03112009
Chapitre 5
Et si sa avais mal tourné…
Mais Les matorans n’écoutèrent pas Turaga Rahama Ils se précipitèrent vers la crevasse et, à quelques pas de là, découvrirent une galerie qui les mena toujours plus loin dans les profondeur de la terre. Plus ils avançais, plus ils martelaient la roche, rejetant sur le côté les petites pierres de feu qu’ils trouvaient : seules les plus grosses les intéressaient. C’est avec peine que les matorans les transportèrent jusqu’à leurs trous. Mais tout en marchant, le dos courbé, ils épiaient leurs voisins : l’un ou l’autre n’avait-il pas trouvé une pierre encore plus belle que la leurs ? cette pensée les empêchait de vraiment profiler de leurs nouveau bonheur. Tout cela ne plaisait guère à Gannok. En les regardant faire elle repensait aux paroles de Turaga Rahama et se demandait toujours ce qu’elle pourrait bien offrir à la terre en échange de sa pierre de feu. « J’ai une idée ! » s’écria-elle soudain. Et elle partit en courant vers la plage. L’un des matorans, cependant ne se contenta pas d’un seul trésor. Profitant de la nuit, il se glissa jusqu'à la galerie et déterra les pierre de feu, une à une, jusqu’au petit jours.
Puis il les entassa chez lui. Le lendemain, son logis brillait comme un phare au beau milieu de l’île. « Regardez, pauvres petit ! Claironna-t-il. Ma maison est plus belle que la votre ! » Les autre ne pouvaient pas accepter une telle insulte. Sans attendre, ils se mirent en chemin… quelques heurs plus tard, la falaise ressemblait à une fourmilière : partout, des matorans creusaient et piochaient, s’infiltrant toujours plus profonds dans la terre, vidant lentement le mont de ses entrailles. Aveuglées par leur désir, ils martelaient rageusement la roche et remontaient infatigablement les pierres de feu à la surface, l’une après l’autre. Mais peu à peu, les parois de la falaise s’affaissaient Et un jours, ce fut la catastrophe. Comme touchée par la foudre, la montagne s’effondra q’un seul coup dans un fracas terrible. La galerie tout entière fut ensevelis sous les rocs tandis qu’une énorme vague balayait la côte, emportant tout sur son passage. Le bel îlot n’était plus qu’un amas de pierraille. Seule une grotte avait résisté : celle de Gannok et Turaga Rahama s’étaient réfugié ensemble. « Et dire que ces pierre de feu auraient pu nous rendre si heureux ! » murmura Rahama. Il tremblait. À ses côtés, Gannok se remit à graver le galet que, quelque jours plus tôt, elle avait commencé à décorer pour l’offrir a la terre. Son soleil était presque terminé. « J’irai lui donner demain, dit-elle à voix basse. Pour la remercier. » Plus tard Gannok et Turaga Rahama se dirent qu’ils était bien obligé de quitté cette endroit. Et c’est un guerrier au masque doré et a l’armure bleu qui retrouva les pierre de feu perdu au fond de l’océan…
Et si sa avais mal tourné…
Mais Les matorans n’écoutèrent pas Turaga Rahama Ils se précipitèrent vers la crevasse et, à quelques pas de là, découvrirent une galerie qui les mena toujours plus loin dans les profondeur de la terre. Plus ils avançais, plus ils martelaient la roche, rejetant sur le côté les petites pierres de feu qu’ils trouvaient : seules les plus grosses les intéressaient. C’est avec peine que les matorans les transportèrent jusqu’à leurs trous. Mais tout en marchant, le dos courbé, ils épiaient leurs voisins : l’un ou l’autre n’avait-il pas trouvé une pierre encore plus belle que la leurs ? cette pensée les empêchait de vraiment profiler de leurs nouveau bonheur. Tout cela ne plaisait guère à Gannok. En les regardant faire elle repensait aux paroles de Turaga Rahama et se demandait toujours ce qu’elle pourrait bien offrir à la terre en échange de sa pierre de feu. « J’ai une idée ! » s’écria-elle soudain. Et elle partit en courant vers la plage. L’un des matorans, cependant ne se contenta pas d’un seul trésor. Profitant de la nuit, il se glissa jusqu'à la galerie et déterra les pierre de feu, une à une, jusqu’au petit jours.
Puis il les entassa chez lui. Le lendemain, son logis brillait comme un phare au beau milieu de l’île. « Regardez, pauvres petit ! Claironna-t-il. Ma maison est plus belle que la votre ! » Les autre ne pouvaient pas accepter une telle insulte. Sans attendre, ils se mirent en chemin… quelques heurs plus tard, la falaise ressemblait à une fourmilière : partout, des matorans creusaient et piochaient, s’infiltrant toujours plus profonds dans la terre, vidant lentement le mont de ses entrailles. Aveuglées par leur désir, ils martelaient rageusement la roche et remontaient infatigablement les pierres de feu à la surface, l’une après l’autre. Mais peu à peu, les parois de la falaise s’affaissaient Et un jours, ce fut la catastrophe. Comme touchée par la foudre, la montagne s’effondra q’un seul coup dans un fracas terrible. La galerie tout entière fut ensevelis sous les rocs tandis qu’une énorme vague balayait la côte, emportant tout sur son passage. Le bel îlot n’était plus qu’un amas de pierraille. Seule une grotte avait résisté : celle de Gannok et Turaga Rahama s’étaient réfugié ensemble. « Et dire que ces pierre de feu auraient pu nous rendre si heureux ! » murmura Rahama. Il tremblait. À ses côtés, Gannok se remit à graver le galet que, quelque jours plus tôt, elle avait commencé à décorer pour l’offrir a la terre. Son soleil était presque terminé. « J’irai lui donner demain, dit-elle à voix basse. Pour la remercier. » Plus tard Gannok et Turaga Rahama se dirent qu’ils était bien obligé de quitté cette endroit. Et c’est un guerrier au masque doré et a l’armure bleu qui retrouva les pierre de feu perdu au fond de l’océan…
Commentaires
Aucun commentaire.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum