- Je viens de... d'une monde lointain.
- Ron, laisses-le tranquille, dit un autre Faltun.

Celui-ci était déjà plus âgé que le groupe. D'après ses vêtements, il semblait vivre une vie plutôt sauvage. Il portait une légère armure beige et marron recouvert de tissues de même couleurs. Il devait connaître le groupe de jeune Faltun.
- Arrêtes d'importuner l'étranger.
- D'accord, on te le laisses. Venez les gars.
Hidkoc regarda s'éloigner les jeunes puis se tourna vers le nouveau-venu. Il descendit de sa monture. Il devina que ce Faltun était un guerrier assagi.
- Pardonnez ces enfants, dit-il. Ils veulent devenir importants et avoir un rôle à jouer. Je me présente, je m'appelle Lun'To, aussi connu sous l'appellation de Lance-Mortelle.
- Je suis Toa Hidkoc. Heureux de faire votre connaissance.
- Faîtes-moi confiance, vous pouvez me révéler votre identité. Hidkoc n'est qu'une légende conté par le vieux Starcarfiste.
- Mais je suis Hidkoc.
- Ah, hum... Suivez-moi, conlua Lun'To.

Il emmena l'étranger vers l'étable où il pourrait laisser son Rahi. Son Rahi était un Taurio, une espèce ressemblante au cheval, mais avec une face de taureau et un air noble. Puis Lun'To prit Hidkoc avec lui et lui montra son humble demeure. Une fois les deux installés, il se mit à parler.
- Vous prétendez donc être Hidkoc ?
- En effet.
- C'est vrai que vous correspondez à la description du Starcarfiste. Mais comme il est vague dans sa description, je ne peux pas en être sûr.
- Ne me croyez pas si vous le souhaitez. Je suis sûr de vous convaincre bientôt.
- Montrez votre épée.

Hidkoc sortit Injustslayer, une épée qui lui a été offerte par un Titan. Le Titan et l'épée datait d'une époque si ancienne que personne ne pourrait en conter les événements. Lun'To observa l'artefact avec attention. Ceci datait bien d'une âge incalculable. Il sonda alors les yeux rouge intense d'Hidkoc.
- Vous m'avez l'air d'une combattant digne de confiance. Mais si je comprends bien, vous ne venez pas d'ici ?
- Non.
- Alors laissez-moi vous expliquer la situation. Il y a environ une vingtaine d'année, l'héritier du trône Atalek devint Roi. Il gouvrnait avec sagesse et justice. Mais son cœur dse corrompit. Il voulait dominer tout le continent. Cela lui prit des années. Il réussit à rattacher son royaume les pays voisin du nord et du sud et à conquérir les tribus de l'est. Mais les tribus qui refusaient de s'agenouiller devant lui furent éradiqués, comme la mienne. Seul les montagnes de l'ouest ne sont pas sous sa domination, et il préfère attendre. Une fois le royaume agrandit, il régnait d'une main de fer, en particulier avec son général-en-chef, au nom maudit. On croirait qu'il était encore plus mauvais que le Roi lui-même. Quelques années passèrent, des rebelles réussirent à assassiner le général-en-chef. Cela affaiblit le Roi et le royaume subit une décadence qui dura encore quelques années. Une véritable anarchie. Mais alors, un nouveau général-en-chef fut nommé. Il n'était peut-être pas aussi mauvais que le précédent, mais il était bien plus puissant, respecté, imposant. Il possèderait à priori des pouvoirs. Son origine est inconnue. Il s'appelle Voui'ti.

Hidkoc fut étonné. Il connaissait Voui'ti. Il était un Makuta originaire de son monde, qui avait réussit à acquérir la capacité de se téléporter entre les mondes indépendamment de Vortex. Mais il laissa Lun'To continuer.
- Voici où nous en sommes. Notre dernier espoir repose sur le frère d'Atalek, Votalek. Celui-ci vit le cœur de son frère se corrompre et il savait qu'il devait prendre sa place, mais il ne voulait pas. Avec une compagnie de guerriers, il est partit à la mer et il n'est plus revenu.

Le Toa réfléchit à la situation.
- Y a-t-il une armée de rebelles cachée quelque part ?
- Il y a des rebelles, mais aucune armée. Ils sont dispersés. Si vous êtes vraiment Hidkoc, nous avons besoin de vous.
- Que dois-je faire ?
- Il faut unir ces guerriers.

Bon chapitre !

Mais on ne peut juger sous un premier chapitre. Je dis deux chose: AFFAIRE NON CONCLUE ! et LA SUITE !

Comme précisé par MP, c'est très agréable à lire et j'attends la suite.

J'aime bien. La suite !
Phrases bien construites et texte fluide.

Bon, voici le second chapitre.

Chapitre 2: La Guilde des bandits

Hidkoc regarda Lun'To. Celui-ci ne voulait pas l'avouer, mais il plaçait tous ses espoirs en ce Toa.
- Qui dois-je aller voir ?
- Déjà, tu dois savoir que dans ce continent, la spécialité de combat est la cavalerie. Nous sommes de nature d'excellents cavaliers. Il n'existe pas une armée dont le gros des troupes est composé de cavalier. Au sud extrème se trouve la région de Sadupi. Le seigneur de la région, Daldu, est le seul à être contre le Roi. Il possède une petite armée. Une cavalerie de mercenaire se trouve aussi à cinq jours en monture d'ici. Tu devrais commencer par là. Les tribus aussi sont tout-à-fait contre Atalek, mais je peux m'occuper de les unir. Dans les montagnes, il se peut que les habitants rejoignent notre cause, mais je n'en suis pas sûr. Et finalement, il y a une armée de rebelles cachés dans les collines centrals qui grandit petit à petit.
- Très bien. J'irai voir le seigneur Daldu. Même si les mercenaires sont plus proche, je pense que c'est une meilleur décision.
- Il faudra faire vite. L'armée de Voui'ti gagne en force chaque jour.

Hidkoc sortit de la demeure de Lun'To, puis celui-ci l'imita. Ils allèrent à l'étable. Hidkoc remarqua une chose qu'il n'avait pas vu avant. Il y avait plusieurs Taurio dans l'étable. Il comprit alors que ces Rahi vivaient sur cette plaine. Ce détail l'étonna.
- Toa Hidkoc, je vais partir dans les forêts de l'est. Je tenterai d'unir les tribus à notre cause.
- Je m'occuperai du seigneur Daldu ensuite des mercenaires.
- Rejoinds-moi aux collines centrals. Au revoir et bonne chance.
- Vous aussi.

Les deux guerriers se quittèrent. Hidkoc partit au galop. Il chevaucha durant trois jours sans s'arrêter. Il arriva à un village qui était à trois jours en Taurio de la frontière de Sadupi. Le Toa déposa son animal à l'étable puis alla à l'auberge. Il se souvint alors qu'il n'avait pas d'argent pour payer, seulement des widgets. Il se demanda comment il payerait l'aubergiste pour passer la nuit. Il rentra tout de même dans l'auberge. Mais en même temps qu'il rentrait dans l'auberge une Faltun la bouscula.
- Escusez-moi monsieurs, dit-elle tout en s'éloignant rapidement.
Hidkoc regarda la personne s'en aller. Il s'installa à une table. Un serveur vint à sa rencontre.
- Que pouvons-snous faire pour vous, monsieur ?
- Rien, malheureusement je n'ai pas de sous.
- Cette auberge accpetes toute sorte de matière de valeur.
Hidkoc sortit alors quelques widgets.
- Est-ce que ça fera l'affaire ?
- Oui ça passera.

Hidkoc fit le compte de son argent. Il lui semblait qu'il en avait plus avant. Il regarda en direction de la porte. La femme venait de lui voler une somme importante de widgets.
- Non c'est bon j'ai besoin de rien.
Hidkoc ressortit de la taverne. Il se balada dans l'allée centrale du village. Le soir tombait et il ne restait plus grand monde. Il entenit alors des voix se disputer. Une voix masculine et une voix féminine parlait aggressivement.
- Ça n'a presqu'aucune valeur ce que tu me ramènes, dit la voix masculine.
- Mais tout le monde me surveillit dans l'auberge, mais quand je suis sortit il y avait cet étranger alors je l'ai volé.
Le Toa alla alors en direction de ces voix. Ils trouvaient dans une petite ruelle. Il reconnut alors la voleuse.
- Vous vous débattez sur quelque chose qui m’appartient.
- T’as volé à un Chevalier ?
- Qui te dit que c’est un Chevalier ?
- Son armure.
- Taisez-vous ! Et rendez-moi ce qui m’appartient.

Le Faltun bouscula sa compère et s’enfuya. Hidkoc frappa par terre avec son pied, alors une onde sonique frappa le fugitif dans le dos, alors il tomba par terre. Le Toa s’approcha de lui et le fouilla, puis reprit ses widgets.
- Je vous laisse repartir à conditon que vous changez d’attitude et que vous vous éloignez de la route des bandits.
- D’accord, dit le Faltun.
- Tu mens ! Mais... tu n’as pas un cœur mauvais. Expliquez-moi tout.
Les deux voleurs se regardèrent, puis celui à terre acquiesça. La femme parla.
- Je suis Laenla et voici mon frère Deunko. Nous sommes à la tête de la guilde des bandits. Enfin ce nom est assez trompeur. Ce sont nos prédecesseurs qui ont assassinés le Général-en-Chef. Nous nous occupons de ramener des vivres à l’armée secrète.
- Pourquoi as-tu dit ça ?
- Je connais l’existance de cette armée. Lun’To m’en a parlé. Continuez.
- Ainsi qu’à notre pauvre village. Enfin nos agissements sont très diverses. Et vous, qui êtes-vous ?
- Si je vous révèle mon identité, vous ne me croirez pas. Je souhaite aller voir le Seigneur Daldu.
- Daldu ! Il est très sympathique envers nous. On peut vous mener vers lui. Mais que voulez-vous faire exactement ?
Hidkoc regarda ses deux nouveaux amis. Il pouvait leur faire confiance. Il sourit.
- Lever une armée contre Atalek.
- Vous devez être fatigué. On peut vous mener vers l’une de nos caches.
- Très bien.

Les deux bandits menèrent le guerrier vers une cachette dans le village. Le lieu était assez sale, dégringolé, mais il était possible d’y passer la nuit.
- Nous avons plein d’autres cachettes à travers tout le pays, dit Deunko, même à la capitale.
- Ça peut être pratique.
- Ça l’est.
Les trois individus s’endormirent. Le lendemain, ils se réveillèrent. Les deux Faltun mangèrent, mais pas Hidkoc. Contrairement à toutes les espèces qu’il avait rencontré, le Toa était très mécanique. Il avait d’ailleurs cherché les origines exactes de son monde. Ils arrivèrent à l’étable où Hidkoc récupéra son Rahi.
- Avez-vous une monture ? demanda Hidkoc.
- Oui, une seule pour nous deux.
Laenla siffla, et un Rahi -ou plutôt un animal, mais Hidkoc ne pouvait sortir ce mot de sa tête- sur deux pates avec une tête de la forme similaire aux Kikanalo courrait en sa direction. Les deux bandits montèrent dessus et le Toa monta sur sa monture. Le voyage dura plus longtemps qu’Hidkoc ne l’avait prévu, car ses deux amis étaient moins endurant que lui. Il arriva à la ville de Kunda, capitale de Sadupi.

Toujours aussi bien. Continue comme ça. A quand le prochain chapitre ?

Aucune idée, j'ai pas encore commencé à l'écrire, de plus j'ai aussi le second chapitre de Civilisation Xalean à écrire.

Halala c'est bien quand même Les aventures de Hidkoc sont toujours géniales et si prenantes ! J'attends la suite ! (oui, je fais mon tour des fan-fictions, mais j'ai bien le droit une fois par an, non ? )

J'avais loupé, mais en lisant, toujours très bien ^^
Continue ainsi

J'en suis désolé, maisla fic' en désormai en suspension. Pourquoi ? Eh bien c'est simple: j'ai déjà Civilisation Xalean comme projet qui est d'ailleurs très important, vu que c'est l'une des séries officielles de LEGACY, ensuite, j'ai commencé à écrire les Chroniques de Hidkoc Tome I, qui reste une fic' d'envergure, vu que je prévois de la faire assez longue. Ensuite, j'ai un autre projet bien spécifique qui, par contre, je terminerai. Voilà, je suis désolé pour les fans de cette fic' (s'il y en a) mais ça va devoir attendre.